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Critique de claraetlesmots


Ces neuf longues nouvelles qui se déroulent à Vancouver ont pour thème la marginalité et la solitude. La première nouvelle met en scène une femme âgée qui simule un malaise dans l'espoir de retrouver l'infirmier secouriste qu'elle a vu une seule et unique fois et dont elle s'est est amourachée. Prisonnière de ses fantasmes, elle est prête à tout. D'ailleurs, c'est la seule nouvelle de ce recueil qui comporte une fin à proprement parler. Les autres sont plus des instantanés de vie avec des personnages dont on suit l'existence pendant quelques jours. Un drogué pense s'entretenir avec Oppenheimer, un grand-père tente de retrouver son petit-fils devenu SDF ( ma nouvelle préférée), un mendiant se voit offrir des conseils de la part d'un banquier pour augmenter l'argent qu'il récolte. Il est aussi question de l'exclusion par le handicap et la maladie. Vous l'aurez compris pas de rose bonbon ou de guimauve mais la réalité de certaines personnes qui ne rentrent pas (ou plus) dans les cases pré-définies par la société. Pas de pathos à sensation, pas de leçon de morale, rien de tout cela.

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http://fibromaman.blogspot.fr/2012/09/michael-christie-le-jardin-du-mendiant.html

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