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sur 844 notes
Le palanquin des larmes est un roman asiatique dépeignant l'histoire de Chow Ching Lie, une petite fille née à Shanghai dans les années cinquante. Élevée dans le respect des traditions chinoises, Julie (surnommée Lie) grandit dans un foyer aimant. Sa vie change drastiquement à treize ans, lorsqu'elle est mariée contre son gré à Liu, héritier d'une immense fortune de Shanghai. Ce mariage choquant et dense est au coeur du récit, illustrant les coutumes ancestrales chinoises.
La vie de Julie devient douloureuse; elle doit quitter sa famille bien-aimée, apprendre à être une épouse encore enfant et subir les brimades de sa belle-mère jalouse qui désire ardemment un petit-fils. Parallèlement, le roman présente la montée du communisme en Chine avec l'ascension de Mao Tsé Toung et l'abolition du régime féodal.

Le livre offre une immersion fascinante dans la culture chinoise avec ses coutumes minutieusement décrites et les défis oppressants auxquels font face les femmes chinoises. L'autrice ne prend pas position sur ces changements politiques mais note que certaines coutumes étaient cruelles pour les femmes.

L'atmosphère bouddhiste apaisante contraste avec ces descriptions difficiles. de nombreuses maximes inspirantes sont partagées tout au long du récit.

En somme, ce livre offre une plongée informative dans l'histoire chinoise des années cinquante. Malgré quelques longueurs vers la fin, l'histoire reste passionnante.

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Cette autobiographie nous fait vivre de façon intense les conditions de vie des femmes en Chine au 20ème siècle. On y découvre les traditions, les coutumes, certaines font sourire d'autres beaucoup moins …
Ainsi à travers sa vie, ses espoirs, sa place dans la famille, ses déboires, son mariage, la naissance de ses enfants, Chow Ching Lie nous raconte l'histoire de cette Chine en pleine mutation . On va voir l'arrivée de Mao Tsé-Toung et l'espoir que le peuple va alors porter à son programme.
On ne peut qu'être en admiration devant cette femme qui est devenue une virtuose du piano. Avec toutes les épreuves qu'elle a enduré, il est presque impensable qu'elle ait pu réussir cette carrière. Si sa beauté « fut une malédiction » puisqu'elle sera mariée à 13 ans, elle aura malgré tout un « destin » singulier. Elle aura une place « privilégiée » auprès de son père mais aussi auprès de son mari qui l'a follement aimé. Il ne faut pas oublier le contexte et se rappeler que la femme n'est aucunement valorisée ni attendue.
Ce livre se lit comme un roman et j'ai à plusieurs reprises oublié qu'il s'agissait d'une autobiographie tant certains événements semblent hors du temps.
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Histoire vraie, simple et géante de Chow Ching Lie née en 1936 d'un mariage arrangé entre une paysanne et un instruit occidentalisé de Shanghaï.
A 13 ans, pianiste prometteuse, elle est, malgré les réticences de son père, quasiment vendue comme esclave d'une riche belle mère, en épousant son fils aîné et trois mois plus tard tombe enceinte.

Artiste, elle nous livre ses croyances bouddhistes, ses superstitions, un texte plein de sensibilité, de candeur mais également raffiné, factuel, pertinent.

On y vit la fin d'un monde féodal, l'invasion japonaise avec sa Gestapo et l'extraordinaire Armée Rouge de Mao qui va libérer les femmes, supprimer les mariages arrangés et autres coutumes barbares, nettoyer la corruption, instaurer le communisme avec maîtrise, par des rééducations non violentes et qui permettra à un peuple discipliné de survivre correctement aux trois années de famine des années 50.
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J'ai beaucoup apprécié " Vent d'est, vent d'ouest ", de Pearl Buck, pour le dépaysement total que j'ai ressenti en lisant ce roman. Plusieurs personnes (dont latina sur Babelio) m'ont alors conseillé de découvrir le palanquin des larmes de Chow Ching Lie. Ma soeur l'ayant dans sa bibliothèque, cela tombait plutôt bien.

