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3,75

sur 1328 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ha, ce bon vieux Joe Middelton ! Mine de rien, avec son balai à franges et son seau, sa belle combinaison de travail, il passerait presque inaperçu dans les locaux de la police. Homme de ménage "retardé" comme il aime le faire croire, Joe-le-lent partage sa vie entre son boulot, ses poissons rouges Cornichon et Jéhovah, sa collègue Sally qui, en bonne chrétienne, se croit dans l'obligation d'aider ce pauvre Joe parce qu'il lui rappelle son frère et sa maman qui le harcèle plus qu'autre chose et insiste toujours pour qu'il vienne manger chez elle son fameux pain de viande. Mais derrière ce petit bonhomme se cache le Boucher de Christchurch, serial-killer qui compte déjà un joli tableau de chasse à son actif. Pas peu fier de ses exploits, et heureusement, parce que c'est là sa seule distraction. Mais, voilà qu'une ombre se profile au tableau. En effet, un meurtre vient d'être commis et la police le met sur son dos ! Lui, pauvre innocent qui a bien du mal à en croire ses oreilles ! Chacun ses meurtres et Joe ne tient pas plus que ça à endosser celui des autres ! Il se met alors à la recherche de cet autre assassin qui a pitoyablement essayé de le copier. Même s'il est bien placé pour surveiller toutes les enquêtes en cours, la tâche va s'avérer un peu plus compliquée qu'il ne l'aurait pensée...

Au vu de la quatrième de couverture, je m'attendais à une autre histoire de serial-killer comme on aurait pu déjà en lire mais là, pour le coup, j'ai été bluffée ! Je ne m'attendais pas à une histoire aussi alambiquée, tortueuse et à un scénario vraiment original et captivant de bout en bout. de multiples rebondissements et de nouveaux personnages viennent ici et là redonner un coup de fouet pour repartir de plus belle. On ne s'ennuie pas une minute. Cleave, bien malgré lui, a réussi à nous le rendre sympathique et nous offre toute une panoplie de personnages tous plus ou moins loufoques, un brin déjantés ou complètement barrés, pour notre plus grand plaisir. D'une écriture cinglante, directe et prenante, Paul Cleave a su renouveler le modèle du genre et c'est tant mieux !

Un employé modèle... dans son domaine, il est parfait !
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Un modèle de thriller ? Pas loin...
Joe Middleton est agent d'entretien chez les flics de Christchurch . Pratique lorsque l'on se sent l'âme d'un Ted Bundy en puissance . Prendre ses infos à la source histoire de constater l'inefficacité notoire de ses employeurs tout en se faisant passer pour le benêt de service . Pas si con le Joe !
Sa vie , outre sa passion dévorante pour le crime de masse qui pourrait lui valoir une petite tape sur les doigts s'il se faisait griller par la patrouille , s'apparente à un long jour sans pain . Chiante serait le qualificatif s'en rapprochant le plus .
Deux poissons rouges , cornichon et Jéhovah , comme plus fidèles compagnons . Waoouuuh , sortez les cotillons .
Une mère collante qu'il aime autant qu'il déteste et qui ne manque jamais de le rabaisser lors de leurs si mémorables repas hebdomadaires du lundi . Wizzzzz , des confettis comme s'il en pleuvait .
Une collègue de travail , Sally , à qui il rappelle de douloureux souvenirs au point de la titiller légèrement au niveau du ventricule . Chabadabada , chabadabada...
Bref , tout est sous contrôle excepté ces crimes qu'on lui impute et qu'il n'a pas commis .
Eradiquer , ok , mais chacun ses victimes et les vaches seront bien gardées !
Joe enquête histoire d'ajouter une nouvelle unité à son compteur...

Difficile de ne pas faire le parallèle avec Dexter . Une jaquette totalement raccord . Un gentil garçon trimant dur chez ceux qui désirent le plus au monde l'alpaguer . A défaut d'être totalement originale , l'histoire , telle un méchant piège à loup , vous capture pour ne vous libérer qu'à la toute fin .
Au crédit de l'auteur , une ironie mordante et un humour 100 % arabica . Ça tombe bien , je les aime serrés...Cleave use de trop rares fulgurances pour faire dans le convenu , le balisé et c'est là son seul petit défaut notoire . Il a , cependant , su intelligemment se renouveler et relancer la machine en transformant le chasseur en proie pour le plus grand plaisir des sado-masochistes – cf romantique scène du parc avec Mélissa qu'est pas vraiment métisse d'Ibiza .
Intrigant et enlevé , ce thriller , sans révolutionner le genre , tire très largement son épingle du jeu...de dupes .
La petite déception de derrière les fagots , un final en eau de boudin qu'est même pas créole et ça , c'est moche...

