AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 978B08SKWSP7L
221 pages
Beta Publisher (10/01/2021)
4.26/5   21 notes
Résumé :
Vous me connaissez tous.
Vous me craignez tous.
Mais savez-vous vraiment qui je suis ?

Depuis la nuit des temps, j'agis dans l'ombre.
D'un simple regard, je coupe le fil et vous ôte la vie.
Et, croyez-moi, la plupart d'entre vous ignorent quand la roue va s'arrêter de tourner.

Jusqu'à aujourd'hui, j'ai travaillé sans faillir.
Siècle après siècle.
Jour après jour.
Nuit après nuit.
M... >Voir plus
Que lire après Je suis la mortVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
4,26

sur 21 notes
5
11 avis
4
5 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
J'ai entendu parlé de ce texte pour la première fois sur Wattpad, j'avais même déjà lu le début. J'ai été agréablement surprise de le retrouver sous format papier ! Ce roman est un ovni littéraire. À la minute où vous commencez à le lire, il n'y a aucun moyen de savoir comment ça va se terminer. J'ai adoré ma lecture : on avance de surprise en surprise, et le moins qu'on puisse dire, c'est que la Mort n'a pas fait que se reposer pendant ses vacances !

Nous suivons donc La Mort, une femme charmante qui travaille depuis des millénaires et qui en est arrivée à son point de rupture. Elle a donc décidé de prendre une chambre dans un hôtel et de s'y imposer le temps qu'elle le voudra, et tant pis si ça ne plaît pas. C'est un personnage très attachant, aussi charismatique que vulgaire, et le moins qu'on puisse dire, c'est que pour quelqu'un qui côtoie les hommes depuis la nuit des temps, elle n'a pas non plus pris le temps de les connaître correctement. Elle a oublié de mettre des points dans la compétence sociale de sa fiche de présentation, et c'est pour ça que c'est hilarant. Elle est profondément incorrecte, fait ce qu'elle veut quand elle le veut et n'hésite pas à menacer pour arriver à ses fins.

Plus on avance dans l'intrigue et plus ces défauts deviennent attachants. Il y a des choses qui se passent très mal, d'autres qui auraient pu se passer autrement, mais qui ne le pouvaient juste pas, parce que la manière dont se sont passés ces événements est incroyable. Si vous vous attendez à des vacances tranquille comme on en lit dans d'autres feuilletons à l'eau de rose, vous êtes mal tombés. La Mort a sa façon bien à elle de « se reposer », même si ça signifie créer un bazar abominable partout où elle passe, quitte à mettre tout le monde en difficulté pour son propre plaisir. Elle est égocentrique, pas aimable et c'est une véritable bourrique, bon courage si vous envisagez de vous mettre sur son chemin !

L'autre charme du texte, ce sont tous les personnages qui l'entoure : Pépète, Mademoiselle Amélie, Monsieur Grégory, Madame gaufrette et bien d'autres ! Les traits de tous les personnages sont grossis pour en faire des personnages haut en couleur et à la langue bien pendue. Ils sont tous super attachants, même les plus grognons d'entre eux. J'ai complètement adoré Madame gaufrette, dont l'arc narratif est tout simplement incroyable et m'a fait pleuré de lire. C'est le genre de roman qui peut se lire à voix haute juste pour le plaisir de mettre en voix les personnages. Si jamais Beta Publisher veut se lancer dans l'audio, je veux absolument voir ce roman en premier.

La narration est aussi très particulière sur ce texte. La Mort raconte son histoire au lecteur. Vous êtes le public visé, c'est pour vous qu'elle écrit. C'est un peu surprenant si vous n'avez pas l'habitude puisqu'il y a un entremêlement de morceaux de l'intrigue, d'anecdotes de la Mort sur divers sujets (dont certain que, peut-être, vous auriez préféré ne pas savoir, mais c'est trop tard pour reculer maintenant !) et de passages où elle s'adresse même complètement à vous. Je comprends que certains trouvent ça dérangeant parce que c'est loin de ce que l'on a l'habitude de lire, mais j'ai trouvé ça vraiment très chouette pour ma part. C'est un type de narration qu'on croise peu, et encore moins assumé du début à la fin de l'intrigue. Ça fait aussi parti des charmes de l'histoire.

