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Hercule Poirot - Romans tome 1 sur 33

Thierry Arson (Traducteur)
EAN : 9782702423202
222 pages
Le Masque (20/01/1993)
  Existe en édition audio
3.98/5   1729 notes
Résumé :
Curieuse, l'obstination que le détective Hercule Poirot met à empêcher l'arrestation immédiate d'Alfred Inglethorp pour le meurtre de sa femme, la riche châtelaine de Styles Court. Aussi bizarre, d'ailleurs, que l'entêtement d'Inglethorp à ne pas lever le petit doigt pour réfuter les charges qui s'accumulent contre lui. C'est vrai qu'Inglethorp n'est pas le seul à bénéficier de cette mort ni le seul qui ait eu l'occasion de se procurer la strychnine qui l'a provoqué... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (282) Voir plus Ajouter une critique
3,98

sur 1729 notes
Première enquête d'Hercule Poirot.👣

Hastings relate la première enquête menée sur le sol anglais avec Hercule Poirot lors de la Première Guerre mondiale.
Dans une demeure très britannique, perdue au milieu d'un village, se trouve une sorte de manoir : Styles Court. Invité par John Cavendish, Hastins décide d'y passer un moment suite à ses blessures de guerre. La propriétaire des lieux, Emily et belle-mère de John Cavendish y réside avec son jeune époux, Mr Alfred Inglethorp dont les autres habitants ne semblent pas apprécier la compagnie.
Un beau soir d'été, des cris retentissent dans la nuit. Tous les habitants se précipitent dans la chambre d'Emily pour l'y découvrir agonisante et émettant ses seuls mots : Alfred ! Alfred !
Rapidement, les soupçons se portent sur le mari, Alfred Inglethorp et les preuves s'accumulent de manière inquiétante. Hastings croise par hasard Poirot, lui aussi dans la région, et lui demande son aide de fin limier. Notre cher Hercule Poirot accepte et met en action ses petites cellules grises pour démasquer le coupable...


Je ne sais combien de fois j'ai pu lire ce livre. C'est l'un des premiers romans policiers m'ayant d'ailleurs donné le goût pour le genre "policier" et "mystère". 😊

Cette première aventure s'inspire dans sa trame narrative des aventures de Sherlock Holmes avec un héros décrit par son bras droit. Ici, Watson n'est autre que Hastings. Ce procédé sera rapidement laissé de côté par Agatha Christie en raison du succès de son enquêteur.

La mystérieuse affaire de Styles est le parfait exemple du armchair détective de l'époque avec un roman dont le lecteur possède toutes les clefs afin de démasquer le coupable avant les ultimes pages. Ce procédé est justement le point fort de l'oeuvre d'Agatha Christie, rendant son oeuvre intemporelle. le lecteur ne subit pas le livre en simple spectateur, mais se retrouve à analyser les indices, à se lancer dans des conjectures parfois farfelues comme celles d'Hastings avant de voir la solution dévoilée par la scène finale de la grande réunion et le monologue d'Hercule Poirot.


L'autre point fort est sans contexte l'atmosphère très britannique se dégageant des lignes des romans d'Agatha Christie. C'est un vrai régal de s'y replonger et cela ne lasse jamais.


Ne parlons pas du personnage d'Hercule Poirot qui par son manque total de modestie, de discrétion offre un contraste tout trouvé avec les britanniques de l'époque. le contraste entre le physique du personnage (petit avec une tête d'oeuf) et son intelligence hors du commun ne sont que plus intéressant.


