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Tommy et Tuppence Beresford tome 2 sur 4
EAN : 9782846343886
306 pages
Hachette Collection (30/11/-1)
3.74/5   409 notes
Résumé :
1940.
Tommy et Tuppence Beresford - as du contre-espionnage durant la Grande Guerre - se lamentent qu'on refuse de mettre à profit leurs compétences. Trop vieux ! Ils ont dépassé la quarantaine... C'est à ce moment qu'un officier du 2e bureau propose une mission à Tommy : débusquer un agent nazi, installé dans une paisible station balnéaire. Bien entendu, Tommy accepte, sans toutefois révéler à sa femme pourquoi il s'absente.
Tuppence, fine mouche, par... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (56) Voir plus Ajouter une critique
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La quarantaine bien entamée, Tommy et Tuppence digèrent bien mal le fait d'être laissés sur la touche alors qu'ils brûlent d'envie de prendre part à cette seconde guerre en proposant leur aide. Tuppence est gentiment mais fermement condamnée à tricoter pour les soldats alors que Tommy n'a plus qu'à se morfondre et ruminer sa « vieillesse ».
Et chance inouïe, Tommy se voit finalement proposer, mais en solo, une chasse aux sympathisants nazis. Enfin, en solo, c'est sans compter la ténacité de Tuppence qui le devance et s'invite dans cette vieille pension au bord de mer, la villa Sans Souci, où il doit tenter de dénicher le cerveau voleur de secrets des forces anglaises. Donc, c'est tout de même avec une grande fierté face à l'intelligence et l'ingénuité de sa moitié qu'il la découvre, tricotant un passe-montagne en laine kaki, au beau milieu des pensionnaires.

Quel plaisir de retrouver ce couple inséparable, aux échanges mutuels si piquants, mais qui laissent deviner toute leur complicité derrière leur humour railleur !
Et ce lieu, typiquement anglais, une villa victorienne servant de pension de famille. le danger semble bien improbable dans cette bonne vieille demeure ou même une petite gamine de deux ans babille quelques mots formant des phrases de sa composition personnelle à la compréhension bien hasardeuse. Il faut avoir de l'imagination pour trouver dans ce petit monde tout à fait ordinaire un ou une espionne à la solde de l'Allemagne. Et pourtant, Agatha installe progressivement une atmosphère de malaise, certains signes alertent notre couple de détectives alors que d'autres, si bienveillants, leur paraissent tout à fait innocents.
On scrute alors de plus près ces personnes fades, ou tyranniques, ou sirupeuses…

Tout en suivant un petit fil conducteur plutôt surprenant sur le thème de l'amour maternel, Agatha Christie tisse sa toile et nous offre une petite lecture fort plaisante. Et puis le contexte contribue aussi activement à l'attrait de ce petit roman d'espionnage. L'inquiétude de la montée en puissance allemande augmente parallèlement à la suspicion envers les ressortissants étrangers.

Ce petit roman sympathique joue tout à fait son rôle de lecture plaisir. On s'y installe avec délice et on le quitte avec un sourire so british.
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Vous vous souvenez sans doute de Tommy et Tuppence ? Peu après la fin de la première guerre mondiale, ces amis d'enfance sans histoire étaient devenus par la force des choses des espions chevronnés, partis à la recherche de l'insaisissable Mr Brown.
Les espions vieillissent, eux-aussi. Nous sommes en 1940. En Angleterre, l'invasion allemande semble imminente. Les meilleurs éléments sont prêts à la riposte. Tommy et Tuppence, eux, s'ennuient, personne ne songe plus à eux... trop âgés, certainement. "une guerre, ce n'est déjà pas drôle", affirme Tuppence "mais qu'on nous interdise d'y prendre part, ça, c'est le bouquet !". Mais finalement, c'est Tommy, et lui seul, que l'on va solliciter. On va lui confier une mission d'infiltration un peu spéciale. Il s'agit de reprendre l'enquête de Farqhar, un agent qui vient de se faire assassiner. Il devra se rendre dans une pension de famille, nommée Sans-Souci, à Leahampton, sur la côte sud de l'Angleterre. le but : débusquer un ennemi de l'intérieur, plus exactement deux ennemis, connus sous le nom de N. et M. , espions à la solde de l'ennemi, postés dans cette petite ville stratégique et qui attendent l'heure H, le débarquement allemand.... Une surprise de taille attend Tommy à son arrivée. A la pension de famille Sans-Souci, en train de tricoter, Mme Blenkensop n'est autre que... Tuppence...
