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EAN : 9782811206468
758 pages
Milady (02/12/2011)
3.71/5   35 notes
Résumé :
Grand maître de la science-fiction, Arthur C. Clarke fut l'un des principaux concepteurs de l'ère spatiale, avant même le lancement des premiers engins depuis la Terre. Voici, enfin réunis, trois romans qui illustrent à merveille les visions quasi prophétiques de l'auteur.
Dans Îles de l'espace, un jeune homme gagne un voyage hors de notre atmosphère, mais son séjour en orbite terrestre se révèle plus mouvementé que prévu. Les Sables de Mars décrit les effort... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique

Les Sables de mars est un roman vivifiant, qui a su retenir mon attention, et qui, globalement, selon moi, a « bien vieilli ». Je dis qu'il a bien vieilli, car, clairement, c'est un texte qui est marqué par son époque. Si le style peut paraître un peu lourd à certains endroits, cela est peut-être dû à une traduction légèrement fautive (ce que je ne crois pas), ou bien plutôt à une écriture datée (ce que je crois). On devine également le fait qu'il s'agisse là du premier roman rédigé par l'auteur, celui-ci se faisant la main sur un genre littéraire nouveau – bien qu'il le fit avec brio – à savoir la science-fiction, auquel il impulsa le branle en tant que pionnier avec plusieurs de ses contemporains parmi lesquels nous pouvons citer I. Asimov (cycle Fondation), R. Madbury (Fahrenheit 451, Les Chroniques martiennes), R. Heinlein (Histoire du futur), ou encore G. Owell (1984).

On remarquera tout d'abord que l'auteur se met en scène en la personne du protagoniste, Martin Gibson. Non sans ironie à l'égard de lui-même, cette tournure styliste est rafraîchissante car elle autorise plusieurs cassage de quatrième mur, l'auteur mettant en relief sa propre condition de romancier, sorte d'idéaliste romantique observant au travers d'une lorgnette déformée le monde qui l'entoure, spéculant à son sujet davantage comme un poète que comme un rationaliste rigoureux. Cette condition singulière, l'auteur la fait se confronter justement au cortège de scientifiques qui enserre son texte – car il s'agit bien de mettre la science et ses découvertes, autant que ses réalisations, au coeur de l'intrigue. En ce sens, Martin Gibson dénote, et c'est avec bonheur que l'on peut suivre l'histoire se dérouler depuis son point de vue forcément atypique.

Concernant le découpage du texte, nous croyons pouvoir le diviser en deux grands volets. Tout d'abord se tisse le temps du voyage spatial, voyage qui conduira notre protagoniste en direction de Mars. Celui-ci doit s'y rendre en qualité de reporter afin de livrer à la Terre les derrières actualités au sujet de sa colonie. Ce passage assez long, quoique riche en émotions à défaut de l'être en actions, sera également l'occasion pour l'auteur de détailler la vie à bord d'un vaisseau spatial. Petite synthèse sociologique des contraintes que la vie en promiscuité fait reposer sur l'équipage d'une navette, cette première partie a le mérite de nous faire rêver et de nous emporter avec elle vers l'inconnu de façon néanmoins très concrète.

Ensuite, le deuxième grand volet du livre couvre la vie sur Mars, sous l'angle à la fois de sa biologie (quelles espèces sont endémiques de la planète, mais aussi quel est l'importance des climats sur la structuration des reliefs, et comment la faune et flore locales sont parvenues à s'y adapter ?), aussi bien que de son organisation sociétale (comment les colons se sont constitués en une société structurée et, bon gré mal gré, autonome ?)

Enfin, se dégage sur le fond de ce grand ensemble, une petite intrigue politique et diplomatique assez bien ficelé, quoique, elle aussi, légèrement datée. le style narratif, la façon de dire les choses, a clairement quelque chose à voir avec une époque et une culture spécifiques, celles de la bien-pensance anglo-saxonne toute puritaine du milieu du XXe siècle. La morale qui se trouve être mobilisée peut se révéler quelque peu agaçante, notamment lorsqu'il s'agit de lire certains dialogue où les intentions et motivations des acteurs manquent d'épaisseur et, pour tout dire, de « vitalité ». J'en veux pour preuve ce passage final où, au moment des adieux, trois personnages se complaisent en une commune admiration des uns envers les autres. Pathos exagéré que ne m'aura tiré aucune larme :

« -C'est vraiment chic de votre part de vous donner tant de mal. Nous apprécions beaucoup tout ce que vous avez fait pour nous, n'est-ce pas Irène ?
- Oh, oui ! Je ne sais pas ce que nous serions devenus sans vous…
Martin sourit avec un peu d‘envie.
-Oh, dit-il, je crois que vous vous seriez quand même débrouillés d'une façon ou d'une autre ! Mais je suis content que tout ait bien tourné pour vous et je suis certain que vous allez être très heureux. Et puis… j'espère aussi qu'on ne sera pas trop longtemps sans vous revoir tous les deux, ici… »
(Arthur C. Clarke, La Trilogie de l'espace, éd. Bragelone, 2022, p. 403)

