AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,09

sur 299 notes
5
28 avis
4
22 avis
3
5 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ta Nehisi Coates raconte dans cet ouvrage, combien il est difficile d'être noir dans cette Amérique capable d'élire un président noir mais aussi de frapper parfois en toute impunité un population afro américaine qui doit encore se battre en 2016 pour le plus élémentaire des droits, celui d'être l'égal de la population blanche. A partir de sa propre expérience, s'appuyant sur des références littéraires, politiques, sa réflexion sur le quotidien des noirs montre que la ségrégation, le racisme, la violence gratuite envers les noirs est malheureusement toujours d'actualité. Les assassinats par la police étant le triste reflet d'une réalité insoutenable. La liste ne cesse de grandir avec souvent pour tout jugement un acquittement pour le meurtrier blanc (Michael Brown 18 ans, Trayvon Martin 17 ans, Eric Garner 43 ans, Laquan McDonald 17 ans, Tamir Rice 12 ans, la liste macabre est bien trop longue) autant de vies insupportablement enlevées à cause de leur couleur peau. Des émeutes s'ensuivront à Baltimore, Ferguson, Baton Rouge. Coates met en garde avec raison son fils devant ce que l'Amérique n'a toujours pas réglée à ce jour, un passé ségrégationniste et raciste.
Son texte remarquable résonne avec d'autant plus de force.
Commenter  J’apprécie          580
Dans la catégorie "essai" le magazine LIRE vient d'élire Une colère noire de Ta-Nehisi COATES meilleur essai de l'année 2016.
Cette chronique, touchante déclaration d'identité des Afro-Américains, nous conte le vécu d'hier et d'aujourd'hui de ceux qui tentent, coûte que coûte, depuis des décennies, de conquérir leur autonomie aux Etats-Unis, les personnes de peau noire.
Dans ce pays où le racisme est affaire de hiérarchie, véritable entreprise de domination, la compréhension des rapports entre les noirs et les blancs, grâce à ce livre, est édifiante et violente pour tout occidental non au fait de la réalité du quotidien des noirs en Amérique du Nord.

A l'origine de cet écrit, il y a les pleurs du fils de l'auteur (15 ans) après l'acquittement des policiers responsables de la mort de Michael Brown, un adolescent noir abattu dans le Missouri. Alors son père décide de lui écrire. ...

Jonglant entre la grande histoire des Etats- Unis et celle de sa famille, cette longue missive va retracer la vie des noirs de Baltimore à l'université noire d'Howard pour son auteur, partout ailleurs sur le territoire américain pour les autres, le tout dans un style superbe.

Attention, car Ta-Nehisi COATES fait tomber les masques d'une Amérique qui ne comprend pas grand chose de l'acceptation de l'autre, et ça décoiffe.
Grace à ce véritable cri de rage, on se dit qu'on a toujours besoin d'apprendre pour comprendre le monde, et c'est ce que ce livre réussit fort bien. Une lecture hélas coup de poing.
Le magazine LIRE avait vu juste selon moi.