Une enquête à lire ou relire ! 👌
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Ecrit en 1920 ce livre est le premier d'une longue carrière littéraire qui s'achèvera en 1976 !
C'est aussi la première apparition d'Hercule Poirot et de façon étonnante le personnage est déjà celui que l'on va retrouver par la suite, plein de suffisance et sûr de sa perspicacité sans faille.
Bien que n'étant pas (encore) un spécialiste d'Agatha Christie, je retrouve en partie le style que je lui connais et sa façon déjà maîtrisée de nous tenir en haleine tout au long du récit.
J'ai cependant trouvé l'intrigue assez alambiquée et un poil trop sophistiquée pour ne pas dire légèrement tirée par les cheveux, cela-dit j'ai malgré tout passé un excellent moment de lecture, enchaînant les chapitres avec plaisir.
Je suis fan de ces ambiances anglaises et ça tombe bien car je ne suis pas prêt d'en voir le bout ;)
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J'ai poussé les grilles de la grande demeure de Styles et je suis entré dans les dédales de la première enquête du fameux détective privé, le personnage créé par Agatha Christie.
La mystérieuse affaire de Styles est en effet le premier roman policier de la grande dame du crime.
Tout est déjà là dans cet acte fondateur, les personnages, leurs chassés-croisés, l'ambiance désuète à souhait, le thé au milieu du salon et ce jeu de taquineries entre Hercule Poirot et le narrateur Arthur Hastings, tous les ingrédients sont au rendez-vous.
Tiens ! Quand on parle d'ingrédients, méfions-nous cependant de ce que l'on peut verser dans le thé ou dans le chocolat. On n'a pas toujours que du sucre sous la main...
Nous sommes en Angleterre dans le fin fond de l'Essex, pendant la première guerre mondiale. Les hommes valides sont au front. Il y a beaucoup de réfugiés belges en Angleterre pendant la guerre. Quelle aubaine pour trouver ici celui qui sera l'homme de la situation !
Je l'ai reconnu tout de suite, à sa silhouette ronde et joviale, à ses moustaches cirées et son oeil pétillant, à son costume tiré à quatre épingles.
Il est débonnaire, un tantinet suffisant et persifleur, mais redoutablement perspicace.
Hercule Poirot séduit autant qu'il agace. Bref! Il impose son style à Styles... Rhooo ! Je voulais absolument la placer...
Il avance à coup de petites théories qui font mouche, ne laissant rien au hasard, mais il y a ce chaînon manquant dans son raisonnement...
Tout est examiné à la loupe, un fragment d'étoffe de couleur verte, une tache encore humide sur le tapis près de la fenêtre, une boîte vide ayant contenu de la poudre de bromure.
Car il faut bien démêler le vrai du faux, chercher la vérité, mais qui donc a assassiné Mrs Inglethorp par empoisonnement ? Et à qui profite le crime ?
Il faut dire que la vieille, - mais pas si vieille que cela je dis ça hein, Mrs Inglethorp, que pas grand-monde ne semble regretter, avait tendance à refaire son testament autant de fois que je change de chaussettes... Et je vous assure que je suis un garçon très propre sur moi... Bon, j'aurais pu prendre une toute autre image mais que la décence ici m'en défend...
Agatha Christie était alors jeune pharmacienne à l'hôpital de Torquay. Sans doute sa parfaite connaissance des remèdes, des médicaments, des poisons et autres produits chimiques mais surtout toxiques lui a-t-elle donné l'idée de son premier roman ? Cela contribue forcément à apporter une note tout à fait crédible. C'est un peu comme si Jacques Servier l'inventeur du Mediator avait écrit un polar dans le même genre... Sauf qu'à la différence Agatha Christie est quand même plus sympathique et elle, elle n'a jamais tué personne sauf dans ses romans...
Bon, je vous avouerai que je suis tombé dans le panneau. Mais je suis une bille en matière de résolution d'enquête policière. Mon côté non cartésien me joue des tours à chaque fois et en plus il faut systématiquement que je tombe amoureux d'un des beaux personnages féminins de l'histoire, ce qui me distrait furieusement. Ah ! Cette Cynthia...
Mais la coupable dans l'histoire, je vais vous révéler son identité, - ah non Berni !!! Pas ça !!! Pas ça !!! Je vous vois déjà sauter sur votre clavier près à me dénoncer comme horrible divulgâcheur, on se calme les poteaux, on se calme, non la vraie coupable qui m'a convaincu d'aller lire ce récit n'est autre que... Hé bien, faites votre enquête vous-même, elle a un magnifique gecko en guise d'avatar, elle a publié tout récemment un billet magnifique sur l'autobiographie d'Agatha Christie, c'est... c'est...
Vous reprendrez bien encore une tasse de thé, Mrs Anna ?
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J'ai découvert Agatha Christie vers l'âge de quinze ans, mais j'avoue ne pas en avoir gardé un grand souvenir.

Quelques décennies plus tard, je tente une nouvelle approche de l'oeuvre de l'auteure en choisissant la première aventure d'Hercule Poirot.

Ici, c'est une histoire de famille qui nous est proposé. Dans une atmosphère « So British », une vieille dame est découverte assassinée.
Les soupçons se portent bien sûr très rapidement sur son jeune mari. Un peu simpliste pour Poirot, d'autant plus que les coupables potentiels ne manquent pas, deux fils qui ne refuseraient pas un petit héritage, une belle fille supposée volage, une jeune protégée de la victime qui suscite quelques jalousies, sans parler de la nombreuse domesticité du domaine.