Un employé modèle : promotion Kemper s'il vous plaît , Céline Dion étant hors catégorie...
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Joe Middleton, tueur en série, est agent d'entretien au département de police de Christchurch en Nouvelle-Zélande. Se faire embaucher dans le commissariat lui a permis de suivre l'enquête à la source. Sept meurtres sont reprochés au Boucher de Christchurch, or Joe sait qu'un des sept cadavres n'est pas de lui. Il décide donc d'investiguer pour découvrir qui est son copycat.

Le cliché est dépoussiéré parce que Joe fait croire qu'il est débile alors qu'il promène tout le monde par la main. Avec ses manières de vieux garçon et ses réflexions quasi enfantines, voici un serial killer, détraqué et sans pitié, qui amuse tout en restant vraisemblable… J'ai réellement apprécié l'humour très noir du récit : tour à tour être attendri par la candeur du personnage, être dégouté par ses actes et sa façon, méthodique et froide, de les relater.

Roman à deux voix, majoritairement celle de Joe, mais aussi celle de Sally. Collègue de Joe, elle a perdu un frère attardé, c'est donc naturellement qu'elle tente de l'aider dans sa vie quotidienne. La différence de point de vue entre ces deux personnages est intéressante et subtile.

Mais le lecteur n'est pas au bout de ses surprises car survient un sacré retournement de situation : Joe est lui-même traqué par une femme qu'il était sur le point d'assassiner. le roman prend une toute autre tournure, évidemment !

La lecture d'« Un employé modèle » de Paul Cleave change les codes habituels du roman noir. L'intrigue est originale, les personnages sont étonnants, complexes et drôles. le récit souffre pourtant de quelques longueurs et la fin, peu crédible, m'a contrariée. Mais, au final, j'ai passé un très bon moment.
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Un employé modèle ? Peut-être pas... mais un polar bien sympathique, ça oui !

Enfin, sympathique, façon de parler, car il s'agit d'une histoire de serial-killer, racontée par le serial-killer lui-même, tuant comme d'autres jouent au golf, violent par maladresse et simple d'esprit quand ça l'arrange...

La perspective est originale donc, mais c'est surtout l'humour noir de l'auteur, et bien sûr de son employé modèle, qui fait la saveur de ce livre. À la fin du premier chapitre, j'avais très peur et un grand sourire, et je savais que j'allais aimer. Et j'ai aimé en effet, beaucoup, malgré parfois quelques longueurs et répétitions, tant l'ironie mordante et les rebondissements loufoques m'ont réjouie...

Comme le dirait Joe, c'est dommage pour tous ces gens morts, et aussi pour Cornichon, Jéhovah, les chats et tous les dommages collatéraux du parc... mais il fallait bien qu'il s'amuse un peu, non ? Et quoi de mieux pour ça que le shopping, le lancer de couteaux et les cafés empoisonnés ? Ou alors une enquête sur le meurtrier qui ose le copier ? Ne croyez pas que Joe soit fou, il a même de l'humanité... parfois... En tout cas, il reste toujours un employé modèle !
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Question humour noir, c'est l'apothéose de ce que j'ai lu jusqu'à maintenant. le narrateur principal est un tueur en série. Pas très engageant ? le piment arrive lorsqu'il nous raconte que pour mieux savoir où en est l'enquête, et pourquoi pas de la modifier, sur le boucher de christchurch, eh bien cela a été de se faire embaucher comme homme de ménage un peu simplet au commissariat lui-même. Ses meilleurs amis sont ses deux poissons rouge Cornichon et Jéhovah. Dans les parages, sa collègue qui reporte sur lui l'affectation qu'elle avait sur son frère handicapé mental. Sa mère possessive qu'il aime et qu'il a envie de tuer. Un roman qui va de rebondissements en rebondissements sans temps mort. Pas politiquement correct, mais si les gens mettaient, comme lui, en pratique leurs fantasmes, ils ne seraient pas ennuyés par des rêves et cauchemars. Merci missmilko1 qui, par sa critique, m'a donné envie de lire ce polar néo-zélandais jubilatoire.
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7 crimes de femmes non résolus à Christchurch, un tueur en série rôde...

Encore un énième thrilleur qui vous glace le sang ?

Pas vraiment, un thriller iconoclaste qui déride et dépoussière le genre à
quelques poils près :

Trentenaire, célibataire, décomplexé et hédoniste Joe, le serial killer est un formidable narrateur. Il a sa manière personnelle de raconter son petit univers en folie, un style affuté comme ses lames, hyper décontracté et totalement décalé.

La double personnalité de Joe est peaufinée avec soin. Agent d'entretien le jour (surnommé Joe le lent) dans le commissariat de Christchurch, tueur en série (par pur plaisir) la nuit (appelé le boucher) un brin schizo, très manipulateur et un poil Dexter bien que Joe préfère s'attaquer aux jolies filles.