Lien : http://justelire.fr/une-cole..
Commenter  J’apprécie          470
Outre-atlantique, Ta-Nehisi Coates est une voix différente parmi les essayistes et journalistes afro-américains. Il dit les choses sans détour et avec une grande honnêteté. Dans Une Colère Noire, lettre à mon fils, il s'adresse aux jeunes afro-américains trop souvent victimes de violences policières et si facilement incarcérés. le livre est né suite au meurtre de son ami Prince Jones, tué par balle par un policier, sans motif. Ce meurtre s'ajoutait à une longue liste de crimes policiers impunis. Cet essai n'a pris la forme d'une lettre qu'en cours d'écriture. L'auteur s'est inspiré de James Baldwin, qui dans les premières lignes de The Fire Next Time (La prochaine fois, le feu, 1963) adresse lui-aussi une lettre à un jeune noir de 15 ans, son neveu. Mais contrairement à Baldwin, Coates ne délivre pas un message d'espoir mais un message de lucidité. Il tient à ouvrir les yeux de son lectorat sur le fait que malgré les conquêtes de la lutte pour les droits civiques, malgré l'élection d'Obama à la présidence, la violence contre les « corps noirs » demeure et ces derniers souffrent d'un manque de liberté et d'égalité, alors que « ceux qui se croient blancs » considèrent ces mêmes-droits comme leur étant acquis. Coates revient de manière intéressante sur ses années d'enfance à Baltimore et sur sa confrontation à la violence. Il explique son cheminement intellectuel et sa quête de sens et avoue parfois s'être trompé. C'est une pensée très claire, émaillée de références et qui se place dans une perspective historique. C'est aussi un récit personnel intéressant en tant que tel. Je vous conseille vivement ce livre, qui est aussi une bonne lecture à recommander à des ados. Plus de détails sur mon blog lectures-d-amerique.
Lien : http://lectures-d-amerique.com
Commenter  J’apprécie          180
Je suis tombée sur le livre de Ta Nehisi Coates sur sa promotion lors d'une interview dans le grand journal. J'ai adoré son discours et j'ai eu envie de lire sa lettre à son fils. Moi aussi je suis métissée et je voulais voir si je pouvais me mettre à sa place et quelle était la différence entre les Afro Américain et la France. Et puis quoi de plus sincère qu'une lettre destinée à ouvrir son coeur mais surtout les yeux de son fils sur le monde actuel.
Dans son livre, le journaliste parle du drame qu'il y a eu aux USA où deux policiers ont été innocentés suite à la mort d'un jeune afro américain. Qui n'a pas entendu parler de cette polémique. Son fils s'effondre et son père décide de lui raconter sa propre histoire et surtout les drames qu'il a traversés.
La colère Noire parle avant tout de « perdre son corps » et Ta Nehisi Coates nous explique ce que c'est pour lui cette expression. On rentre dans sa vie intime sa peur d'être noir dans les rues de Baltimore. L'éducation à la dure de ses parents parce qu'ils sont noirs. Il nous raconte son groupe de la Mecque et ceux qui se sont fait avoir par leur couleur de peau. Les anciens esclaves comme il le cite et la police spéciale qui fait ses propres lois. On a beaucoup de mal à se rendre compte que cela se passe dans un pays où nous avons vu débarquer le premier président Noir.
Etant métisse je vais être réaliste le racisme est partout, les mentalités ont certes plus évoluées mais on rencontre encore des personnes fermées. Je peux citer une phrase dite il y deux semaine à un repas : Seul le blanc est riche. Et quand le noir devient riche il devient blanc dans sa tête. J'espère que vous allez me dire qu'elle imbécile ce type, il n'a aucune instruction. Et bien cet homme est professeur dans un lycée sur Nancy. Voilà des cons il y en a partout pas que dans les campagnes.
Que dire de plus sur ce livre, il est peut-être court mais je l'ai trouvé parfois compliqué à lire. Pas destiné à un jeune adolescent. J'ai vraiment senti la pâte du journaliste et pas la partie émotion père/fils. C'est bien dommage. C'est ce qu'il m'a manqué. Par contre j'ai trouvé son récit intéressant et vraiment instructif. On voit autre chose que nos propres oeillères. On sent l'intelligence et la recherche profonde de Ta Nehisi Coates. ET j'ai beaucoup apprécié sa préface.
Merci à ce journaliste de nous avoir montrer votre point de vue sans dénoncer et sans haine, juste une colère.
Commenter  J’apprécie          141
Je remercie infiniment les éditions J'ai lu et Babelio pour m'avoir fait parvenir en version poche l'incontournable essai de Ta-Nehisi Coates : Une colère noire : Lettre à mon fils.

