Le dernier des nôtres

J'ai adoré et je ne suis manifestement pas la seule 🤗 Des personnages dont la complexité les rend attachants, même si on retrouve quelques clichés. J'ai adoré le côté "n'ayons pas peur des mots" de l'auteure. C'est facile à lire mais bien écrit, la trame histoire familiale prend souvent bien chez moi et donc ce fut un moment lecture des plus agréables 😊

je suis tombé sous le charme de ce roman et je le recommande à tous les lecteurs , ce livre se lis facilement . il plait pas à tous le monde mais moi j'ai adoré et c'est là le principal .

Dans ce roman nous naviguons entre 1969 à Manhattan et 1945 à Dresde. En 1945 une femme accouche d un garçon sous les bombes de la guerre qui fait rage.
1969 un homme et une femme se rencontre et vivent d un amour éperdu . Rebecca est une artiste et Werner un homme d'affaire brillant, tous deux vivent . Ils sont amoureux, riches, jeunes et l avenir devant eux. jusqu'au jour où Rebecca va présenter Werner à ses parents !
À partir de ce jour plus rien ne va entre eux mais pourquoi ?
Je ne veux pas gêner les lecteurs donc je m arrête là pour ce qui est du déroulement du roman.
J'ai adoré cette histoire qui commence de façon banale pour petit à petit prendre une allure pleine de suspense, de surprise, d amour, d amitié et d horreur...
Je peux dire que c'est une vraie pépite ! Un gros coup de coeur !

Comme beaucoup, j'ai été déçu par ce livre qui m'a été offert. Intrigue improbable, personnages stéréotypés, style lourdaud : on se demande comment "Le dernier des nôtres" a pu recevoir le prix De l'Académie Française. L'ensemble se laisse lire mais l'on ne dépasse jamais vraiment le niveau d'un roman sentimental un peu nunuche avec happy end obligé. Dans un tel contexte, les scènes se déroulant pendant la seconde guerre mondiale sont dérangeantes...

Je ne sais pas quel raptus m'a fait acheter ce livre...

Une lecture décevante, copieuse et verbeuse pour nous narrer une histoire invraisemblable entre deux êtres qui traînent des casseroles...
Je ne reviens pas sur le sujet car il a été largement développé par d'autres babeliotes.

Avec tout de même deux sujets intéressants évoqués dans ce roman : l'Opération Paperclip nord-américaine qui a exfiltré plus de 1500 scientifiques allemands et l'existence des bordels dans certains camps de concentration du III Reich, sujet gênant et éludé un maximum comme il se doit.

La lecture de ce roman m'a rappelé par moments la lecture du sulfureux Cinquante nuances de Grey, quoique celui-ci est mieux écrit et il y a de la documentation. A d'autres moments je le trouvais franchement cucul la praline.

Ah chers amis, les prix littéraires ! Cela devrait faire le sujet d'un excellent roman car il y a matière à développer, hein?
Lien : https://pasiondelalectura.wo..

Je pense exactement la même chose que Tynn : j'ai été bien déçue par ce méli-melo qui n'échappe pas à TOUS les clichés sur les bobos, les sixties, Manhattan, les horreurs de la guerre et les grands sentiments sans éviter les INÉVITABLES parties de jambes en l'air qui n'apportent RIEN à une intrigue qui ne manque pourtant pas d'intérêt, car la lectrice impénitente que je suis a eu à coeur d'aller au bout, même si bien souvent, l'envie m'a prise de tout laisser tomber. Dommage, j'avais apprécié "Fourrure", qui avait, disons-le, un peu plus de "branche", et de style. Une note amusante, après ce 9 novembre: un déjeuner des héros avec Donald Trump him self !

Grande déception de ma part à la lecture de ce roman . Ni le style, ni
l'intrigue ne justifient des critiques aussi dithyrambiques que celles que
j'avais lues ici et là . Je viens d'apprendre que son auteur avait reçu le grand prix du roman de l'Académie française ..... je vous avoue ma grande perplexité . CONTINUER, CONTINUER de L. MAUVIGNIER aurais-je susurré
à l'oreille du jury

Que dire de ce méchant et fâcheux livre d'Adélaïde Clermont – tonnerre ,arrière-petite-fille de la princesse Isabelle d'Orléans, soeur du « comte de Paris » normalienne directrice de "Point de vue » hebdomadaire des têtes couronnées et fondatrice et présidente de Royalement Vôtre Éditions
La naissance avec une cuillère d'argent dans la bouche ne mène pas forcement au Mont-Blanc à plume d'or loin de là d'ailleurs sauf que... l'élite littéraire, l'académie française, le gotha du tout Paris a décerné a cette autrice quantité de prix Elle n'a écrit que deux livres mais tous primés huit prix et finalistes des prix les plus prestigieux avec louanges dithyrambiques des personnes les plus en vue. Mais bon vu le curriculum vitae...Un page turner ?
Aurais-je manqué quelque chose?  Qu'es aquò ? Examinons sereinement l'ouvrage