Joe s'investit détective en herbe : un pale imitateur de son mode opératoire va forfaiter un meurtre que la police va attribuer au Boucher de Christchurch. Joe va mener l'enquête pour trouver le faussaire. Un indice va le mettre sur la piste du coupable. de la déduction, du travail de pro, quel talent ce Joe!

Sally, la collègue du nettoyage louche sur lui, un poil attendrissante et compatissante pour l'attardé de service.

Mélissa, la fétichiste d'uniforme, castratrice. Joe en perd la boule. Attention, supplice pour les mecs! La gente féminine va compatir ou bien adorer!

Petits bémols :
Le personnage de la mère possessive et collante, du déjà vu bien qu'elle ait de la répartie la mamie.

Les deux meilleurs amis de Joe, Cornichons et Jéhovas, deux poissons rouges chouchoutés jusqu'à l'arrivée d'un chat, un poil hérissant.

Une fin en grande pompe mais fallait bien conclure.

Si vous êtes comme moi allergique au thriller froid et mécanique, vous allez vous régaler avec ce thriller noir truffé d'humour, de situations déroutantes et de dialogues bien ficelés qui font mouche.

Paul Cleave nous brosse des personnages mémorables, un poil too much!

J'applaudis à deux mains, la performance, un couteau serré entre les dents!

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Si comme à moi, il vous prend parfois des envies d'ailleurs lointain, de landes désertes peuplées de moutons (à moins qu'il ne s'agisse de Hobbits oubliés par Peter Jackson), de montagnes vertigineuses et de vie cool-pépère loin des trépidantes métropoles européennes, vous avez sûrement déjà rêvé de Nouvelle-Zélande.
Le récit de ce brave petit Joe Middelton va peut-être vous faire changer d'avis. En fait de tranquillité, la vie de Joe est carrément ennuyeuse et déprimante. Jugez plutôt : un boulot peu gratifiant d'agent d'entretien dans un commissariat, une mère castratrice insupportable, deux poissons rouges, Cornichon et Jéhovah, pour seuls amis, et surtout, son boulet, Sally, collègue pas très futée un peu trop collante. Bref, une vie à mourir d'ennui (oohh, le jeu de mots !). Heureusement, pour tuer le temps (oohh, le jeu de mots ! (bis)), Joe s'est trouvé un hobby, une passion, même : les femmes. Il les aime tellement qu'il les viole, les torture, les tue. Et pour pouvoir s'adonner à son passe-temps en toute quiétude, Joe a eu la double brillante idée de se faire passer pour attardé mental, et, pour se tenir au courant à bonne source, de se faire embaucher au commissariat dans lequel se déroule l'enquête sur le premier tueur en série qu'ait jamais connu le pays. Un petit génie, ce Joe ! Qui imaginerait un seul instant que Joe-le-lent est le Boucher de Christchurch ? non mais c'est bon là, faudrait arrêter l'alcool de kiwi !
L'autre bonne idée (de l'auteur cette fois, pas de Joe), c'est de faire vivre l'histoire aux lecteurs à travers les yeux du tueur-narrateur. Ce n'est pas sans risque, car on connaît le coupable dès le début, et on se demande alors comment l'auteur va tenir la distance. Heureusement, au moment où on commençait à s'endormir, qu'arrive une autre double brillante idée : d'abord, apparaît un copycat. Joe a-t-il un concurrent, un disciple ? En tout cas il n'aime pas ça, mais l'occasion est trop belle pour ne pas essayer de lui coller tous les meurtres sur le dos. Une enquête parallèle s'amorce donc. Et puis survient l'Amour. Ou presque. Aah, la douce (si douce…) Melissa, que Joe s'apprêtait à charcuter avec délices… Mais c'est qu'elle cache bien son jeu de dominatrice, la petite… L'Amour ici est vache, acéré, tranchant. le comble pour un Boucher… Et le pire, c'est que Joe n'en a pas fini, avec l'amour et les femmes, puisque, à force de vouloir venir en aide à ce pauvre Joe qui semble si perdu, c'est Sally l'empotée-amoureuse-transie qui se révélera la plus tenace…
Bon petit polar de derrière les fagots, bien glaçant mais bourré d'humour noir de noir, avec meurtres atroces mais sans trop de descriptions sanguinolentes, c'est un des meilleurs thrillers que j'ai lus depuis longtemps (mais je ne suis pas une référence en la matière). J'ai cependant trouvé que la fin était un peu bâclée, et que l'aspect psychologique (l'enfance de Joe, ses parents,…) aurait pu être mieux développée (mais bon, ok, on n'est pas dans Criminal Minds).
Quoi qu'il en soit, pensez-y avant de demander votre carte d'immigration : désormais la Nouvelle-Zélande a aussi son Mordor. Bienvenue à Christchurch…
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Joe Middleton habite à Christchurch, en Nouvelle-Zélande. Homme de ménage dans le commissariat central, “Joe-le-lent” est ce qu'on pourrait appeler un simple d'esprit et pourtant tout le monde le chouchoute, les flics qui pataugent dans une série de meurtres, comme Sally, l'autre employée chargée de l'entretien, qui a un grand faible pour lui. Il est célibataire, vit sous l'emprise tyrannique d'une mère presque sénile, qui le soupçonne d'être homosexuel. La vie de Joe est somme toute très ordinaire, entre son deux pièces insalubre, son travail et la maison de sa mère, son quotidien n'est que routine. Pourtant, Joe aime bien fouiller discrètement dans le commissariat. Particulièrement dans la salle des inspecteurs, où il suit en cachette le déroulement de l'enquête relative au "boucher de Christchurch", auteur de plusieurs meurtres épouvantables de femmes. Quand un nouveau meurtre est commis avec la même signature, il s'insurge devant l'imposture, car le "Boucher", c'est lui ! Comme il est loin d'être idiot, il va enquêter de son côté ; après tout, tous les éléments, photos, indices sont à portée de sa main et puis, pourquoi pas mettre la totalité de ses assassinats sur le dos de ce copieur ?

