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EAN : 9782021026511
396 pages
Seuil (26/04/2012)
3.47/5   45 notes
Résumé :

Elle mourut à cheval habillée en garçon, les rênes entre les dents, une épée dans chaque main et ses perles au cou, tuée d'une balle dans le dos.

Ses ennemis les Anglais l'appelaient Jézabel, ou Jeanne d'Arc, comme la sorcière française, et ces événements se passaient dans le ventre de l'Inde, en plein dix-neuvième siècle, lorsque les " negros " indigènes, les peaux sombres, les fameux " cipayes ", firent la guerre à leurs maîtres blancs. >Voir plus
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Le jour même de sa naissance, l'astrologue de la famille décrète que la petite Manikarnika sera reine. Impossible! Sa famille appartient à la caste des brahmanes et se serait se déclasser que d'épouser un roi. Mais les astres ne mentent jamais et bien des années plus tard, c'est un autre astrologue qui apporte la solution à ce souci avec son destin. Il lui propose le mariage avec le Maharaja de Jhansi qui cherche une épouse depuis son veuvage. Manikarnika a grandi, elle a 15 ans, on l'appelle Manu, on la surnomme Chabili (la chérie), elle a perdu sa mère et a été élevée comme un garçon parmi les fils du Peshwa Baji Rao. La proposition de l'astrologue séduit son père, elle part donc pour le royaume de Jhansi afin d'y être épouse et rani. Là-bas, elle rencontre son mari, Gangadar Rao, un homme faible et toussif qui aime plus que tout s'habiller en femme. Rien de choquant pour celle qui se nomme désormais Lakshmi Baï. Elle apprivoise son mari, négocie des parcelles de liberté et se fait aimer de son peuple. le vrai problème, ce sont les anglais et leur Compagnie des Indes Orientales. Grâce à leur nouvelle loi dite "de déshérence", ils s'emparent peu à peu de tous les royaumes d'Inde, refusant dorénavant de reconnaître comme légitimes héritiers les fils adoptifs des souverains. La colère gronde chez les indiens et les cipayes, soldats natifs enrôlés dans l'armée anglaise, sont prêts à se soulever contre l'envahisseur trop gourmand. A la mort de Gangadar, Lakshmi est veuve et sans héritier issu de son sang. Menacée par les anglais, elle est contrainte de prendre la tête de la révolte. Combattante et guerrière infatigable et acharnée, elle est respectée par ses soldats et crainte par les anglais.