Il s'agit bien d'un essai sur le racisme latent envers les Afro-américains aux Etats-Unis, même si la forme choisie par l'auteur est celle d'une lettre destinée à son fils adolescent. La forme choisie est judicieuse : elle fait d'une question générale une question particulière, permettant ainsi de toucher le lecteur qui ne pourra s'empêcher de ressentir une grande empathie pour les noirs américains.

Cet essai est violent, car le racisme est violent. Une violence banale, ce qui effraie encore bien plus. Coates est hanté par ce pillage des corps noirs (terme qu'il utilise beaucoup), celui qui a eu lieu, en théorie, jusqu'à la fin de la guerre de Sécession mais qui, dans la vie réelle, a malheureusement cours encore aujourd'hui (nous en avons quelques visions aux informations de temps en temps, nous autres européens).

Coates explique beaucoup de choses par le prisme du pillage du corps noir : la misère sociale des noirs américains, la grossièreté et la rage des jeunes de banlieues qui expriment ainsi leur désir de reprendre le pouvoir de leurs corps, la violence des parents qui pratiquent le fouet...
Par "pillage du corps noir", il entend le pillage passé - viol, chaînes, violence physique et esclavage - et le pillage actuel - emprisonnement et mise à mort injustifiés des noirs américains par des hommes "blancs" mais surtout par la police américaine.

Coates a des propos très sombres mais très réalistes. La langue est belle, les mots font preuve d'une grande sensibilité et d'une grande curiosité.
Cependant je ne suis pas tout à fait d'accord avec l'auteur, qui pense que l'on ne doit pas donner sa confiance aux Hommes actuels sous prétexte que ce serait oublier ce qui a été fait. Pour moi, il n'est pas question de pardonner, là n'est pas le propos, mais de se donner la chance de pouvoir vivre dans un monde meilleur.

Challenge Multi défis 2017
Commenter  J’apprécie          110
Il y a de ces textes, des vérités, des petites anecdotes joyeuses ou tristes, que l'on ne peut pas oublier. Parce qu'on aimerait croire que les hommes sont bons, qu'ils l'ont toujours été … Malheureusement un rapide coup d'oeil sur notre histoire ou notre actualité, nous fait bien prendre conscience que c'est un mensonge. Ce texte trouve ainsi son écho dans tous ces moments. C'est une lecture qui permet de se souvenir, de comprendre que la bataille n'est pas encore terminée.

J'aime les écrits personnels qui sont pour l'auteur un véritable exutoire. Mais ce texte est pour nous également un rappel à l'ordre, un souvenir lointain qui resurgit et qui nous fait frissonner car il n'est pas si vieux … Toute cette chronique sera en « suspension » tant elle m'a marquée. Je ne vis pas dans une bulle, mais comme chacun il est parfois plus simple de fermer les yeux et de simplement détourner le regard. Mais avec ce genre de texte on nous force à regarder et c'est exactement ce que chacun devrait réaliser tous les jours !

Dans cette lettre à son fils, l'auteur veut lui présenter son héritage. Il cherche à partager également des souvenirs afin que celui-ci comprenne mieux ce père, ainsi que toute sa famille, tout son pays. Des moments durs de racisme purs, puis des moments tout aussi tragiques qui sont bien trop actuels. Caché par des non-dits, des remarques acerbes, des situations malsaines. Dans ce texte on apprend beaucoup sur un passé que l'on ne peut imaginer, un passé qui fait froid dans le dos et un présent qui est encore trop inquiétant.

Ici, on n'est pas dans un roman, il ne suffit pas de fermer le livre pour que la vérité disparaisse. On nous confronte à ces petits riens qui font toute la différence. Un texte qui permet de faire la part des choses par rapport à notre actualité, et qui permettra peut être à certain d'ouvrir les yeux.
Ce texte est nécessaire, il permet de prendre du recul sur les problèmes que l'on peut entrevoir sur la violence qui a touché bien trop de blacks dans un pays qui se veut si grand, si ouvert d'esprit. Là où le racisme est une tradition. Aujourd'hui on croit que tout a disparu mais au final, on réalise que les problèmes demeurent et que les mentalités n'ont pas encore toutes changées.
Lien : https://charlitdeslivres.wor..
Commenter  J’apprécie          80
Avis de Grybouille (Chroniqueur chez Léa Touch Book) :

Difficile de chroniquer des écrits aussi personnels puisque l'auteur est Américain, fait partie de la communauté noire, et a toujours vécu sur le sol des États-Unis d'Amérique. Il sait de quoi il parle, non ?