On est loin, avec ce récit autobiographique, de la douceur de Vent d'est, vent d'ouest. L'histoire de Ching Lie, c'est du drame à l'état pur.
A 13 ans, alors qu'elle est douée pour les études et souhaite devenir pianiste, Ching Lie voit sa vie basculer. Elle est mariée de force à un homme qu'elle ne connaît pas et se voit forcée à cohabiter avec une belle-mère qui entend la voir respecter à la lettre les coutumes chinoises, lesquelles ne sont pas tendres pour les belles-filles de l'époque. Plus qu'une bru, Ching Lie va devenir la domestique de sa belle-mère et devra accomplir l'entièreté des tâches ménagères qui lui sont attribuées avant de se rendre à l'école, où elle continue tant bien que mal sa scolarité.
Loin de ne parler que d'elle et de centrer le récit sur ses propres malheurs, la jeune femme nous raconte aussi la Chine, ses traditions, son histoire et, surtout, ses bouleversements. Elle analyse les grands événements politiques du pays et c'est ainsi que l'on comprend qu'à cinq mois près, plus personne n'aurait pu obliger Ching Lie à se marier... Car avec l'avènement de Mao, les femmes chinoises voient leur condition s'améliorer quelque peu. le destin est parfois cruel.
Le courage de Ching Lie est ce qui m'a le plus marquée dans ce roman. Petit à petit, la toute jeune épouse apprend à aimer son mari. Elle semble s'habituer à sa nouvelle vie et finit par mieux comprendre sa terrifiante belle-mère. Ching Lie devient aussi maman très jeune et, pourtant, se débrouille parfaitement bien avec son bébé. Tout cela demande, sans conteste, une forte personnalité.

C'est donc pleine d'admiration pour cette femme au destin peu banal que j'ai refermé ce roman. Il fait définitivement partie des récits qui ont marqué ma vie de lectrice.
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C'est en 1936 que naît Chow Chin Lie, dans une Chine encore dirigée par Tchang kai-chek, chef du Kuo-min-tang. D'une famille de la petite bourgeoisie, elle est choyée par son père, un universitaire qui doit délaisser l'enseignement pour devenir agent de change, par son grand frère Chow Chin Son et par sa mère, même si cette dernière s'avére sévère avec la petite fille et sa soeur plus jeune d'un an. C'est une enfance heureuse, une scolarité dans une école britannique, la famille habitant dans la concession francaise de Shangaï et la découverte du piano, un instrument dans lequel elle excelle rapidement. Cette enfance heureuse va brutalement prendre fin quand une grande famille de Shangaï souhaite que le fils aîné épouse la jeune Chow Chin Lie, quatorze ans et contre sa volonté, après une période de fiançailles de trois ans. Mais les événements vont précipiter ce mariage. Grâce à son intelligence et son éducation dans le respect des traditions séculaires, la jeune fille va traverser la transformation politique de la Chine, après la domination japonaise, la chute du nationalisme de Tchang Kaï-Chek et la prise de pouvoir par Mao Tsé-Toung qui va transformer la Chine pour en faire un pays moderne dirigé par une main de fer.

Le palanquin des larmes est le récit du destin d'une jeune chinoise Chow Chin Lie qui deviendra Julie, qui va traverser l'évolution de la société chinoise entre 1936, date de sa naissance aux années 70, quand elle aura une carrière de pianiste en France notamment. C'est également la connaissance des traditions souvent écrasantes qui pèsent sur les femmes. de mariage arrangé, à 14 ans, encore petite fille, où elle doit subir pendant trois jours des brimades - boire de l'alcool sous peine de vexer les invités, changer plusieurs fois de tenues et tolérer les insultes proférées traditionnellement car il ne faut pas faire honte à la famille, à la soumission des femmes à leur belle-mère et leur belle famille qui peuvent les maltraiter pour effectuer toutes les tâches ménagères. Mais le récit est surtout celui de la traversée de la Chine qui passe d'un pays quasi médiéval à un pays qui va supprimer certaines pratiques ancestrales pour régenter la société de façon certe plus égalitaire mais surtout autoritaire.
Un récit recueilli par Georges Walter, édifiant et qui permet de mieux comprendre l'évolution politique et sociale de la Chine.
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Résumé : "Mariée de force lors de l'avènement de la Chine nouvelle, la jeune écolière Chow Ching Lie, choisie pour sa beauté exceptionnelle par la plus riche famille de Shanghai, monte à treize ans sur le palanquin fleuri qui la conduira dans sa belle-famille: pour elle, ce sera le palanquin des larmes.
Ecrasée sous la tutelle d'une belle-mère tyrannique, Chow Ching Lie arrivera quand même à devenir une pianiste internationale.
En même temps que son drame personnel elle nous fait vivre à travers ses yeux d'enfant, ses larmes de jeune mariée et ses joies de mère, les bouleversements d'une Chine ancestrale face à la révolution de Mao Tsé Toung."