À cela s'ajoute également le jeu des notes de bas de page. Avouez, qui n'a jamais sauté les notes de bas de page parce qu'en vrai, on s'en fout un peu (ouh là là, si mes profs de fac lisaient ça krkrkr, mais ça fait cinq ans que je suis à la Fac maintenant et je comprends toujours pas ce qu'il y a d'excitant dans les notes de bas de page). Ce livre donne enfin une vraie utilité à ces notes inintéressantes puisque s'y trouve toute une partie de narration bonus qui vous permet d'en savoir plus à la fois sur la Mort, mais aussi sur l'autrice-narratrice qui écrit l'histoire. Je trouve que c'est un élément absolument inattendu et complètement génial. L'idée est super originale et ça ouvre plein de perspectives nouvelles de narration. C'est quelque chose que j'aimerais vraiment beaucoup voir sur des types de textes peut-être moins humoristiques pour voir ce que ça donnerait. En tout cas, dans le cas de ce roman en particulier, ça fonctionne totalement !

De manière général, tout se lit extrêmement bien dans ce texte. Il y a beaucoup de dialogues, les chapitres sont assez courts ce qui permet de lire et faire des pauses de temps à autres, il y a plusieurs arcs narratifs absolument fous et beaucoup d'humour, ce qui fait qu'on se laisse prendre au jeu facilement. J'ai eu un peu de mal avec les accents et l'humour scatologique parfois, mais dans l'ensemble, ça reste très bien pensé et très drôle. Vous allez même pousser des « Rooooh » de désapprobation parfois.

Notons tout de même qu'il y a un fond assez sombre et sérieux au récit. Puisque la Mort est en vacances, il y a tout un tas de conséquences pour l'humanité qui se produit et c'est à la fois assez flippant et totalement en décalé par rapport au ton du texte. J'avoue, j'aurai aimé que cette partie soit un tout petit peu plus développée parfois, mais les petits moments qui en parlent sont sans doute ceux que j'ai préféré !