On le sent, du moins l'ai-je ainsi vécu, les personnages apparaissent à certains égards sensiblement creux, en raison d'un souci constant de paraître bien sous tous rapports, de demeurer de parfaits citoyens au service d'un collectif pour lequel ils abandonneront complétement leurs intérêts particuliers. C'est là le prolongement du mythe rousseauiste d'une Volonté générale mis au service d'un monde nouveau à coloniser de la plus exacte des manières. Arthur C. Clarke se montre à ce titre un peu trop « propre », ne permet pas de rendre compte avec authenticité la réalité d'une condition humaine en proie à des désirs coupables et entrant bien souvent en contradiction avec les intérêts du collectif. Trop idéaliste, manquant d'épaisseur narrative, l'intrigue n'est clairement pas le point fort de ce roman. Cependant, ce dernier n'en reste pas moins une oeuvre de fiction avant d'être un traité sociologique. Nous ne lui en tiendrons donc pas rigueur et saurons allégrement passer outre ce petit détail.

Finalement, l'aspect le plus intéressant du roman réside d'après nous dans l'évocation du conflit opposant les vues politiques de la Terre vis-à-vis de celles de sa colonie martienne. Sans rien dire à ce sujet car il constitue le pivot central à l'intrigue du texte, nous pouvons simplement souligner la pertinence des analyses que l'auteur déploie ici. Celles-ci mobilisent à profit les souvenirs brûlants de la guerre de Sept ans qui fit s'affronter Français et Britanniques au coeur du XVIIIe siècle, avant d'aboutir sur la guerre d'Indépendance étasunienne, laquelle entraîna précisément ces mêmes rapports conflictuels entre la couronne britannique, Etat-mère, et son rejeton capricieux, agité, empli de désirs d'émancipation à l'égard du giron maternel. Ces paroles de John Norden, commandant en chef du vaisseau l'Arès, vaisseau dans lequel Martin Gibson a quitté la Terre pour Mars, fait bien sentir la relativité des points de vue qui nous anime tous :

« J'ai la faculté de considérer les deux aspects de la question. Quand je suis ici, je comprends votre raisonnement et je sympathise même avec vous ; mais dans trois mois, je me trouverai de l'autre côté et je penserai probablement que vous êtes une bande de rouspéteurs et d'ingrats, sur Mars ! » (ibid. p. 400).

L'ouvrage que nous avons sous les yeux pose les bases du récit science-fictionnel et de l'exploration spatiale, entraînant tout son cortège d'espoirs et de théories romantiques, chimériques, utopiques. Pourtant, tout est mesuré et calculé à l'aune d'une démarche scientifique rigoureuse. On y croit et force est de constater que l'auteur développe ici quantité d'hypothèses qui, pour certaines, se sont révélées être exactes, seulement possibles, voire accomplies aujourd'hui (satellites géostationnaires, bases lunaires ou martiennes). A ce titre, nous voyons en Arthur C. Clarke le Jules Verne britannique du XXe siècle, une continuité du génie de l'anticipation en littérature.

Cependant, nous ne manquerons pas d'être critique à l'égard de plusieurs positions éthiques engagées par des projets orchestrés dans ce texte, notamment la mise en oeuvre du « projet Aurore », lequel conduit à se rendre « comme maître et possesseur de la nature » (R. Descartes, Discours de la méthod, « cinquième partie »), d'une façon parfaitement inconsidéré selon nous. Ou encore l'idée de domestiquer de façon béhavioriste les créatures martiennes que rencontrent les personnages. Ces démarches relèvent d‘une pensée ancrée dans une époque, à savoir un XXe siècle, époque où la technologie scientifique en matière d'avancée spatiale – ne parle-t-on pas de « conquête » spatiale, comme s'il s'agissait d'une guerre menée sur l'espace – faisait encore rêver au point de tout mettre en oeuvre pour quitter la Terre. Aujourd'hui, et ce depuis les années 1970 et l'essor des recherches en écologies, de la pensée féministe et antispéciste, nous en sommes revenus. La question du vivant à pris de l'ampleur au sein des consciences collectives, même si elle demeure encore bien évidemment trop en retrait du débat politico-politicien actuel, notamment parmi le cercle des intellectuels. Ce genre de projet démiurgique (car il s'agit bien là de créer ex nihilo un monde nouveau à l'image de l'homme) ne pourrait – devrait – plus être seulement envisagé.