Ce qui m'a paru intéressant dans cette première enquête est l'étude approfondi que nous propose l'auteur de son héros qui allait devenir le personnage peut-être le plus célèbre de toute la littérature policière.

On découvre ses méthodes très tatillonnes, Poirot qui adore laisser planer le doute sur ses intentions.

On découvre aussi ses petites manies, du genre, ranger systématiquement les objets qui ne lui paraissent pas assez symétrique, même sur le lieu du crime, ou encore, casser les pieds à une dame pour qu'elle mette sa broche bien droite.

Et son orgueil ! Car Poirot est conscient de sa supériorité intellectuelle et en joue. Ce qui en ferait un personnage assez pénible s'il n'était pas contrebalancé par le sympathique, mais un peu brouillon, Capitaine Hastings.

Une relecture qui fût en fait une totale découverte.
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- Je vous ai déjà parlé de mon ami Poirot, ce Belge réfugié au village. C'est un détective renommé…
- Et alors ?
- Je voudrais que vous m'autorisiez à l'appeler pour qu'il enquête sur cette affaire."

Please, John, autorisez immédiatement votre ami Hastings à faire appel à son ami Poirot, faites-le sans délai…

Sonnez trompettes, résonnez musettes, le-voici-c'est-lui, l'homme au physique extraordinaire malgré son petit mètre soixante et la forme ovoïde de son crâne, Monsieur Hercule Poirot !

Sa première enquête en Grande Bretagne, au fin fond de l'Essex durant la Première Guerre mondiale, Hercule Poirot la doit à Arthur Hastings qu'il a croisé l'avant-veille au village et qu'il a immédiatement reconnu.

Hastings est le narrateur de cette première enquête, ce qui donne à Dame Agatha Christie l'occasion de nous montrer à quel point, s'il est charmant et bien élevé, il se trouve être également, comment dire, un brin crétin dans bien des situations !
Et ce d'autant plus qu'il n'en est manifestement jamais conscient…

Le doute n'habite pas Hastings, Dame Agatha Christie nous aura prévenus.
Elle s'en donne même à coeur joie !

C'est donc avec un plaisir sans mélange que j'ai arpenté les couloirs de Styles Court, scruté les tapis et piétiné les plates-bandes sur les talons d'Hercule Poirot, accusé absolument tout le monde du jardin au grenier dans cette vénérable demeure assez peuplée, il faut le dire, et me suis régalée des descriptions de Dame Agatha Christie qui font toujours mouche.
Et j'ai été aussi bécasse qu'Arthur Hastings dans mes déductions !