En bref, c'est une très chouette découverte si vous êtes à la recherche d'une lecture humoristique sur laquelle il n'y a pas trop à réfléchir. Les personnages sont attach(i)ants, on rigole bien et il y a un chien, donc ça ne peut pas être un mauvais livre parce que tout le monde sait que les chiens, c'est mignon. Lisez, vous verrez. Je recommande grandement cette lecture !
Lien : https://lantredemyfanwi.word..
Commenter  J’apprécie          20
Petite lettre à La Mort :
Chère Madame La Mort,
Je vous écris ces quelques mots après avoir terminé l'ouvrage que vous avez mis à notre disposition, qui relate, telle une autobiographie, vos vacances prolongées dans notre humble demeure qu'est l'Humanité. Je vous remercie, tout d'abord, de vous être présentée à moi - enfin plutôt à tous les lecteurs. Je vous avoue très honnêtement que je ne pensais pas avoir à vous approcher d'aussi près aussi tôt. Je vous ai croisé déjà, au détour d'une chambre d'hôpital, sur le palier d'une chambre d'EHPAD, lors d'un coup de fil le soir entre deux larmes. Et j'avais une vision de la mort (la mort objet si l'on peut dire) assez étriquée, fermée ; les équipes qui m'entourent se battent contre Vous à longueur de journée... Mais Votre livre était là, posé sur ma table de chevet (vous direz merci à votre porte plume et à l'équipe d'édition du livre !), comme une porte ouverte à la compréhension de votre mission.
Alors j'ai pris mon courage à deux mains. Ni une, ni deux, je tourne la première page du livre. Il faut dire que votre porte plume, Madame Valérie Clermon, vous a remarquablement bien vendu sur cette quatrième de couverture. J'espère que vous ne lui faites pas faire de tour de carrousel trop souvent. Enfin bon, je disais : ce résumé était comme une promesse d'enfin rire avec la Mort, et non pas rire de la Mort (cela n'a pas la même signification, ç'aurait pu être un sujet à discorde). Je vous ai découvert sous un nouveau jour, loin de la terre glacée et des larmes qui perlent sur les joues des endeuillés. Vous m'êtes apparue personnifiée, presque abordable (même si, avouons-le, vous restez un peu effrayante avec vos histoires de carrousel). J'ai suivi avec curiosité vos vacances, qui je dois dire, semblent bien méritées : vous diviser en millier de petites Morts pour aller chercher toutes les âmes choisies, ça ne doit pas être du gâteau ! J'ai aimé vos blagues un peu lourdes (ne me tapez pas), votre franc parlé (Camille a du se tirer les cheveux en lisant tous vos gros mots). J'ai beaucoup apprécié vos histoires sur la mort des Célèbres (très franchement, on savait déjà que Freud était sacrément perché), et votre facilité à parler de tous ces sujets engagés : la mort (ça semble logique tu me diras), la pollution, la maltraitance animale...
Je vous ai vu découvrir les choses de la vie (un peu paradoxal pour La Mort tout de même), vous qui les observiez de loin sans forcément les comprendre ou y prendre part : l'amour, le sexe, la nourriture, l'alcool (souvenez-vous, il faut boire beaucoup d'eau entre les verres), l'amitié et le bonheur de s'accorder des vacances, de ne plus penser à rien d'autre qu'à soi-même. Un peu d'aventure, de la bonne nourriture, de tour de carrousel et un chouille de vengeance (mais pas très méchante, car vous n'êtes pas méchante).
Mais Madame La Mort, votre absence se fait ressentir. Vous régulez (comme votre amie qui s'occupe des animaux, vous lui demanderez de passer le bonjour à Cannelle, elle saura qui c'est) la vie, vous libérez des lits dans les hôpitaux, vous recueillez les derniers souffles des vies remplies et heureuses autant que ceux des vies vides et tristes. Vous soulagez des âmes qui souffrent et pour lesquelles l'acharnement thérapeutique est un fléau (cher lecteur, je m'adresse cette fois-ci à toi, quand tu arriveras à cette scène du livre, ne doute pas qu'une larme dégoulinera le long de ta joue)... Alors quand vous ne coupez plus les fils, on pourrait penser, d'abord, que c'est un miracle, que la Vie gagne contre La Mort ; mais nous finissons débordés, acculés par ces miracles qui survivent suspendus à un fil, et pour lesquels nous ne pouvons pas abréger nous-même les souffrances.
Madame La Mort, merci pour cette prise de conscience. Merci d'avoir donné de la voix (enfin plutôt de l'écrit) et d'avoir dédramatisé le moment où l'on vous rencontre. Je ne sais toujours pas ce qu'il y a dans l'au-delà, ni-même à quoi vous ressemblez réellement ; mais je garderai toujours en tête cette image d'une femme charmante (oui, La Mort est une femme, elle vous explique très bien pourquoi et quand on y pense c'est très logique) et pleine de bonhomie qui me fait un peu moins craindre le moment fatidique. Enfin, merci à Valérie Clermon qui ne manque indubitablement pas de talents, et qui m'a fait beaucoup rire lors de ses échanges avec Vous dans les notes de bas de page.
Lien : http://thereadingsession.fr/..
Commenter  J’apprécie          20
Ovni !🛸

C'est le résumé sur le site de l'éditrice qui m'a donné envie d'ouvrir ce livre. Pourtant, le style « parlé », quand je lis, ce n'est pas trop mon truc. L'abondance de dialogues et le vocabulaire familier non plus. J'aime le passé simple et les jolies phrases. Mais j'avais envie de sortir de ma zone de confort. J'ai choisi ce livre et je ne regrette pas ! J'ai aimé le voyage, souri, ri, je me suis dit « oh non elle a pas fait ça ? » et puis si, j'ai été choquée puis émue, bref c'est une vraie lecture divertissante.

Ça parle de la Mort. La Mort, ici, c'est une femme. Et elle a une sacrée responsabilité puisque c'est elle, et elle seule, qui s'occupe de la mort de tous les êtres humains depuis la nuit des temps. Bonjour la charge mentale ! Elle sillonne les continents et les époques pour ôter la vie quand il le faut. Elle ne choisit pas, elle exécute. Après des millénaires à côtoyer les humains, elle décide de faire grève et de découvrir ce qu'elle perçoit de l'extérieur depuis trop longtemps. Avec une sorte de bucket list d'émotions humaines et de vices à expérimenter, elle part en vacances sur la côte d'Azur et profite de la vie. Oui mais voilà, pendant qu'elle va d'aventure en aventure (racontées en détails et avec l'accent belge), dans le monde, plus personne ne meurt. Et si ça semble plutôt une bonne nouvelle au départ, ça va vite semer la pagaille. Surtout que la souffrance, elle, n'a pas pris de vacances.