Une belle lettre à son fils, un état des lieux, une réflexion intérieure d'un homme qui atteint l'âge de maturité, c'est la raison d'être de ce livre. Tous les parents, un jour ou l'autre se pose cette question : « Dans quel monde je vais laisser mon enfant car je ne serai pas toujours là ? »

Une manière de dire : « Je m'excuse de ne pas être là jusqu'à la fin. Je te quitte contraint et forcé. Je t'aime, je ne t'abandonne pas. »
Le lègue d'un père à son fils…

Une seule chose, je n'ai pas compris la raison d'être de la préface…

Bon revenons au coeur du livre, « Réveiller les rêveurs ! » et « protéger son corps ! »

L'auteur à travers ses expériences nous relate

La relation avec les parents, « …la violence nait de la peur… on craignait ceux qui nous aimaient le plus… »

La vie dans les quartiers, « …Survivre à la peur… Personne n'en sort indemne… Danger permanent… Flirt constant avec la mort… Vivre sur le fil du rasoir… Une mission, protéger mon corps ! »

L'école, « …l'école se souciait de conformité, n'avait que faire de la curiosité… jamais fait confiance à mes professeurs… les écoles cachent la vérité. »

Les forces de l'ordre, « le problème, avec la police, n'est pas qu'elle est constituée de porcs fascistes, mais que notre pays est dirigé par des porcs majoritaires. »

Ses références politiques, Malcolm X : « Si tu es né noir, tu es né en prison. »

L'Université, le yard, la Mecque, « … le pouvoir de résilience de l'esprit Africain des noirs Américains. » ; « La salle de classe est une prison. La bibliothèque est ouverte, infinie, libre… »
La religion, « Dieu, nos croyances… Je crois toujours que notre être se résume à notre corps, que notre âme n'est que l'énergie électrique irriguant nos nerfs et nos neurones, et que notre esprit est notre chair. »

L'avenir, « Aucune promesse n'est infaillible… Il s'agit des préférences de l'Univers lui-même : le verbe avant le nom, l'action avant l'état, la lutte avant l'espoir. »

Décidément Ta-Nehisi Coates a beaucoup de choses à nous dire...

L'histoire de la communauté noire aux États-Unis, c'est « une grande détresse qui conduit à un grand sentiment d'injustice. »

Lors de son nouveau séjour en France, souhaitons à l'auteur de retrouver un peu de cette fraternité qui lui manque tant dans son vaste pays, comme beaucoup d'autres avant lui.

Lien : http://leatouchbook.blogspot..
Commenter  J’apprécie          80
Qu'aurait-on à dire de négatif à propos de ce texte? Qu'aurait-on à critiquer, contester? Rien en vérité car il s'agit là d'un témoignage, d'une expérience vécue. Ta-Nehisi Coates ne théorise pas, il écrit une triste réalité ; celle d'une vie épuisée, fatiguée par un racisme structurel patent et latent. Patent lorsque la violence s'exerce directement sur le corps par une violence légitimée par les autorités, latent lorsqu'elle s'exerce insinueusement via des politiques discriminatoires. Aux États-Unis, le racisme est toujours car il est enraciné. Il est constitutif du pays qui s'est enrichi, construit, développé sur le dos de ces milliers d'esclaves arrachés de leurs terres d'Afrique.