Une femme magnifique, entière, obstinée, intelligente, au destin flamboyant, qui aurait méritée mieux que le sort que lui a réservée Catherine CLÉMENT. Son récit est plat, sans consistance, il lui manque le souffle épique digne de son héroïne. J'ai lu sa vie, de son enfance jusqu'à sa guerre comme j'aurais lu le journal : des évènements intéressants racontant des combats au bout du monde mais qui ne me touchent pas. Au final, j'ai appris beaucoup de choses, sur l'Inde, sur la colonisation anglaise, sur la société indienne mais j'aurais fait de même si j'avais regardé un documentaire à la télévision. J'aurais aimé ressentir la chaleur, la moiteur de la mousson, j'aurais aimé m'attacher à la rani, la soutenir dans ses combats, pleurer ses morts, vibrer dans ses moments de bonheur, détesté ses ennemis. Au lieu de cela, j'ai emmagasiné des connaissances, c'est bien mais pas suffisant. Une petite déception donc pour un livre dont j'attendais beaucoup.
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Autour de 1850, la colonisation britannique de l'Inde est en train de changer de nature. La politique de division des rois locaux, que la Couronne soutient l'un contre l'autre afin de promouvoir les intérêts commerciaux de Compagnie des Indes se métamorphose en ambition impérialiste d'interférer dans leurs successions dynastiques, à travers une armée d'indigènes – appelés en persan sipâhis (francisés en cipayes) – dont on ne respecte plus les croyances religieuses. le machiavélisme se transforme en prédations, brutalités et humiliations. Une révolte des cipayes éclate par conséquent en 1857 à partir de l'Inde centrale, que l'on définit désormais officiellement : « la première guerre pour l'indépendance de l'Inde », chroniquée en direct depuis Londres par Marx et Engels, qui essayent de parier sur son issue et sa transformation en révolution.
Le plus impressionnant, encore aujourd'hui, c'est que cette révolte qui dura deux ans et se solda par d'immenses massacres et la soumission entière de l'Inde, fut dirigée et guidée par une femme guerrière, jeune veuve d'un roitelet de Jhansi qu'on dirait aujourd'hui transgenre, laquelle n'avait au départ aucune haine pour l'Anglais mais juste la volonté d'assurer la régence du fils adoptif de son incapable de mari, lequel portait le même prénom que le petit garçon qu'elle avait eu tant de mal à enfanter et qui était décédé en bas âge.
Née avec la prémonition d'un destin de reine, Lakshmi Baï dite Chabili, « Chérie » par ses proches, « Rani » par ses sujets, et surnommée Jézabel ou Jeanne d'Arc la sorcière par les Anglais, apparaît dans cette biographie romanesque comme le parangon d'un reine guerrière, aussi déterminée que vertueuse, aussi habile que vaillante. Il est surprenant que, malgré toutes les différences qui existent entre l'idéal moral hindou d'une brahmane du XIXe siècle et celui d'une héroïne occidentale contemporaine qui mène un combat auquel on peut adhérer il puisse y avoir si peu d'incongruences, dans cette sorte d'hagiographie. Peut-être l'aura de l'héroïsme pour la cause juste confère-t-il à la protagoniste une stature qui transcende les divergences superficielles, ou bien est-ce l'amour de l'autrice pour l'Inde et pour une légende que celle-ci a transmise de cette femme extraordinaire qui lui font oublier sa perspective occidentale...
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Les anglais commencèrent à coloniser l'Inde au début du XVIIème siècle, détrônant les rajas, tout en leur accordant une pension afin de ne pas s'en faire des ennemis. Au début du XVIIIème siècle, la Compagnie de l'Inde orientale a étendu son empire et renforcé son armée en engageant des cipayes, ces soldats hindous et musulmans combattant dans l'infanterie. Mais d'années en années, les relations entre ces peuples se dégradent, les anglais abusent de leur pouvoir, dénigrent les religions autres que le christianisme, organisent de violentes répressions en cas d'insubordination, jusqu'à déclencher un mouvement de contestation parmi les soldats engagés dans leurs rangs… Cette colère, depuis longtemps emmagasinée, va s'enflammer comme une traînée de poudre, déclenchant avec elle deux ans de combats durant lesquels les rebelles combattront vaillamment les « Angrez ».
Cette première guerre d'indépendance indienne, qui se jouera en 1857, aura pour figure de proue Lakshmi Baï, surnommée Chabili par les siens et Jeanne d'Arc par les anglais. Cette fille de brahmane, née vers 1830, connaîtra un destin exceptionnel en dépit de sa condition de femme. Garçon manqué, douée pour le combat et l'équitation, elle grandira aux côtés d'un prince indien avant d'épouser Gangadar Rao, le souverain de Jhansi à l'âge de treize ans. de cette union stérile naîtra chez la jeune femme un sens des responsabilités et du devoir qui fera d'elle, à la mort de son époux, une veuve respectée et adulée. Déterminée à protéger son peuple de l'insurrection anglaise la reine de Jhansi prendra les armes et redonnera l'espoir à toute une armée et à tout un peuple.
Catherine Clément dresse le portrait passionnant d'une femme, d'une reine et d'une guerrière à nulle autre pareille. La détermination et l'énergie qui animent Chabili, ainsi que sa simplicité et sa bravoure en font un personnage attachant et remarquable, qui force le respect et l'admiration. Son sens de la justice et l'amour qu'elle porte à ses sujets ont fait d'elle une reine aimée par les siens et respectée par les anglais. Ses rapports avec eux sont décrits au début comme amicaux et montrent toute la complexité de cette guerre qui divisera l'Inde. Les trahisons et la surenchère de violence auront raison de cette entente... L'écriture de l'auteur est simple mais fluide et plaisante. Les pages se tournent toutes seules pour nous plonger au coeur d'une Inde en ébullition, incertaine, en proie à la colère et en quête de changement. On voyage de Jhansi à Londres, où la reine Victoria tente de modérer à distance les dérives de ses compatriotes. En conclusion, un roman intéressant et plutôt bien rythmé, qui vaut pour ce portrait d'une femme d'exception.
Une découverte faite dans le cadre de l'opération Libfly et le prix du salon du livre de Levallois.
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Manikarnika, surnommée Chabili, fille de Moropan et Bhagirati sera reine ; l'astrologie en a ainsi décidé. Aussi, lorsque Tantia Dikshit, astrologue de grande renommée vient proposer une union entre Manikarnika et Gangadar Rao, Maharadja de Jhansi, la décision fut assez rapide. « Son Altesse Gangadar Rao n'est pas un petit raja ! s'indigna Tantia Dikshit. Les Anglais ont accordé à Ramchandra Rao le titre prestigieux de maharadja, ce qui veut dire « grand roi. »