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Citations et extraits (99) Voir plus Ajouter une citation
Le vif intérêt que suscita dans le public ce qu’on appela, à l’époque, «L’Affaire de Styles», est aujourd’hui quelque peu retombé. Cette histoire connut néanmoins un tel retentissement que mon ami Poirot et la famille Cavendish elle-même m’ont demandé d’en rédiger le compte rendu. Nous espérons ainsi mettre un terme aux rumeurs extravagantes qui continuent de circuler. Je vais donc relater, sans m’étendre, les circonstances qui me valurent de m’y trouver mêlé. Blessé et rapatrié du front, on venait de m’accorder – à l’issue d’un séjour de quelques mois dans une maison de repos plutôt sinistre – un mois de permission. Sans parents proches ni amis, je me demandais ce que je pourrais bien faire lorsque je rencontrai par hasard John Cavendish. Je l’avais quasiment perdu de vue depuis des années. En réalité, je ne l’avais jamais beaucoup fréquenté : bien qu’il ne parût pas ses quarante-cinq ans, il était de quinze ans mon aîné. Mais, dans mon enfance, j’avais effectué de nombreux séjours à Styles, la résidence de sa mère dans le comté d’Essex.
Nous bavardâmes assez longuement du bon vieux temps. Et, pour finir, il m’invita à passer ma permission à Styles.
— Mère sera enchantée de vous revoir après tant d’années, ajouta-t-il.
— Comment se porte-t-elle ? demandai-je.
— À merveille ! Vous savez sans doute qu’elle s’est remariée ?
Je ne parvins pas à cacher mon étonnement. Lorsqu’elle avait épousé le père de John, un veuf avec deux enfants, Mrs Cavendish était une belle femme d’un certain âge, pour autant que je m’en souvienne. Elle ne pouvait donc guère avoir moins de soixante-dix ans aujourd’hui. Je me rappelais sa personnalité énergique et autoritaire. Tout à la fois mondaine et jouant volontiers les dames patronnesses, elle cultivait sa notoriété en inaugurant des fêtes de bienfaisance et en s’adonnant aux bonnes œuvres. Possédant un grand fond de bonté véritable – et une immense fortune personnelle –, elle usait avec prodigalité de celle-ci pour satisfaire celle-là.
Styles Court, leur maison de campagne, avait été acheté par Mr Cavendish au début de leur mariage. Et ce brave homme était à ce point subjugué par sa femme qu’il lui en avait, à sa mort, laissé l’usufruit ainsi que la majeure partie de ses revenus – disposition qui, à l’évidence, lésait ses deux enfants. Mais Mrs Cavendish s’était toujours montrée fort généreuse envers ses beaux-fils. En outre, ils étaient encore très jeunes à l’époque du
remariage de leur père – et ils l’avaient toujours considérée comme leur propre mère. Lawrence, le cadet, avait été un adolescent fragile. Après des études de médecine, il avait renoncé à exercer et était revenu vivre à Styles Court où il avait tenté de se lancer dans la carrière littéraire – ses vers, hélas ! n’avaient jamais remporté le moindre succès. Après quelques années de barreau, John, l’aîné, avait abandonné la carrière d’avocat au profit de l’existence plus aimable – et plus convenable ! – de gentilhomme campagnard. Il s’était marié deux ans plus tôt et avait emménagé à Styles avec sa jeune épouse. Néanmoins, je soupçonnais qu’il eût préféré recevoir de sa belle-mère une pension plus importante, qui lui aurait permis de vivre ailleurs. Mais Mrs Cavendish avait pour habitude d’établir ses propres plans et d’attendre que l’on s’y rallie de bonne grâce. Dans le cas précis, elle possédait un atout majeur : elle tenait les cordons de la bourse.
John remarqua mon étonnement lorsque j’appris le remariage de sa mère et eut un sourire lugubre.
— Un sale petit gommeux ! fit-il avec rage. Je peux bien vous l’avouer, Hastings, sa présence nous complique pas mal l’existence. Quant à Evie… Vous vous souvenez.
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Poirot eut un sourire plein d’indulgence.
— Vous avez lâché la bride à votre imagination. L’imagination est une qualité lorsqu’elle sert, mais un défaut si elle commande. Plus l’explication est simple, plus elle est probable.
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"- Mon bon ami Hastings ! Mais oui, c’est bien mon bon ami Hastings !
– Poirot !
… Poirot était un homme au physique extraordinaire. Malgré son petit mètre soixante-deux, il était l’image même de la dignité. Son crâne affectait une forme ovoïde, et il tenait toujours la tête légèrement penchée de côté. Sa moustache, cirée, lui conférait un air martial. Le soin qu’il apportait à sa tenue était presque incroyable, et je suis enclin à penser qu’il aurait souffert davantage d’un grain de poussière sur ses vêtements que d’une blessure par balle… Il avait été en son temps, l’un des plus fameux inspecteurs de la police belge. Doué d’un flair prodigieux, il s’était en effet illustré en élucidant les cas les plus mystérieux de son époque."
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Je crois qu'à cet instant chacun prit pleinement conscience qu'il ne s'agissait pas d'un mauvais rêve mais de la réalité. Nous avions tous déjà entendu parler de ce genre d'histoires, mais cette fois nous étions les acteurs du drame. Demain, tous les quotidiens d'Angleterre annonceraient, à grand renfort de manchettes accrocheuses :
Mystérieuse tragédie dans le comté d'Essex
Une riche lady empoisonnée
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Poirot était un petit homme d'allure extraordinaire. Bien que de petite taille, il avait un port très digne. Sa tête avait exactement la forme d'un oeuf, et il la tenait toujours un peu penchée de côté. Sa moustache cirée était très raide et d'allure militaire. Il était toujours tiré à quatre épingles et je crois qu'un grain de poussière lui eût causé plus de douleur que la blessure d'une balle. Pourtant, ce petite homme bizarre, aux allures de dandy, qui, je le constatais avec regret, boitait péniblement, avait jadis été un des membres les plus célèbres de la police belge. Comme détective, son talent était surprenant, et il avait accompli de véritables tours de force en débrouillant certaines des affaires les plus complexes de l'époque.
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Vous connaissez sas doute la Reine du crime Agatha Christie. Peut-être avez-vous même lu certains de ses romans ? Mais que savez-vous de sa vie ? Nous avons réuni ici 6 anecdotes pour vous présenter la face cachée de la vie d'une autrice prolifique, et vous donner envie de la (re)lire.
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