Ce roman avait tout pour me déplaire et pourtant je me suis laissée complètement embarquer dans cette aventure absurde et drôle qui m'a fait réfléchir à la mort et surtout à la vie et à l'humanité. Alors vraiment, merci et bravo à l'autrice !

Ce que j'ai préféré : les passages où la Mort raconte la fin de personnages illustres (narration 👌)
Commenter  J’apprécie          30

On ne rigole pas avec la Mort. Sujet tabou au coeur de notre société occidentale, La Mort, quelle soit religieuse ou athée, est synonyme de nombreux maux difficilement acceptable et d'une conséquence irréversible. Nous sommes d'accord sur ce point, la Mort, ça craint ! Mais ça, c'est avant de la connaître vraiment. Allez, n'ayez crainte, venez vous tapez un very bad trip avec la Mort ! Valérie Clermon l'a côtoyé, pendant un petit moment (si je puis dire).
Personne ne connaît la Mort, souvent représentée avec cette funeste aube noire, sans visage ou squelette, il n'y pas de doute, côté mode elle ne s'y connaît pas. Sa présence est toujours synonyme d'événement funeste, la grande faucheuse n'a pas de pitié. Zou, un coup et te voilà six pieds sous terre.


Valérie Clermon a l'audace (et merci !) d'humaniser la mort. Et c'est bien connu la mort est une femme, suite logique des choses (elle donne la vie, elle prend la vie). Madame La Mort est une entité qui peut prendre le physique qu'elle souhaite. Son don d'ubiquité lui permet de se trouver n'importe où au moment importun. Seul bémol, elle ne sent pas entière, effectivement un bout par ci et par là, il y a de quoi tergiverser. Pas de compagnie, une solitude pesante et opprimante. Aucune reconnaissance de son travail par sa hiérarchie et encore moins par les simples mortels. Alors quand cet homme éméché dans sa voiture se fout littéralement de sa poire, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Après tout aucune close dans son contrat ne lui interdit de prendre du repos. Il ne faudrait pas qu'elle soit victime d'un burn-out, ça ne le fait pas ! Ni une, ni deux, direction la côte d'Azur pour prendre ses quartiers. Bloquée sous sa dernière apparence, la voici bien embêtée (enfin juste un peu) à l'accueil de cet hôtel de prestige. Mais elle a plus d'un tour dans sa poche. Grâce à la force de sa persuasion, la voici dans une suite de luxe, frais en tout genre et repas offerts. Ça c'est la belle vie ! Les vacances cela a du bon, relaxation, mojito à gogo, piscine, massage … oui enfin c'est qu'elle est d'un tantinet impatiente. Il lui faut de l'action, des rencontres, de la compagnie. Il faut dire que son caractère de cochon n'aide en rien ! Et si l'improbable se réalisait ? Oseriez-vous découvrir la personne qu'elle est réellement ?


Valérie Clermon signe un roman totalement dingue. Si au départ j'ai été quelque peu déstabilisée par cet humour débordant auquel je n'étais pas très réceptive, il faut croire que la plume de l'auteure a fait des miracles. La Mort est un personnage totalement exubérant qui n'a aucune limite. Un humour douteux mais pas graveleux qui, un fois que l'on est habitué, devient subtil et pointe les travers des hommes et des femmes. L'amitié, les relations hommes/femmes, les animaux, l'argent, l'amour s'invitent tour à tour dans l'histoire qui ne manque pas de mordant et de piquant. La Mort se sociabilise et apprécie grassement. Et c'est tout au long de ses pérégrinations qu'elle prend conscience de son rôle. Au cours de cet aparté elle est mise face aux sentiments et aux émotions qui régissent l'humanité. Requinquée à mort (oui je sais …) elle est prête à remettre de l'ordre sur la Terre, depuis qu'elle a disparu de la circulation, c'est devenu une pagaille sans nom !