N ou M a été écrit en 1941, c'est un roman policier - ou d'espionnage - qui reflète le quotidien des Anglais pendant la guerre. Il nous parle de blizkrieg, du débarquement imminent sur les côtes anglaises, de jeunes gens, pilotes dans la RAF ou employés à décoder les messages ennemis. Il dépeint des Anglais un peu plus âgés, qui souhaiteraient jouer un rôle plus actif dans la défense de leur pays et ont le sentiment d'être mis de côté.
Tommy et Tuppence sont passés maîtres dans la recherche d'un ennemi invisible. Aidés d'Albert, qui ne les a plus quittés depuis leur première enquête, ils passent au crible les pensionnaires du Sans Souci, qui, bien sûr, ne sont pas ce qu'ils semblent être. Pour notre plus grand plaisir, la Reine du Crime s'emploie à développer fausses pistes et vraies révélations.
A noter, le nom d'un des pensionnaires, "Major Bletchley", valu des ennuis à Agatha Christie. Bletchley Park était le nom du principal site de décryptage du Royaume Uni pendant la guerre. Agatha Christie a fait l'objet d'une enquête très sérieuse de la part du MI5.
Cette plongée dans l'Angleterre de la guerre en très bonne compagnie nous donne, bien sûr, envie de retrouver au plus vite Tommy et Tuppence.
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Christie nous amène cette fois-ci en pleine époque de la 2e guerre mondiale et met en scène un couple que j'apprécie : les Beresford. Ce livre, en plus d'être un bon livre d'espionnage, nous parle d'une Angleterre ravagée par la guerre... Comme un instantané, un portrait du quotidien qu'était la vie à ce temps si dur de l'Histoire. Ce que j'ai apprécié, c'est que ce n'est pas seulement le couple qui porte l'histoire à bout de bras, mais le moment choisi par Christie pour planter son décor... Mais bon, il y a quand même la touche d'humour du couple, et leur créativité à se créer de fausses identités... Bref, un roman qui fait amplement le job et qui nous fait passer un bon moment de lecture.
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Les Beresford s'ennuient.
Ils sont au chômage. En pleine guerre, en attendant le "Blitz". Trop vieux disent les chefs espions. A peine quarante ans et déjà sur la touche.
Pourtant ils ont prouvé leur talent, mais rien pas une miette!
Aussi quand un dénommé Grant offre un travail, une enquête à Tommy Beresford, dans une pension de famille, au fin fond de l'Ecosse afin d'y dénicher un espion, un membre supposé de la cinquième colonne, il ne réfléchit pas, il fonce.
Son rôle consistera à démasquer N ou M, lequel ou laquelle vient de supprimer le meilleur agent anglais.
Seulement Tuppence Beresford, l'épouse, n'est pas de la partie.
Arrivé à destination Tommy est présenté par la propriétaire aux autres résidents de la pension de famille.
Surprise du chef, Tuppence l'a devancé sans rien dire à personne.
Devant le fait accompli, Grant, accepte la participation de Mme Beresford
au grand contentement de son mari.
Le couple réuni va mettre tout ce qui est en son pouvoir pour dénicher l'éventuel espion(ne).
Espionnage ou roman policier, Agatha Christie est dans son élément d'autant qu'ici, également, nous avons affaire à une intrigue se passant, pour sa majeure partie, dans une pension de famille et ça Agatha elle connaît.
Etude de caractères, vieille fille, ancien militaire, vieux grincheux, patronne irascible, etc. tout y passe avec bonheur d'ailleurs, même quelquefois avec humour (ce dont l'auteure ne manque pas). Ils y arriveront (les Beresford) bien sûr, après quelques vicissitudes, certes, mais avec suspens, comme d'habitude, pour le plaisir du lecteur.
Il y avait, certainement, matière à découvrir la solution, bon, d'accord, je n'ai pas cherché, je me suis laissé bercer par les mots de Dame Agatha sans aucune fausse honte.
Les inconditionnels d'Agatha Christie mais aussi les autres se régaleront, sans dout, de cette aventure de ce couple bien sympathique.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Nous retrouvons nos deux héros, épris d'aventures, en 1940. Alors que la guerre est de retour et menace l'Angleterre, le couple Beresford est bien décidé à mettre leurs talents au service de l'effort de guerre britannique. Sauf qu'ils sont mis au placard! Trop vieux paraît-il? C'est fort de café pour nos deux espions amateurs qui s'enorgueillissent de leurs succès passés. Sauf que voilà... on aurait peut-être besoin justement qu'ils se fassent passer pour Mr et Mme Tout le Monde afin de débusquer un ou deux espions à la tête de la Cinquième Colonne...

