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Critique de Pois0n
Après un tome 1 très inégal qui mettait en scène la fuite d'Olivia, Amanda Cinelli nous narre cette fois le mariage de Cressida, qui remplace son aînée au pied levé en tant que nouvelle cheikha du Zayyar.
L'aperçu que l'on pouvait avoir de Khal dans le premier volume ne donnait pas franchement envie, mais l'homme que l'on découvre davantage ici est non seulement beaucoup plus agréable à vivre qu'escompté, mais surtout beaucoup moins toxique qu'une bonne partie des héros rencontrés dans la collection Azur ! Dans la mesure du possible (le mec est quand même chef d'état...), il s'efforce de respecter en toutes circonstances les envies et le consentement de Cressida. le personnage n'est pas non plus parfait, mais c'est partie intégrante de l'histoire.
Celle-ci se veut finalement très linéaire : pas d'à-côté ou presque ici, juste ce couple au départ purement politique qui se découvre et s'apprivoise, aidé par une attirance réciproque palpable dès le départ et plutôt gênante dans un mariage censé être blanc. Mais ça fonctionne très bien tel quel, les deux protagonistes et leurs sentiments sont développés de façon naturelle, sans jamais verser dans l'exagération. Leur comportement reste logique d'un bout à l'autre, sans rebondissements artificiels.
Voilà comment on se retrouve avec un roman certes tout simple, mais bien foutu, qui fait passer un très bon moment, avec des personnages attachants, quelques échanges teintés de malice, un peu de désert et de palais des mille-et-une-nuits pour faire rêver... bref, une bonne romance, qui se lit avec plaisir !
L'aperçu que l'on pouvait avoir de Khal dans le premier volume ne donnait pas franchement envie, mais l'homme que l'on découvre davantage ici est non seulement beaucoup plus agréable à vivre qu'escompté, mais surtout beaucoup moins toxique qu'une bonne partie des héros rencontrés dans la collection Azur ! Dans la mesure du possible (le mec est quand même chef d'état...), il s'efforce de respecter en toutes circonstances les envies et le consentement de Cressida. le personnage n'est pas non plus parfait, mais c'est partie intégrante de l'histoire.
Celle-ci se veut finalement très linéaire : pas d'à-côté ou presque ici, juste ce couple au départ purement politique qui se découvre et s'apprivoise, aidé par une attirance réciproque palpable dès le départ et plutôt gênante dans un mariage censé être blanc. Mais ça fonctionne très bien tel quel, les deux protagonistes et leurs sentiments sont développés de façon naturelle, sans jamais verser dans l'exagération. Leur comportement reste logique d'un bout à l'autre, sans rebondissements artificiels.
Voilà comment on se retrouve avec un roman certes tout simple, mais bien foutu, qui fait passer un très bon moment, avec des personnages attachants, quelques échanges teintés de malice, un peu de désert et de palais des mille-et-une-nuits pour faire rêver... bref, une bonne romance, qui se lit avec plaisir !