Une histoire cousue de fils blanc d'une médiocrité invraisemblable mise en page en chapitres alternés où récits et analepses se succèdent (pour le suspens. La partie contemporaine aux states et la partie « préquel » dans l'Allemagne nazie (brrr)
Une narration qui se veut élégante et raffinée le sujet et l'auteure s'y prêtent et style enlevé
Un petit couplet sur les penthouses ou lofts de millionnaires a New- York (Cinquième Avenue de Manhattan pas le Bronx ) remplis lors de soirées arrosées et psychédéliques d'artistes et non des moindres ‘(allez un petit name dropping valorisant) Andy Warhol, Joan Baez, Patti Smith, Bob Dylan et autres stars mineures
Un petit couplet sur les débuts balbutiants et difficile du bébé futur Self-made man et héros de ce livre dans Dresde en feu et en flammes (les deux) avec pas loin von Braun ni plus ni moins. Un angelot hybridé diablotin c'est dire si il a du potentiel
Un petit couplet sur l'exfiltration des cerveaux nazi aux USA et du diablotin
Un petit couplet sur l'histoire d'un couple glamour et haut de gamme : fifille de millionnaire qui ne sait pas se faire cuire un oeuf mais qui est un peintre de phallus d'avant garde renommé et qui en a, un grand garçon, play- boy et bad boy colérique, violent, égoïste, goujat, volage (il a tout pour plaire à une féministe) qui, en Self-made man deviendra par une ascension fulgurante (à l'américaine) le roi de l'immobilier de N-Y
(On a du mal a imaginer Adélaïde écrire « Sur le banc » avec Jane Souza et Raymond Souplex, une story de SDF).
Une story! « Marvellous » comme dirait Louis et les tourtereaux s'aiment du style Je t'aime... moi non plus.
Les dragées ne sont pas loin mais il y a une petite épreuve à accomplir avant: il faudra mettre les mains dans le cambouis
Un petit couplet inévitable sur Auschwitz-Birkenau d'une féroce banalité mais n'est pas Levi ou Merle qui veut ! le point Godwin d' Adélaïde. Ça attendri toujours le lecteur la torture surtout quand c'est une femme qui n'a pas l'habitude.
Un petit couplet sur la chasse aux nazis (Ha! la chasse à l'homme pour la bonne cause) mais n'est pas  Wiesenthal, Klarsfeld  et Lieberman qui veut!
Un petit couplet sur la justice radicale « Le droit de tuer ? »mais n'est pas  J. Schumacher qui veut!
Certes je fais des redites mais bon...
Et un gros, gros et affreux secret terrifiant qui va agiter tout ce petit monde entre deux virées au resto et flûtes au champagne.
Et une fin époustouflante (non je plaisante) en fait un « roman d'imagination (qui) a emballé l'Académie (française)» comme disait sa présidente. la sortie de cette brave académicienne est vraiment étonnante ! Incompréhensible ! n'est-ce pas ?
Vous ne dormirez plus avant de découvrir qui est vraiment «le dernier des nôtres» nous dit la quatrième de couverture . Imaginons Foulcaut J.P la mine réjouie annoncer et « Le dernier de notre sera… » tsoin ! Tsoin ! sonner, hautbois, résonner et musette black out, la suite au prochain épisode.
mais bon raisonnons !

« Le dernier des notres... » sera aussi « le dernier livre… » d'Adélaïde que je lirai
surtout si « fourrure » est aussi bien noté par Hélène Carrère d'Encausse, Commandeur de l'ordre des Palmes académiques etc. Devant tant de grandeur et magnificence on ne peut que s'incliner

Ps: J'ai omis de parler Shakespeare le chien énoooorme une sorte de Scoubidou bien sympa qui met quelque peu le désordre (ah ah ah c'est hilarant) dans la garde-robe des dudit héros

Une romance historique qui nous transporte entre la seconde guerre mondiale et les Etats-Unis des années 70 à travers l'histoire de Werner, jeune homme ambitieux qui a été adopté et qui, par le biais de son histoire d'amour avec Rebecca, va retrouver ses racines.
Coup de coeur pour l'écriture précise et élégante de l'auteure ainsi que l'habileté dont elle fait preuve en alternant les époques.
En revanche, la mise en place des personnages et de l'intrigue est un peu longue alors que la seconde partie, moins centrée sur l'histoire d'amour, quelque peu convenue, est passionnante.

Bon, et bien là j'avoue que je ne comprends pas comment ce livre a pu être primé et aussi bien vendu. Ça ne casse vraiment pas des briques comme dirait ma grand mère, qui a vécu la seconde guerre mondiale et qui en sait donc au moins autant que les protagonistes de l'histoire, et qui l'aurait, à coup sûr, mieux racontée. Et quand au dilemme 'je t'aime moi non plus' du héros, on n'y croit pas un seul instant, ça ne colle pas au personnage, ça l'fait pas, comme dirait ma fille qui en sait au moins autant sur les problèmes de coeur des djeunes que les protagonistes, et qui les aurait à coup sûr mieux expliqués. Vraiment, passez au large, choisissez une autre lecture...