Alors Catherine le vit. Au moment où elle tourna la tête pour le regarder, indifférent au jeu il était renversé sur sa chaise, le regard aux étoiles, tenant d'une main ses cheveux, qu'il portait mi-longs, ramassés sur sa nuque. Ce n'était pas son profil, nette ment incisé sur le fond de la nuit, ni son regard, perdu, ni son attitude, la nuque légèrement ployée et la main retenant les cheveux en un geste féminin, qu'elle voyait. Ce n'était pas non plus lui, ce soir, ... >Voir plus