En définitive, Les Sables de mars est un roman rafraîchissant qui paraîtra peut-être à quelques lecteurs un peu fade, particulièrement à ceux qui sont versés de longue date dans la toile de ce genre littéraire maintenant bien étoffé, et qui ont eu accès à la littérature la plus contemporaines. Il est vrai que le style littéraire et la dimension scientifique que l'on retrouve aujourd'hui dans ce genre se sont développés d'après d'autres dynamiques. Mais pour le néophyte ou pour l'amateur de science-fiction comme il ne s'en fait plus, alors ce livre apportera beaucoup de plaisir, n'en doutez pas une seule seconde ! Un peu à la façon dont la première trilogie des films Star Wars peut se révéler moins décevante que la dernière, filmée sous la férule de Disney… D'ailleurs, la réalisation finale du « projet Aurore » et la création artificielle d'un second soleil à partir du satellite martien Déimos n'est pas sans évoquer la planète Tatooine et ses deux soleils emblématiques de la science-fiction au cinéma.

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Ce recueil réunit trois novellas de l'immense Arthur C. Clarke, novellas datant respectivement de 1951, 1954 et 1973. Clarke était alors un membre de la jeune British Interplanetary Society et cherchait, via ses écrits, à faire passer, auprès des scientifiques et du grand public, l'idée de la faisabilité du voyage dans l'espace. Les trois courts romans ont donc en commun d'être très techniques et très descriptifs – le point d'orgue étant mis sur la vision de l'homme hors de sa Terre natale.
Pour autant, l'auteur n'abandonne pas totalement l'aventure et l'action, et les héros des trois textes ont leur comptant de mésaventures et de surprises !
« L'île de l'espace » conte les aventures d'un adolescent qui, gagnant d'un jeu télévisé, se voit offrir un séjour dans la station qui orbite autour de la Terre. Très pédagogue, le professeur Clarke nous fait un cours très instructif sur les conditions de la vie en apesanteur. C'est assez sympa, quoiqu'un peu rébarbatif par moment.
Dans « Lumière cendrée », nous voilà sur la Lune en compagnie de Sadler, un comptable également espion, qui a été expédié sur notre satellite pour débusquer un traître. Comme la Lune, Mars abrite une colonie humaine importante, mais ses relations avec la Terre se tendent et un conflit est proche. Sadler et les astronomes qu'il côtoie voient monter les tensions entre les deux planètes, tensions qui risquent bien de transformer la Lune en terrain de guerre. Ici, Arthur C. Clarke se veut plus critique face à la violence humaine et le propos est plus « politique ».
Enfin, à mon avis le meilleur texte du recueil et qui vaut à lui seul l'achat est « Les sables de Mars ». Clarke se prend ici à imaginer la colonisation de la planète rouge par les humains. Rappelons que le texte date de 1951 ! C'est à dire avant les sondes Mariner et les images des sondes Viking ! La connaissance de la climatologie et de la géologie de Mars était alors proche du néant. Si Clarke a alors péché par optimisme et si le texte présente (évidemment) beaucoup d'erreurs, il s'en dégage une authenticité, un sérieux, une bienveillance et un espoir si grand que le roman, malgré ses défauts, s'auréole d'une modernité et d'un style unique. Un grand moment de lecture, qui ne fait pas son âge !
« La trilogie de l'espace » ne représente pas le meilleur d'Arthur C. Clarke. Mais devant ses novellas qui accusent de 45 à 67 ans, on ne peut être qu'admiratifs et impressionnés devant le talent, le style et l'esprit d'anticipation de l'auteur.
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3 romans dans cette trilogie d'Arthur Charles Clarke, écrits dans les années "60" et qui nous projettent dans un futur où l'homme est installé autour et sur la plupart des corps célestes de notre systèmes solaire. Les robots sont omniprésents et se substituent à l'homme dans des conditions environnementales invivables.
Pourtant, des formes de vies sont trouvées çà et là, dans zones d'habitabilités restreintes ou sous des formes primaires.
Ces projections d'alors peuvent prêter à sourire aujourd'hui, et pourtant, les scientifiques sont certains de la présence d'eaux liquides sur Encelade , l'une des lunes de Saturne sous son épaisse couche de glace et Mars a sans doute dans son passé connu le même scénario que notre jeune Terre à ses débuts, avec de l'eau liquide et des formes de vie émergentes.
Arthur C. Clarke avait vu juste sur bien des aspects technologiques, scientifiques, humains et l'on lit cette belle trilogie toujours avec plaisir et une certaine admiration d'un auteur qui a su comme d'autre aussi bien anticiper le futur.
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Cette intégrale d'Arthur C. Clarke regroupe trois courtes histoires : Iles de l'espace, Les Sables de Mars et Lumière cendrée. Ces romans ont tous pour thème principal la conquête de l'espace et comment l'humain peut s'adapter et utiliser la science afin de pouvoir vivre sur des planètes telles que la Lune ou Mars qui, à la base, ne sont habitables pour notre espèce. Les trois nouvelles sont assez descriptives et s'appuient sur le côté scientifique de la conquête de l'espace comme le voyait l'auteur dans les années 1950.

