Le thème d'abord : un écrivain assassiné, un éditeur douteux, un journal intime dérobé. Dans une ambiance polar comme il faut, Depardieu, en rentrant de vacances, doit démêler une sale affaire toute pleine de jolies filles menteuses. On n'est pas déçu par le scénario : rebondissements, bagarres et dénouement rythment allègrement le roman.
Une sorte de madeleine au parfum du 36 quai des Orfèvres ( le roman en a reçu le Prix en 1966)
Enfin la couverture qui laisse voir le succès du polar dans les années 60 : objet cadeau à une époque où lire du polar était finalement, lumineux ?
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- Tu te fais des illusions sur ton compte, grommela Longins
Comme les jolies femmes, il n'a pas le sens de l'ironie.