La série de Science fiction que l'on se doit de posséder.
Après de multiples aventures, Valérian et Laureline prennent une retraite méritée. Les auteurs, avec "L'Ouvre temps' décident de mettre fin à leurs aventures. Mais cette dernière histoire est bâclée et quasi sans intérêt. Il aurait mieux valu les laisser dans l'incertitude de leur avenir.
Et pourquoi avoir fait ressurgir tous les protagonistes des albums précédents ? On ne comprend guère leur présence, l'intérêt de les faire apparaître. Un pied de nez pour bien faire comprendre que l'histoire touche à sa fin ? Aucun intérêt.
Bref, bien content que la série se termine ? Pas vraiment.
Les auteurs n'avaient ils pas la possibilité de faire autrement que cette parodie de fin ? Ne pouvaient ils pas à la limite passer le relais ?
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la fin des aventures de Valérian et Laureline m'a bouleversé et empli de Nostalgie.
Quelle élégance, dans ce dernier opus, ou l' on se retrouve tous.
L'achèvement de cette série mythique qui, des années 60 du XXe siècle jusqu' au début du nouveau millénaire, nous aura transporté dans des aventures et des mondes d'une immagination somptueuse.
Et la fin de ce dernier album est d'une intelligence et une sensibilité rare.
Pour cela, et tous les rêves que vous avez éveillé en moi, je vous remercie du fond du coeur, messieurs Christin et Mézières.
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Voilà ! Les aventures de Valérian de Laureline s'achèvent avec ce 21e album. Un peu triste de quitter les amis qui depuis mon enfance me réjouissaient par leurs voyages dans tout l'univers et à toutes les époques.
Plutôt qu'une véritable histoire, nous avons droit à une sorte de générique de fin où chaque page nous permet de redécouvrir les anciens personnages de la série. Pour le fan que je suis, c'est un vrai bonheur puisque l'effet nostalgie fonctionne à fond mais je doute que des lecteurs moins âgés apprécient autant. Nos agents retrouvent enfin la Terre de Galaxity qu'ils cherchaient si ardemment depuis plusieurs épisodes mais tout n'est pas si facile. J'ai bien aimé la conclusion de cette grande saga de science-fiction qui même si elle n'a pas toujours été au top, est une belle réussite.
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Après tant d'années de service, voici que se termine la saga de Valérian et Laureline, ou Laureline et Valérian, qui fut tour à tour mythique, plan plan, puis rebelle à elle-même, et se termine ici dans une sorte d'acmé de résolution. Que dire de ce tome, qui conclue beaucoup de mes rêves d'enfants ? Que l'histoire, l'idée sont à la hauteur. Qu'un rêve sera toujours un rêve, grâce à Mézières et à Christin qui seront restés fidèles à leurs personnages jusqu'au bout.
Mais aussi malgré tout que je ne goûte pas tant le défilé de chacun des épisodes qui nous est présenté au pas de charge ici. Malgré tout on perçoit le plaisir de dire adieu à chacun des personnages de la saga pour les auteurs.
Le principal est fait et nous pouvons dormir tranquille, rêver à nos deux héros, même en étant depuis devenu des adultes de notre côté. A nous aussi de prendre un peu de recul sur l'histoire et d'accepter l'au revoir de deux grands artistes, comme un dernier tour de piste avant d'éteindre la scène, et merci !
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Ce tome de fin, c'est un peu un tome pour fan: on retrouve tous les personnages de l'univers Valériane qui interviennent dans un camp ou dans l'autre. Mais à part ça, il n'a pas beaucoup d'intérêt. Il est dommage que la redécouverte de la terre ne soit pas plus palpitante. C'est un peu fade comme fin je trouve et c'est dommage vu la sympathie que j'éprouve pour cette série.
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- Bonjour chef !
- En forme, chef ?
- Où avez-vous pris ces habitudes de familiarités avec vos supérieurs ?!
- C'était juste comme ça, chef...
- Pour faire gai, chef...
- Les agents ne sont pas là pour faire gai ! Ils sont là pour faire leur devoir ! Mauvais comportement professionnel à force de toujours travailler ensemble.
Des vaisseaux de “Star Wars” aux taxis du “Cinquième Élément”, celui qui s'était autoproclamé “artisan de la BD” a grandement inspiré la science-fiction, avec sa série “Valérian et Laureline”, qu'il a co-créée. Il s'est éteint le 23 janvier 2022.
Il avait rencontré Pierre Christin, son complice, avec qui il créera "Valérian et Laureline", alors qu'ils avaient trois ou quatre ans. Pendant la Seconde Guerre mondiale, ils s'étaient retrouvés dans une cave à Saint-Mandé, en banlieue parisienne, alors qu'ils s'y cachaient pendant les bombardements allemands. Leurs chemins se sont recroisés bien plus tard et bien plus loin.
Entre temps, Jean-Claude Mézières, fils de peintres amateurs, était devenu dessinateur et maquettiste, via un passage à l'École des Arts Appliqués de Paris. "La vie est trop courte pour s'emmerder, il fallait que je fasse ce qui me plaisait, disait-il dans son livre, L'Art de Mézières. Et ce qui me plaisait, c'était le dessin”.
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