Avec ces protagonistes, Agatha Christie joue la carte de l'espionnage, nous offrant un rythme plus haletant ( mais rien non plus d'irrespirable, ça reste du Agatha Christie) que ses autres romans. Pour autant, j'ai toujours plus de mal à rentrer dans l'histoire au début. J'avoue ne pas savoir pourquoi mais c'est ainsi. Pourtant c'est un Agatha Christie, ça se lit vite, on est vite dans l'histoire.
Pour ce qui est du couple, même chose. J'aime leur relation, très soudée et assez éloignée de l'époque, une relation belle et authentique. Tommy n'a pas ma préférence. Tuppence en revanche est un sacré numéro. Malgré cela, je suis moins attachée à eux deux qu'à Poirot ou Miss Marple, là encore sans que je parvienne à me l'expliquer. Surtout vis-à-vis de Tuppence.

Ecrit en 1941, on sent une Agatha Christie marquée par la Seconde Guerre mondiale et surtout la suspicion qui régnait en 1940. Ces personnages secondaires sont souvent des caricatures de certaines opinions qu'elle désapprouve. Ce récit n'en fait pas exception.
Je me demande aussi si là encore elle n'a pas profité de ce récit, de la fougueuse Tuppence mise au placard pour aborder le temps qui passe, le fait de prendre de l'âge sans pour autant être du troisième âge.

Même si moins apprécié qu'un opus de Poirot ou de Miss Marple, cela reste un récit distrayant que j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir.
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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
En arrivant chez lui, Tommy Beresford ôta son pardessus dans le vestibule. Il consacra un bout de temps à le suspendre avec un soin maniaque. Et, tout aussi soigneusement, il disposa son chapeau sur la patère voisine.
Sur quoi il bomba le torse, se mit en devoir d’arborer un sourire conquérant et pénétra dans le salon où son épouse s’affairait à tricoter un passe-montagne de laine kaki. On était au printemps de 1940.
Mrs Beresford accorda à son mari un regard bref et se replongea dans son ouvrage sur un rythme endiablé.
— Du neuf dans les journaux du soir ? finit-elle par demander.
— Haut les cœurs, le Blitzkrieg se précise ! répliqua Tommy sans enthousiasme. La
situation en France n’a pas l’air brillante.
— C’est vrai que le monde est plutôt déprimant, en ce moment, acquiesça Tuppence. Tous deux se turent, puis Tommy se décida à sauter le pas :
— Alors, tu ne me poses pas de questions ? Inutile de déployer autant de tact, tu sais !
— Je sais, confirma Tuppence. Les gens qui font preuve de délicatesse sont exaspérants.
Mais si je te pose des questions, ça va t’exaspérer tout autant. Et, de toute façon, je n’ai aucun besoin de te tirer les vers du nez. La réponse, tu la portes sur ta figure.
— Je n’aurais jamais cru que j’avais la dégaine aussi sinistre que Guillaume le Taciturne.
— Ce n’est pas ça, chéri. Mais tu t’es épinglé ce soir un sourire du genre « nous vaincrons car nous sommes les plus forts » qui est peut-être ce que j’ai jamais vu de plus pitoyable.
— Ça fait vraiment aussi lugubre que ça ? grinça Tommy.
— Davantage encore que tu ne peux l’imaginer ! Allez, vas-y, dis-moi tout. Il n’y a rien à faire ?
— Rien à faire. Ils n’ont besoin de moi nulle part. Je t’assure, Tuppence, c’est dur, quand on fait sentir à un homme de quarante-six ans qu’il ne vaut pas mieux qu’un grand-père frappé de gâtisme avancé. L’Armée, la Marine, la Royal Air Force, le Foreign Office… ils n’ont que le même refrain : je suis trop vieux. On fera peut-être appel à mes services. Plus tard !