Toute l'originalité du roman est là : Joe va chercher et trouver. Mais de quelle façon ?! On chemine ensemble puisque l'auteur a choisi de raconter son histoire à la première personne, en faisant du serial killer le narrateur principal. Très à l'aise dans sa double vie, le meurtrier parfait se dessine là, sous nos yeux... Jouant très habilement avec les codes du genre, Paul Cleave fait de son héros un serial killer atypique, à l'intelligence diabolique et à la maman….envahissante. L'intrigue est parfaitement bien menée et il y a suffisamment de rebondissements pour ne pas nous laisser une minute de répit. Entre humour noir et thriller décalé, Un employé modèle est une sacrée réussite et donne envie de découvrir les autres romans de Cleave.
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Ce polar,, cela faisait un bout de temps que je l'avais dans ma bibliothèque et faisait partie des poches que je voulais absolument lire, mais dont je repoussais toujours la lecture à plus tard.

Finalement cet été, il faut croire que c'était enfin le bon moment, et je ne l'ai pas regretté, tant Cet employé modèle, qui avait reçu de très bonnes critiques lors de sa sortie en 2009 chez Sonatine, est un excellent roman noir qui nous vient de Nouvelle Zélande, une contrée dont je lis peu de littérature.

Sur un canevas pour le moins éculé d'histoire de sérial killer psychotique, l'auteur arrive à renouveler le genre avec une grande habileté, et à se mettre, avec énormément de talent et de maitrise dans la peau de ce tueur en série.

Très bien mené, ce livre est encore plus relevé par un humour noir et cynique vraiment réjouissant (les scènes avec sa mère tyrannique où le tueur devient un petit enfant) et qui contrebalance certaines scènes sanglantes qui pourraient vite devenir, surtout pour les âmes sensibles (étonnant, je le suis moins en livre que devant un film), à la limite du supportable.

Seules les 50 pages finales, avec l'apparition d'un nouveau personnage ( féminin) un peu trop "too much" et pas vraiment crédible, viennent alourdir un peu l'intrigue d'un roman intelligent et prenant .
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Avis aux femmes : ne pas se laisser arrêter par les premières pages (assez immondes et en focalisation interne sur Joe, le boucher de Chistchurch, ce qui donne envie de ...Mais il ne perd rien pour attendre...)
Bref, c'est un thriller original, dont le narrateur est un psychopathe très malin, qui se fait passer pour un demeuré complet dans l'enceinte du commissariat central, où il travaille comme homme de ménage, afin, en loucedé, de surveiller l'évolution de l'enquête sur lui-même. Bon, on a déjà vu ça dans Dexter. Mais le ton est différent. Et l'auteur, encore plus malin que son gros malin. Peu à peu, pas à pas, on se détache de la fusion totale avec Joe, pour se forger notre propre opinion. C'est là qu'on reconnaît une écriture performante, qui joue sur les points de vue (on sort parfois de Joe pour aller dans Sally, un vrai numéro aussi, celle-là) et sur nos connaissances basiques des psychopathes (absence d'empathie, mégalomanie, passé trouble, amnésie partielle etc...)
Donc, après avoir failli jeter le roman dans mon jardin, après avoir failli saisir le tribunal international de la Haye pour discrimination sexiste (Joe tue toutes les femmes qu'il rencontre-grosso modo toutes des putes-mais ne tue pas deux homosexuels-faut pas déconner, c'est des mâles, quand même, ça se respecte), j'ai fini à la librairie avec "Un père modèle", du même auteur, entre les mains ...grâce à la plume de Paul Cleave, ce très très gros malin.
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