Ils ont des caractères opposés. Lui, appelé à gouverner ne se rêve qu'en fille et son plus grand plaisir est de se déguiser en danseuse et de danser. Manikarnika, elle, ayant perdu sa mère à sa naissance, est élevée par son père et 3 jeunes garçons. Elle ne rêve que monter à cheval, tenir une épée, se battre ; ce qu'elle fit avec succès. Ainsi, l'astrologue bénit l'union d'un homme-fille et d'une fille-garçon manqué.

Pourquoi ce mariage ? simplement pour éviter que la province ne tombe aux mains des anglais qui font pression pour annexer tout territoire dépourvu d'un héritier légitime et non adopté. le destin de Chabili est incroyable pour une femme née en Inde, surtout dans la caste des Brahmanes. A la mort de Gangadar, Chabili demande à de reconnaître l'enfant adopté comme futur roi de Jhansi en promesse de son attachement à la couronne britannique.

L'étau se resserre, les anglais s'approprie les biens des indiens, les humilie…. et la révolte gronde jusqu'à l'éclatement. Chabili tente de rester fidèle jusqu'à ce que cela devienne impossible. Elle prend la tête des cipayes et sera tuée au combat. Depuis, elle est considérée à l'égal des déesses et ses louanges toujours chantées.

Catherine Clément se fait chantre de Chabili et nous propose un livre à sa gloire. J'ai découvert cette partie de l'histoire indienne. La révolte des cipayes est le prélude, une cinquantaine d'année à de la guerre d'indépendance. « le gouvernement de New Delhi déclara que l'insurrection de 1857 s'appellerait désormais officiellement la « première guerre pour l'indépendance de l'Inde. » »

C'est un livre fort bien documenté comme en témoigne les commentaires bibliographiques de l'auteure. On sent que Catherine Clément aime l'Inde et « la Jeanne d'Arc de l'Inde ». Elle a écrit un roman historique où l'on voit que les anglais deviennent de plus en plus gourmands, de plus en plus autoritaire et autocrates au mépris de la population indienne.

J'ai aimé suivre Chabili vers son destin de pages en pages, la voir progresser, la voir grandir.
Un très bon livre-piège : une fois la première page tournée, il vous faudra aller jusqu'au bout. Rassurez-vous : ce sera un réel plaisir et un vrai moment de lecture.

Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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C'est un roman historique fascinant, inspiré d'événements réels, qui retrace l'histoire extraordinaire d'une princesse indienne au destin hors du commun.
L'auteure, philosophe et romancière nous donne là un véritable chef d'oeuvre !
Moi qui n'aime pas particulièrement les romans historiques mais qui adore lire les destins de femme peu communs, j'ai été littéralement happée par la lecture de ce roman que j'ai lu de bout en bout sans m'arrêter. Il est difficile en effet de le quitter avant la dernière page.
Depuis j'ai revisité l'histoire de l'Inde pour constater que par le roman on en apprend souvent "plus" que dans les livres d'histoire.
Elevée par un père veuf au milieu de garçons, Lakshmi Baï, que ses proches appellent Chabili ("la chérie"), n'est pas comme les autres filles : elle n'a peur de rien, joue avec des garçons, apprend à manier l'épée et est prête à faire voler en éclat la tradition pour devenir une jeune femme libre.
Elle, dont le destin tout tracé par les astrologues, est de devenir reine, devient veuve à 30 ans, et deviendra guerrière pour sauver sa cité lors de la révolte des Cipayes.
L'auteure nous plonge en plein XIX° siècle, lorsque les Cipayes firent la guerre à leurs maîtres blancs, les anglais de la Compagnie des Indes orientales ( "John Company"). Les Cipayes alors soldats indigènes, faisant partie de la compagnie, se révoltent devant trop de brimades, d'exploitation et d'humiliations.
A cette époque, la Compagnie des Indes n'hésitait pas à détrôner les rajas pour annexer leur Etat. Les administrateurs, dont certains ne cherchent pas à comprendre les coutumes locales, commettent de graves erreurs.
Ce qui déclenche la révolte est simplement lié à un interdit alimentaire incompris. En effet le bruit court que les nouveaux fusils vont être alimentés de cartouches contenant de la graisse de porc (interdit aux musulmans) et/ ou de boeuf (animal sacré en Inde), impossible pour les soldats de porter à leurs lèvres ces cartouches sans devenir impurs.
Or, il faut obligatoirement les décapsuler avec les dents pour pouvoir les utiliser...
En 1857, cinquante cipayes sont condamnés aux travaux forcés pour avoir refusé d'utiliser ces fusils ! le lendemain, le régiment entier se mutine et les révoltés marchent sur Dehli, puis sur Lucknow. La répression est terrible, les prisonniers sont massacrés à coups de canons...
Au début, opposée à la guerre et horrifiée par les massacres survenant des deux côtés, la reine de Jhansi, pour sauver son royaume, finit par prendre le commandement. Elle devient le chef militaire des Cipayes.
Pendant deux ans, la guerre qui fut qualifiée depuis de première guerre d'indépendance de l'Inde, mit le pays à feu et à sang car les paysans rejoignent rapidement les soldats.
Cette révolte a fait trembler l'empire britannique, car il était très implanté commercialement là-bas. Les évènements sont d'ailleurs largement commentés dans le roman par deux correspondants de presse, Karl Marx et Friedrich Engels.
Suite à cette révolte, même si la rébellion a fini par être écrasée, la Compagnie cesse de dominer les Indes et le pays devient officiellement une colonie de l'empire britannique.
Celle que les anglais appelaient "Jeanne d'arc" mourut à cheval, habillée en garçon, une épée dans chaque main, en femme libre !
La reine des Cipayes est toujours vénérée en Inde et les enfants apprennent à l'école la chanson qui célèbre sa gloire, car elle est morte en héroïne...
Lien : https://www.bulledemanou.com..
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
2. « Le plus fidèle disciple de Gandhi s'appelait Vallabhbhaï Patel, si fidèle qu'on l'appelait "l'homme oui-oui" de son leader. Emprisonné à de nombreuses reprises pour désobéissance civile et manifestations non violentes, Patel devint le bras droit de Nehru, et son surnom changea : il devint "l'homme de fer".