JE SUIS LA MORT est roman tordant et totalement exquis ! Un humour débordant de bon sens qui fait toujours écho aux lecteurs. Je trouve qu'il y a quelque chose d'adorable avec ce personnage. Sa bienveillance, sa bonhomie, son entrain (même morbide) apportent cette touche qui captive sans aucun fard !


A dévorer !
Lien : https://lesmisschocolatinebo..
Commenter  J’apprécie          20
Yo mes petits fromages, ça gaze ? Aujourd'hui, c'est avec un immense plaisir que je viens te parler de Je suis la mort et je suis en vacances, de Valérie Clermon, publié aux éditions Beta Publisher !

À. MOURIR. DE. RIRE. (sans mauvais jeu de mots)

Bon, avant de vous partager mon avis concernant cet ovni littéraire, une remise en situation s'impose : on va suivre les vacances de la Mort, qui va s'arrêter un moment de tuer les gens. Et pour profiter de son repos bien mérité, Elle se retrouve dans un corps d'humaine. Or, la Mort ne s'est JAMAIS retrouvée dans une telle position, et découvre donc enfin les joies de la condition humaine (je veux pas vous spoil hein, mais disons que sa découverte du système digestif est quelque peu originale).

Le personnage de la Mort est tout simplement incroyable. Oui, elle peut se montrer exigeante et un peu cruelle (vous vous attendez à quoi ?), mais elle sait diriger son fiel sur les bonnes victimes (il semblerait que nous avons en commun la haine de Karen à la marmaille mal élevée).

Bon, je me répète mais clairement ce livre est trop drôle, j'ai rigolé du début à la fin (et je rigole encore en repensant aux (nombreux) passages qui m'on fait rire). Situations cocasses, quiproquos, sarcasme et ironie, tout y passe.

Et puis c'est quand même aussi touchant. Y'a même des thèmes un peu plus compliqués qui sont abordé tout en douceur, comme le burn-out ou le suicide.

J'ai aussi fort aimé la plume de l'autrice. Et, oui, j'avoue, l'idée qu'elle soit belge, ça me plait énormément (patriotique, moi ? Tss tss). C'est fluide, ça se lit (boit ?) comme du petit lait et puis les quelques petites refs à la Belgique c'est bonbon. D'ailleurs en parlant de refs culturelles y'en a pleeeein (y'en a même que j'ai pas mais passons).

Bref, une excellente lecture que je qualifierais de feel-good, sans prise de tête, super drôle et déjantée, avec une touche de belgitude exquise !

J'vous claque la bèse,
Votre humble et dévouée petite souris
Commenter  J’apprécie          20

Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Il faut toujours profiter de la vie. Réfléchissez-y : hier est passé et demain n’arrivera peut-être jamais. Il ne vous reste plus qu’à vivre pleinement aujourd’hui.

- 58/216p
- Dernière page du chapitre 10
Commenter  J’apprécie          20
Avec la Déesse de la Nuit, je suis passée par tous les états d'esprit : de la peur à l'étonnement en n'oubliant pas les éclats de rire. C'est qu'elle a un humour décoiffant, la bougresse ! Alors, apprêtez-vous à un plongeon des plus rocambolesques.
Commenter  J’apprécie          10
Ce genre d’êtres ignobles…
Moi, quand je vais les chercher, ceux-là, j’appelle ça de la « dératisation ».

- 89/216
- Dernière page du chapitre 16
Commenter  J’apprécie          00
Réfléchissez-y : hier est passé et demain n'arrivera peut-être jamais. Il ne vous reste plus qu'à vivre pleinement aujourd'hui.
Commenter  J’apprécie          00
"- Ce genre d'êtres ignobles...
- Moi, quand je vais les chercher, ceux-là, j'appelle ça de la" dératisation "."
Commenter  J’apprécie          00

autres livres classés : plaisirs de la vieVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus

Autres livres de Valérie Clermon (1) Voir plus

Lecteurs (40) Voir plus



Quiz Voir plus

Philo pour tous

Jostein Gaarder fut au hit-parade des écrits philosophiques rendus accessibles au plus grand nombre avec un livre paru en 1995. Lequel?

Les Mystères de la patience
Le Monde de Sophie
Maya
Vita brevis

10 questions
437 lecteurs ont répondu
Thèmes : spiritualité , philosophieCréer un quiz sur ce livre

{* *}