S'il y a un livre, une histoire, une vie, qui a bouleversé la mienne, c'est bien celle de Chow Chig Lie.
Mariée de force à 13 ans au fils d'un riche homme d'affaire de Shanghai, Ching Lie à d'autres rêves, notamment celui de devenir pianiste. Mais sa famille à besoin d'argent. Ainsi elle connaîtra les affres de la vie maritale, avec un mari, presque aussi jeune et inexpérimenté qu'elle. Sa belle-mère fait d'elle son esclave et la brime pour rien.
Rapidement elle deviendra la maman d'un adorable petit garçon et reportera tout son amour sur lui.
En parallèle, Ching Lie poursuit ses études pour toucher son rêve.
Plus qu'un portrait de femme, ce roman nous livre quelques secrets de la vie chinoise de l'avant Mao.
Forte et mature avant l'âge, Ching Lie est une, parmi tant d'autres...
Elle a su rentrer dans un moule extrêmement rigide, sans perdre sa personnalité et son humanité. C'est ce qui la rend si attachante, touchante, admirable et émouvante.
C'est un livre qui fait relativiser les petits tracas du quotidien et donne de la force pour affronter les épreuves.
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Dans son roman autobiographique, Chow Ching Lie nous parle de la Chine des années 50 et de la Révolution de Mao Tsé-Toung, de la vie chinoise qui chancelle entre tradition et modernité, mais aussi de la vision bouddhiste du monde qui lui permet de voir la vie comme une boucle et non pas comme une finalité.

Ching Lie, dite plus tard Julie, comme l'appelle une enseignante anglaise, nous raconte d'abord la vie de ses parents et la tyrannie qu'exerce sa belle-mère paternelle sur sa bru. En effet, dans la Chine traditionnelle, la femme du fils ainé devient l'esclave de ses beaux-parents et c'est en particulier la belle-mère qui commande, dirige et réprimande. Puis Ching Lie nous raconte son enfance au sein d'une famille aimante, d'un père qui lui est tout dévoué, d'un frère aux idées révolutionnaires et d'une soeur au caractère bien trempé qui lui permettra plus tard de s'affirmer. Il n'y a que sa mère dont le comportement est parfois tendre, à l'image de l'amour et de l'affection qu'elle lui porte, parfois dur pour la former à la future vie d'épouse, de mère et de bru qui l'attend.

Le malheur de Ching Lie se fait par ses rencontres. Très douée pour le piano qui sera plus tard son échappatoire de cette Chine en révolution, elle est d'abord mariée à treize ans alors qu'on lui avait assuré qu'elle ne serait pas « vendue » (car il s'agissait bien là d'un mariage arrangé) avant ses seize ans. Mais au nom de la superstition chinoise, sa belle famille a exigé que le mariage soit avancé et qu'elle ait des enfants aussitôt mariée. Là voilà donc mariée à treize ans et enceinte à quatorze.

Pour Ching Lie, la Révolution de Mao est presque arrivée à point nommé puisque ces beaux-parents, capitalistes, fuient Shanghaï et laissent donc le jeune couple seul. Ching Lie n'est que peu de temps exploitée par sa belle famille et elle reprend rapidement ses cours de piano…

Ching Lie nous décrit une Chine en pleine transformation et plusieurs fois la narratrice considère sa Chine natale comme un pays féodal où la société est régie à plus d'un échelon par des liens de maitres à esclaves.

L'écriture est facile à lire et facile à comprendre. J'ai lu ce roman une première fois à quatorze ans. Je n'avais alors pas compris la complexité de la Révolution, mais j'avais intégré avec horreur la condition de la femme chinoise au milieu des années 50.