L'homme de fer était le fils d'un cipaye de Jhansi qui avait combattu sous les ordres de la Rani.
Nehru vénérait la mémoire de Lakshmi Baï. Après l'indépendance, des statues équestres apparurent dans les squares des villes de l'Inde centrale. Toutes des cavalières brandissant une épée, à Gwalior, à Agra, à Jhansi. Ces statues n'honorent pas seulement la Rani héroïque, mais aussi ses compagnes, Mandar et Kashi. » (p. 373)
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1. « Ils aimaient leurs soldats, oui, ils les chérissaient. Et eux ?
Les cipayes se trouvaient bien traités, pour ça, rien à dire. Mais ce n'était plus pareil, enfin, pas tout à fait. Leurs officiers anglais étaient meilleurs dans le temps, partageant leur popote, épousant des Indiennes, vivant comme eux et avec eux. Maintenant, les maîtres étaient de petits jeunes venus pour faire fortune, des moins que rien qui n'aimaient pas le pays et qui mangeaient du gigot bouilli entre eux.
Il n'y avait toujours pas d'officier indien ; sous-officier, ça oui, mais officier, jamais. Les maîtres étaient les maîtres, les Sahibs ; leurs Mem-Sahibs, les madames venues d'Angleterre, étaient vraiment bizarres, habillées de laine au plus fort de la chaleur, dévorant de la viande de bœuf saignante à belles dents, dînant précieusement sur une nappe où couraient les cafards, se lavant peu, sentant terriblement mauvais.
Les cipayes commençaient à appeler peaux-jaunes leurs jeunes maîtres à cause des quantités d'alcool qu'ils absorbaient. Leurs maîtres au teint curcuma et à l'air satisfait, des gens cupides, intéressés, ah ! Non, ce n'était plus pareil. » (pp. 178-179)
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Une femme comme elle n’obéissait à rien. Une femme comme elle, rebelle aux traditions, ne se laisserait pas faire, il en était certain. Tout était vrai. Elle maniait l’épée, elle était cavalière. Une femme comme elle pouvait conduire une guerre. Une femme comme elle…
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Une fille n’avait qu’un seul destin, être l’épouse d’un homme qui était son dieu.
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Il n’y avait toujours pas d’officier indien ; sous-officier, ça oui, mais officier, jamais. Les maîtres étaient les maîtres, les Sahibs ; leurs Mem-Sahibs, les madames venues d’Angleterre, étaient vraiment bizarres, habillées de laine au plus fort de la chaleur, dévorant de la viande de bœuf saignante à belles dents, dînant précieusement sur une nappe où couraient des cafards, se lavant peu, sentant terriblement mauvais.
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Vidéo de Catherine Clément
Jérémy Chaponneau, chargé de collection au département Philosophie, histoire et sciences humaines, vous propose un programme de lectures autour des voyages d'Henri Cartier-Bresson : « le Musée du peuple mexicain », Pedro Ramirez Vazquez, Vilo, 1968 https://c.bnf.fr/NKm « La Nuit de Tlateloco », Elena Poniatowska, Éditions CMDE, 2014 https://c.bnf.fr/NKp « Autobiographie ou Mes expériences de vérité », Gandhi, PUF, 1982 https://c.bnf.fr/NKs « Gandhi : la biographie illustrée », Kapoor Pramod, Chêne, 2017 https://c.bnf.fr/NKv « Gandhi, athlète de la liberté », Catherine Clément, Découvertes Gallimard, 2008 https://c.bnf.fr/NKy « Mahatma Gandhi », Romain Rolland, Stock, 1924 https://c.bnf.fr/NKB « Mahatma Gandhi : a biography », Bal Ram Nanda, Oxford India paperbacks, 1959 https://c.bnf.fr/NKE « Histoire de l'U.R.S.S. », Nicolas Werth, Que sais-je ?, 2020 https://c.bnf.fr/NKH « Staline », Oleg Khlevniuk, Gallimard, 2018 https://c.bnf.fr/NKK « U.R.S.S. », Jean Marabini, le Seuil, 1976 https://c.bnf.fr/NKN
En savoir plus sur l'exposition Henri Cartier-Bresson. le Grand Jeu : https://www.bnf.fr/fr/agenda/henri-cartier-bresson
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