La première nouvelle, Iles de l'espace, est celle que j'ai le moins aimé, elle raconte l'histoire d'un jeune homme qui a gagné lors d'un concours un voyage dans la destination de son choix. Nous allons découvrir avec lui une station spatiale et la façon dont la vie s'y déroule. Cette nouvelle, bien qu'intéressante m'a parue assez lente et avec peu d'action contrairement aux deux suivantes.

La deuxième histoire, les Sables de Mars, conte l'histoire d'un auteur réputé de science-fiction qui entreprend l'un des premiers voyages “touristiques” sur la planète Mars. Ici aussi, nous suivons notre personnage à travers sa découverte de la planète et nous vivons avec lui les péripéties et découvertes scientifiques.

La dernière histoire, lumière cendrée, fut ma préférée. Nous suivons un comptable qui est envoyé sur la Lune pour essayer d'identifier un espion. Nous avons ici un aperçu des tensions entre les autres planètes et la Terre et les effets que cela peut avoir sur les bases scientifiques basées sur la Lune. Ce récit présente plus d'action que les deux premiers et c'est sûrement pour cela que ce fut mon préféré des trois même si l'on retrouve également des descriptions des moyens mis en place pour vivre sur la Lune.
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Trois courts romans composent cet ouvrage.Iles de l'espaceUn voyage assez pédagogique dans l'espace très proche. le personnage principal nous y décrit avec minutie ce à quoi ressemble la vie dans une station spatiale, ou le paysage qu'on y voit.Pas mal du tout pour un roman écrit en 1954 !Les sables de marsLà encore, un roman inattendu de nos jours alors que le propos en est simple :un auteur de sf est le premier passager de la première liaison vers mars. Aussi bien le voyage que son séjour lui réservent des surprises émotionnelles et environnementales.Également un très bon récit.Lumière cendréeDans ce roman, un comptable est envoyé faire du contre-espionnage dans une base scientifique située sur la lune.C'est peut-être le moins bon roman des trois : moins d'unité dans le récit, un peu trop d'explosions (que l'auteur regrette d'ailleurs dans sa préface) et une conclusion à mon avis pas nécessaire.Malgré ce dernier roman un peu inférieur, ce recueil m'a paru particulièrement satisfaisant. En effet, les hypothèses scientifiques tiennent globalement la route, et le tout reste lisible avec plaisir 60 ans après l'écriture.
9782366298031"
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Cette pensée avait de quoi glacer le cœur. À tout moment, de façon imprévisible, quelque part dans l'univers, tout un système solaire, avec des mondes et des civilisations inconnus, était ainsi précipité brutalement dans une fournaise cosmique. La vie était un phénomène fragile et éphémère, dont l'équilibre semblait reposer sur un fil de rasoir, entre la glace et le feu.
Et pourtant l'homme ne se contentait pas des hasards de la nature : il s'acharnait à préparer son propre bûcher funéraire.
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Gibson était sur Mars. Il venait d'atteindre ce qui, pour l'homme antique, n'était qu'une lueur rougeâtre au milieu des étoiles; ce qui, un siècle plus tôt ,ne représentait encore qu'un monde mystérieux et inaccessible, mais qui, à présent était devenu la nouvelle frontière de l'espèce humaine
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- Dites-moi, fit-il en parcourant du regard ce véritable chantier de fils de fer, de batteries de compteurs électroniques, d'atlas de lignes spectrales, avez-vous jamais regardé à travers ce télescope ?
Molton eut un sourire amusé.
- Jamais, dit-il. Ce ne serait pourtant pas difficile à réaliser, mais cela ne présente aucun intérêt. Tous ces télescopes réellement importants ne sont pas autre chose que des supercaméras. Or qui serait tenté de regarder à travers une caméra ?
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Ce qui, à peine un siècle plus tôt, ne représentait encore qu’un monde mystérieux et inaccessible, (…) était devenu la nouvelle frontière de l’espèce humaine
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Ce fantôme brumeux était un million de fois plus lointain que les étoiles, elles-mêmes un million de fois plus éloignées que les planètes. Comme les aventures et les voyages de l'homme semblaient méprisables, comparés à ces étendues sans limites !
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L'écrivain Colson Whitehead, récompensé du National Book Award, du prix Pulitzer et du prix Arthur C. Clark pour son roman "Underground Railroad", publie "Harlem Shuffle". New York, fin des années 1950. Père de famille sans histoires, Ray Carney se retrouve aux prises avec la pègre. Une fresque tragi-comique sur un quartier livré aux passions tristes.
Colson Whitehead est l'invité d'Olivia Gesbert.
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