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« le palanquin des larmes » offre une perspective riche sur la vie des Chinois avant et pendant la prise du pouvoir par Mao tse toun, explorant les rites de l'époque, les impacts du communisme et la vie des bourgeoisies qui ont souvent été contraintes de fuir. L'approche du roman offre une vision complète de l'histoire et de ses implications, tout en dévoilant des aspects souvent méconnus de la vie quotidienne.
La narration semble être à la fois informative et émotionnelle, offrant des détails précis sur les expériences de Chow Ching Lie, notamment son parcours de femme chinoise à une époque où les rôles traditionnels étaient en train de changer. Les défis auxquels elle est confrontée, sa résilience face à la pauvreté et sa détermination à élever ses enfants ajoutent une profondeur humaine à l'histoire.
J'ai été captivé par ce récit autobiographique.
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Ca n'est pas une lecture facile parce que l'Histoire de la Chine tient une grande place dans la vie de Chow Ching Lie. Pour qu'on puisse comprendre toute sa vie chinoise, il nous faut découvrir sa famille. D'abord, son grand-père qui décide de déménager, ensuite son père et sa mère qui ont de grosses difficultés financières.
Chow Ching Lie nous décrit parfaitement les circonstances de sa naissance en 1936. Ensuite, on suit sa vie au quotidien jusqu'à son départ de Chine. On assiste au changement de la Chine avec l'arrivée au pouvoir de Mao Zedong en 1949. J'ai été étonnée que le bouddhisme puisse avoir un tel impact sur sa vie. Et ça permit d'avoir un autre éclairage sur cette religion. Certaines traditions chinoises sont effarantes.
J'ai beaucoup aimé suivre ce grand changement dans la vie chinoise, l'arrivée au pouvoir de Mao Zedong. Je suis quand même réservée quand elle dit que c'était un changement « nécessaire à la Chine », il a fait de très bonnes choses mais par exemple, le Grand bond en avant, lancé par Mao Zedong, a entrainé la grande famine qui a fait officiellement 15 millions de morts en Chine…
Une vie, un cours d'histoire vivant, c'est vraiment très prenant. Une suite existe au Palanquin des larmes, c'est Dans la main de Bouddha, j'ai bien envie savoir ce qu'elle est devenue !
J'ai trouvé le ton de la narration assez détaché peut-être est-ce du à la collaboration de Georges Walter ? En tout cas, ce livre m'a marqué par ses événements et sa vie.
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Publié en 1975 par une concertiste chinoise expatriée en France, « le Palanquin des larmes » a connu un immense succès éditorial lors de sa parution, succès qui ne s'est pas démenti depuis comme en témoignent les nombreuses critiques enthousiastes dispersées sur internet. Forcément, l'histoire de la jeune Chow Ching Lie avait tout pour émouvoir le public occidental : alors qu'elle entrait à peine dans l'adolescence, cette fillette de treize ans s'est vu forcée d'épouser un rejeton de millionnaire de dix ans son ainé. Arrachée au cocon familial, elle a dû endosser tant bien que mal son statut de belle-fille au sein d'une famille ultra-traditionnaliste, assumant toutes les tâches domestiques sous la houlette d'une belle-mère tyrannique et maladivement jalouse. Sans compter l'accomplissement des inévitables devoirs conjugaux, à savoir se faire engrosser vite fait, bien fait dès l'âge de quatorze ans afin de perpétuer le glorieux héritage familial. Pas un avenir bien rose pour une petite fille rêvant de devenir une grande musicienne, nous en sommes bien d'accord, et « le Palanquin des larmes » fleure bon la tragédie familiale et sociale dès la lecture de sa quatrième de couverture. Non que cela me dérange d'ailleurs, puisque que, comme toute bonne lectrice romanesque, je n'ai rien contre un peu de pathos de temps en temps.

En ouvrant ce livre, j'étais donc tout à fait disposée à m'apitoyer sur la vie de la petite Ching Lie et j'y serais probablement arrivée sans problème, n'eût été un petit détail qui m'a terriblement perturbée pendant toute ma lecture... Certes, je reconnais ne pas être experte en Histoire chinoise. Certes, je ne suis pas très calée en littérature asiatique non plus. Mais je ne crois pas avoir la berlue en affirmant que ce bouquin – aussi agréablement écrit et assurément sincère soit-il – est l'ouvrage la plus pro-maoïste que j'ai eu l'occasion de lire ! A écouter l'auteur, on croirait que la principale oeuvre de Mao en Chine a été la libération de la condition féminine (libération toute relative d'ailleurs et qui ne concerne que les populations citadines, faut voir les campagnes à la même époque…), raison qui semble suffire à lui attacher l'admiration enthousiaste et inconditionnelle de la jeune femme.

Quid du ridicule et dramatique épisode des « Cents Fleurs » ? Et du « Grand bond en avant » qui causa la mort de 30 millions à 50 millions de chinois ? de la tyrannie du parti unique ? Des tortures et des exactions de la police politique ? Non que Ching Lie passe complétement sous silence ces événements – et c'est bien là l'aspect le plus curieux et le plus perturbant de son autobiographie – mais elle semble tous les excuser au nom d'une pseudo-modernisation de l'état chinois. Faut comprendre ces pauvres dirigeants, hein, ce n'est pas leur faute s'ils ont été obligés d'amputer les quatre cinquièmes de leur population au scalpel pour permettre aux autres de prospérer ! Et encore, « prospérer », c'est un bien grand mot…

Bon, j'ai l'air de m'acharner un peu sur un aspect particulier du livre en oubliant les autres, mais c'est un aspect qui a tout de même sacrément troublé ma lecture et je suis très surprise d'en avoir si peu entendu parler dans les autres critiques que j'ai pu lire sur le web. Ceci dit, il faut reconnaître que le livre y gagne en intérêt sociologique et permet involontairement de comprendre la popularité toujours vivace de Mao Tsé-Toung auprès d'une partie de ses compatriotes, malgré toutes les raisons que ceux-ci auraient d'aller cracher sur sa tombe – preuve que l'impressionnante campagne de désinformation et de propagande mise en place par le dictateur chinois et dont Ching Lie n'est qu'une des nombreuses victimes continue à porter ses fruits, même aujourd'hui. Pas un livre inintéressant de ce point de vue donc, mais l'attachement émotionnel que j'aurais pu avoir pour la narratrice en a forcément été très atténué. A lire si l'expérience vous tente.
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