— Idem pour moi, le consola Tuppence. Pas question d’enrôler une femme de mon âge comme infirmière – non, merci beaucoup, madame. Ni comme quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs. Ils préfèrent une donzelle à frisettes qui n’a jamais vu une blessure ni stérilisé une compresse plutôt que moi, qui ai travaillé pendant trois ans, de 1915 à 1918, sous diverses casquettes : infirmière dans un service de chirurgie puis en salle d’opération, conductrice de poids lourds, et même chauffeur d’un général ! Tout ça, et le reste – soit dit sans me vanter – avec un égal succès. Et voilà maintenant que je ne suis plus à leurs yeux qu’une pauvre enquiquineuse entre deux âges, qui, plutôt que leur casser les pieds, ferait mieux de rester chez elle à tricoter, comme tout le monde, pour nos braves pioupious !
— Saloperie de guerre, maugréa Tommy.
— Une guerre, ce n’est déjà pas hilarant, renchérit Tuppence, mais qu’on nous interdise d’en prendre notre part, ça, c’est le bouquet !
Tommy essaya de consoler sa femme :
— Au moins, Deborah a décroché un job…
La mère de Deborah n’avait pas l’intention de se laisser consoler :
— J’en suis ravie pour elle. Et je suis sûre qu’elle se débrouille parfaitement. Mais vois-tu, Tommy, je persiste à penser que je pourrais encore en remontrer à ma fille.
— Je serais surpris qu’elle soit de ton avis, sourit Tommy.
— Les filles sont quelquefois bien agaçantes, soupira Tuppence. Surtout quand elles se donnent un mal de chien pour se montrer compréhensives.
— Moi, j’ai parfois bien de la peine à supporter les regards indulgents de ce blanc-bec de Derek. Ce « pauvre vieux papa » qu’on peut lire dans ses yeux…
— Bref, résuma Tuppence que l’allusion à leurs deux jumeaux avait conduite au bord des larmes d’attendrissement, nos enfants sont des anges – mais...
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Des cheveux sombres un tantinet en désordre. Un visage qui se leva, abandonnant un instant la contemplation du passe-montagne qui semblait l’absorber.
Mrs Blenkensop ! Tuppence ! Bon sang, mais c’était tout ce qu’il y a d’impossible – d’inconcevable !
Tuppence, tricotant paisiblement dans le salon de Sans Souci !
Leurs regards se croisèrent. Ses yeux à elle affichaient une indifférence polie – c’était le regard d’une parfaite étrangère.
Tommy se sentit envahi d’admiration. Tuppence !
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- Alors ? dit-il. Pourquoi ne me demandes-tu rien ? Tu n'as pas besoin de faire preuve d'autant de tact !
- Je sais. Il y a dans le tact quelque chose d'irritant. Mais, si je t'interroge, ça t'irritera encore plus. Et puis, à quoi bon ? Je suis au courant. C'est écrit sur ta figure !
- J'ai l'air si lugubre ?
- Non, mais ton sourire forcé est à vous briser le cœur.
Tommy fit la grimace.
- Il est si laid que ça ?
- Il est pire ! ... Allons, vas-y ! Ça ne colle pas ?
- Ça ne colle pas ! ... Ils veulent de moi nulle part ! Avoir quarante-six ans et être considéré comme un vieux grand-père qui dodeline du chef, c'est dur à encaisser ! Armée de terre, Marine, Aviation, Affaires étrangères, partout c'est la même réponse !
../...
- En somme dit Tuppence, c'est comme pour moi ! Ils ne veulent pas de femmes de mon âge, ni comme infirmières, ni comme n'importe quoi !
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- Non. A mon avis, N. ne peut pas se permettre d'être un Allemand.
- Même pas un Allemand qui aurait fui les persécutions nazies ?
- Même pas ! Nous surveillons, et ils le savent tous les ressortissants ennemis qui se trouvent en Angleterre.
.../...
- Naturellement, monsieur, vous vous êtes renseignés sur ces gens-là ?
Grant eut un petit ricanement amer.
- Non, répondit-il. C'est justement, ce qu'il m'est impossible de faire ! Je n'aurais qu'un mot à dire pour que le Service fasse les recherche nécessaires, mais Beresford, c'est un risque que je ne peux pas prendre ! Il y a des agents ennemis dans l'Intelligence Service.
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Les amis de Deborah ! Il y avait tant et, aux yeux de Tuppence, ils se ressemblaient tous passablement. Il y avait des bruns, comme ce garçon, des blonds, des rouquins parfois - mais tous coulés dans le même moule : bien élevés, sympathiques, et des cheveux qu'elle trouvait toujours un peu trop longs. (Mais si elle lui en faisait discrètement la remarque, Deborah répondait invariablement : "Mère, je t'en prie ! Ne sois pas si 1916. Je déteste les cheveux courts.")
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