AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de peneloppe277


L'onirisme du texte, agréssif, parfois sanglant, ne fait qu'un avec sa "théorie". Ambiguïté de l'iris blanc, fleur et oeil d'aveugle. Métamorphose du moi qui glisse sur lui-même dans une métaphore incessante entre chair et peau. Les "souvenirs d'enfance" sont soumis à un traitement phantasmatique qui les intègre au processus de libération textuelle. Car l'écriture de l'enfermement apparaît, en dernière analyse, comme l'unique moyen de rester dans le larynthe sans y mourir.
Commenter  J’apprécie          70



Ont apprécié cette critique (5)voir plus




{* *}