Que puis-je dire de ce texte dès lors? Rien si ce n'est qu'il faut le lire. Bien sûre. Il faut le lire pour savoir ce que c'est que de vivre en tant que personne racisée dans un pays raciste qui catégorise et hiérarchise les individus; il faut le lire pour savoir ce qu'être Noir dans un pays qui se pense Blanc. Il faut le lire pour, globalement, comprendre les sentiments du dominé quel qu'il soit. Car les victimes d'un système de domination, peu importe qui elles sont, vivent peu ou prou les mêmes expériences, sont habitées par les mêmes sentiments et questionnements. La domination, peu importe ses fondements, s'établit sur des règles et des lois universelles aux conséquences pareillement désastreuses.

Alors lisez cette lettre que Ta-Nehisi Coates écrit à toute l'humanité pour qu'elle comprenne, enfin voudrait-on, que le racisme ne doit plus être mais qui est malheureusement toujours.
Commenter  J’apprécie          70
Journaliste et essayiste américain, Ta-Nehisi Coates écrit une longue lettre adressée à son fils, adolescent, qui est en réalité une réflexion sur le racisme aux Etats-Unis, hérité de l'esclavage. Son texte est brillant, profond, agrémenté de très nombreuses références.

Sa thèse est que depuis la fin de l'esclavage, puis de la ségrégation, la poursuite du racisme que subissent les afro-américain dans leur pays est la continuité de la destruction du corps noir en Amérique. Il explique que la construction des Etats-Unis et de leur puissance s'est réalisée grâce à l'appropriation et l'exploitation du corps des noirs par les blancs, et que le racisme se maintient grâce à l'impunité dont bénéficient les auteurs de crimes racistes, notamment parmi les forces de l'ordre.

La réflexion est intéressante, très engagée, passionnante à découvrir. Force est de constater que les récentes affaires qui ont touché les forces policières de certaines villes américaines et qui ont provoqué plusieurs émeutes, ne lui donnent pas tort.

Il explique avec beaucoup de force la peur qu'on lui a apprise dès le plus jeune âge. La peur de voir sa vie basculer à chaque instant, parfois à l'occasion de ce qui n'était qu'un simple contrôle de police. le constat est dur, terrifiant, mais souvent juste. Il montre comment le racisme alimente la violence. On sent l'émotion poindre à chaque instant sous la plume de ce père aimant qui souhaite laisser à son fils une société meilleure, débarrassée de cette violence omniprésente.

Un essai d'une rare puissance, une dénonciation au vitriol du "rêve américain".
Lien : https://lionelfour.wordpress..
Commenter  J’apprécie          70
Livre de référence selon bon nombre de personnalités américaines (notamment l'écrivaine Toni Morrison) et internationales (préface d'Alain Mabanckou), il a reçu le National Book Award à sa sortie en 2015.
Ta-Nehisi Coates, journaliste américain, vivant à Harlem, se questionne sur le fait de vivre aux Etats-Unis aujourd'hui, en étant noir, et ce même si le pays est présidé par un noir. Les questions sont essentielles et liées au fait de pouvoir "perdre son corps" c'est-à-dire pourvoir mourir à tout moment, juste par le fait d'être noir. Et d'en prendre conscience dès l'enfance, et que cette angoisse vous habite toute votre vie durant, dans un pays armé jusqu'aux dents, que l'on soit policier ou acteur lambda de la société.
Et de prendre conscience que cela vous habite vous, votre famille, et vos enfants autant que vos parents.

Une difficulté cependant que j'ai ressentie à la lecture est la référence à chaque page à des événements ou des personnalités noires américaines que je ne connaissais pas, et qui rende la lecture un peu hachée par le besoin d'aller se référer systématiquement aux notes du traducteur.
Commenter  J’apprécie          60




Lecteurs (874) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (5 - essais )

Roland Barthes : "Fragments d'un discours **** "

amoureux
positiviste
philosophique

20 questions
849 lecteurs ont répondu
Thèmes : essai , essai de société , essai philosophique , essai documentCréer un quiz sur ce livre

{* *}