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EAN : 9782070143955
432 pages
Joëlle Losfeld (30/11/-1)
2.82/5   11 notes
Résumé :
Sur les conseils du Dr Quinn, son psychiatre, Charlie, adolescent surnommé à tort Gamal, idiot en vieil irlandais, commence à écrire dans son journal les événements traumatisants qu'il a vécu. Mais la disparition de ses meilleurs amis, James et Sinéad, étant trop douloureuse, il préfère se concentrer sur les autres personnes de son entourage.
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Pas accroché du tout/même pas terminé (ne m'arrive qu'une fois par an environ)

Le résumé m'avait mis en appétit et j'ai commencé ce livre avec un grand enthousiasme....qui s'est vite délité au fil des pages. Pas de rebondissements ni d'intérêt à continuer le fil de l'histoire. Difficile à expliquer cet ennui car aimant tous les styles de livres, j'ai habituellement beaucoup d'intérêt à suivre les histoires concernant des personnages "particuliers" ou "différents". Il m'a manqué dans ce livre une réelle profondeur pour m'attacher au personnage, pour rentrer réellement dans l'histoire. Au final, un des rares livres que je n'ai pas lu jusqu'au bout....Dommage.
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Charlie doit écrire mille mots par jour, selon son psychiatre, pour décrire le drame qu'il a vécu.
Nous sommes en Irlande, dans le village de Ballyronan et Charlie raconte l'histoire de Sinead et James, comment il les a rencontrés à l'école primaire et ont grandi ensemble, comment ils l'ont pris sous leur aile car Charlie se fait passer pour un simplet, un "gamalog" en irlandais.
On se demande quel événement tragique a pu se dérouler sous les yeux de Charlie. Il nous livre quelques indices et chansons à mesure qu'il avance dans sa narration...

On y retrouve l'ambiance de la Trilogie écossaise de Peter May, avec les habitants et la vie de ce village.


"Mais Sinead les aurait rendus heureux. de tout ce qui peut vous changer les idées Sinead était ce qu'il y avait de mieux. Elle a dit un jour que la musique était comme la vie aurait dû être. Comme quand on connaît la chanson. On sait toujours ce qui suit et on est jamais déçu. Mais dans la vie il faut faire ce qu'on croît être le mieux et ensuite juste espérer."

Un magnifique roman, sous forme de journal intime, sur la différence, la jalousie et l'amitié.

Laura

Lien : http://librairielefailler.bl..
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Après une première tentative avortée de me plonger dans ce livre, j'ai laissé passé quelques temps et m'y suis ensuite de nouveau intéressée. Cette fois encore, j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire dans un premier temps. Puis, une fois les choses un petit peu installées, le décors planté, les personnages présentés, j'ai fini par rentrer dans l'intrigue, parvenant même à apprécier ce ton un peu "étrange" qu'emploi le narrateur et qui m'avait tout d'abord dérangé. J'ai au final pris un certain plaisir à suivre le fil de l'histoire. Seul petit regret une fois l'ouvrage terminé : il s'agit d'une fin ouverte, qui laisse un peu le lecteur sur sa faim, justement.
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J'ai découvert ce livre grâce à un petit concours littéraire organisé par diverses bibliothèques de ma région.
Une jolie surprise, sans plus. J'ai eu plaisir à le lire, mais je trouve qu'il y a trop de non-dits, de choses en suspend, et la fin est trop vite réglée...
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
...et comment ils sont tous et chacun différents et comment ils peuvent être jaloux des différences et comment ils se servent tous de leurs différences particulières pour continuer à continuer le mieux qu’ils peuvent et comment des fois ils tombent amoureux de quelqu’un qui les aime pas en retour et comment ils ont leurs personnalités et comment leurs personnalités changent si vous leur enlevez la nourriture ou l’amour ou l’amitié ou l’admiration ou si les gens sont méchants avec eux et comment des fois ils interprètent mal les intentions des gens qui les entourent et se stressent eux-mêmes ou stressent les autres et comment ce stress fait que les autres gens les aiment moins et comment y a des gens qui pardonnent plus facilement que d’autres gens...
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Éire c’est Irlande en irlandais. La harpe est un symbole de l’Irlande. Qui était sur toutes les pièces avant qu’on ait la monnaie européenne appelée euro. Quand quelqu’un lançait une pièce il disait harpe ou face. On le dit encore. En fait la harpe est toujours sur les euros, je viens de vérifier. C’est le côté face qui est différent. Plus de faces. Juste une petite carte d’Europe au lieu de la tête de quelqu’un. Peut-être que bientôt on dira harpe ou carte au lieu de harpe ou face. Guinness a aussi utilisé le symbole de la harpe mais dans l’autre sens vu que les ivrognes sont du mauvais côté de la loi.
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Les sentiments de dépersonnalisation et de détachement peuvent entraîner un état dissociatif dans lequel la mémoire et les affects sont déconnectés. Le patient semblera alors « vivre dans un autre monde ». Dans les cas les plus graves le patient pourra connaître une « perte du temps », où il perdra tout souvenir de ses propres actions.
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Ils peuvent plus juste pleurer pour avoir ce qu’ils veulent. Mais ils apprennent automatiquement à obtenir ce qu’ils veulent. En étant gentils. En faisant ce qu’on leur dit. Les gens veulent tous des trucs, vous voyez. Quand le petit bébé veut du lait alors il pleure automatiquement. Sans même avoir à y penser, je dirais.
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Le mot ami a seulement été inventé pour qu’il existe un mot qualifiant celui qui, y a longtemps, partait pas pour vous tuer lors des batailles. Vous étiez ou un ami ou un ennemi. Au lieu d’« ami », on devrait dire « individu qui est pas parti pour vous tuer », non ? Mais ça serait pas non plus vrai de n’importe quel ami.
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