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sur 632 notes

Du Coben Pur jus. Une intrigue solide, des personnages attachants, une bonne dose d'humour et de second degré, et vous voilà partie pour une enquête de plus pour Myron Bolitar. Entouré de ses acolytes, le richissime et néanmoins porte-flingue de Myron, l'imperturbable Win, Esperanza ou même Big Cindi (même si la moquerie sur son poids et ses tenues vestimentaires manquent de finesse). Coben introduit dans l'intrigue sa proche famille, ce qui pourrait laisser croire que Coben essaie de donner un second souffle pour de futures enquêtes. Pas un polar incontournable mais comme souvent chez Coben, une lecture somme toute agréable.
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C'est toujours avec un grand plaisir que je retrouve Myron et Win, les héros fétiches de Harlan Coben. Ma mémoire me joue peut-être des tours, mais ils me rappellent une (vieille) série télé avec Tony Curtis et Roger Moore : "Amicalement vôtre" où deux amis issus d'un milieu social totalement opposé, jouaient les enquêteurs, entourés de jolies filles et armés d'un solide humour ravageur. J'arrête là mes divagations car je vous parle d'un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaitre, d'une époque où les héros ne bénéficiaient pas de tous les gadgets électroniques pour leur faciliter la tâche...
C'est vrai que les enquêtes de nos deux compères se ressemblent un peu toutes, et qu'à l'énoncé d'un titre de livre, il est impossible de s'en remémorer la trame (au moins pour ma part). L'histoire est un peu longue à démarrer, certains éléments paraissent tirés par les cheveux (Terese en Angola, au final la mort plutôt "classique" de Brad).
J'ai surtout ressenti que Coben, ayant sans doute l'impression de tourner en rond, voulait nous faire découvrir Mickey, le neveu de Myron afin de pouvoir s'orienter vers d'autres aventures avec ce nouveau héros.
Je vais quand même regretter Big Cyndi, Win, Esperanza et tiens, même les frères Hache vont me manquer.
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Après avoir lu tous les livres d'Harlan Coben, Celui-ci ne restera pas vraiment dans ma mémoire. Je ne me lasse pas de l'univers d'Harlan Coben et encore moins de celui de Myron, mais son dernier roman n'est pas à la hauteur de certains. J'attends donc le prochain..
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Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas lu un roman d'Harlan Coben avec son héro fétiche Myron Bolitar. C'était donc un grand plaisir de retrouver Myron, Win, Big Cindy, Espéranza et tous les personnages autour de Myron.

Que dire davantage par rapport à ce qui est déjà écrit par les autres Babéliens, que j'aime bien le style d'Harlan Coben. C'est comme si on se retrouve avec de vieux amis, on passe un très bon moment ensemble et on n'a pas envie que cela s'arrête.

Dans Sous Haute Tension, Myron est confronté dans son entourage le plus proche aux démons du passé ce qui le rend plus sensible et vulnérable qu'auparavant.

J'ai bien aimé les intrigues et le suspense qui comme toujours chez Coben sont bien ficelés. A la fin de l'histoire j'ai ressenti également que l'auteur compte donner un autre sens aux aventures de Myron Bolitar avec le personnage de Mickey, son neveu. D'ailleurs dans ce même livre on peut découvrir quelques pages du livre A Découvert, le premier tome d'une nouvelle série mettant en scène Mickey.

Une lecture agréable qui m'a donnée envie de découvrir le personnage de Mickey Bolitar
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Prenez un Harlan Coben, ajoutez-y Myron Bolitar, un peu de Win avec un soupçon de Moa et vous obtenez un mélange qui prendra à tous les coups... en tout cas avec moi.
Sous haute tension n'échappe donc pas à la règle. le sauveur de la veuve et de l'orphelin de ne lassera jamais et même l'humour winnien, quoi qu'un peu lourd et très misogyne, m'arrache toujours un sourire voir un rire.
Je ne m'attendais pas du tout à cette fin, j'avais à peu près tout imaginé mais j'ai quand même finis avec la bouche ouverte et les yeux écarquillés.
Une seule frayeur, si je peux m'exprimer ainsi, après avoir lu entre quelques lignes, et fais quelques recherches, j'ai bien l'impression que l'auteur à rangé Myron au placard. Si ça s'avère être le cas, alors il me manquera.
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j'avais ce besoin, tel un junkie d'avoir ma dose de lecture... Un manque légal et sain soit dit en passant...
Voilà donc dans quel état d'esprit je me trouvais hier soir quand j'ai commencé mon nouveau roman. Pour soulager mon addiction, il me fallait du tranquillou, de la détente pure, j'ai donc choisi "Harlan"... Déçu de "Sans laisser d'adresse", je voulais me réconcilier avec MYRON et WIN les deux héros récurrents de "COBEN" dont je suis fan...

Pour le coup c'est manqué, mes 6 heures de lecture furent trop linéaires, une histoire alambiquée mais franchement pas très passionnante... Harlan ne me surprend plus finalement... Un histoire qui se veut noire mais qui ne l'est pas du tout...

En résumé, c'est divertissant et sans prise de tête, à lire si vous êtes fan de WIN et de MYRON

A plus les copains
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Des retrouvailles agréables avec Harlan Cohen que je ne fréquentais plus depuis un bon moment.
A mon avis ce n'est pas ,et de loin, son meilleur roman, mais l'intrigue est bien menée, l'histoire somme toute crédible , pas de nuit blanche pour achever d'une traite cette lecture, qui reste, toute fois, une pause divertissante.
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Je trouve toujours difficile de critiquer un roman de série comme celui de Myron Bolitar. Ils ont plus ou moins les mêmes qualités et les mêmes défauts.

Avec « Sous haute tension », on sait dès le départ qu'à un moment donné, le père de Myron va se retrouver à l'hôpital dans le coma et on laisse sous-entendre que Myron y est pour quelque chose dans cette situation. On apprend aussi que le frère de Myron et sa conjointe sont disparues depuis 16 ans et que Myron y serait pour quelque chose.

Avec ça comme toile de fond, on a hâte de savoir ce qui s'est passé il y a 16 ans et ce qui est devenu du couple et de leur enfant. Mais trop d'éléments des romans précédents reviennent dans ce dernier. Je préfère, et de beaucoup, les romans qui ne mettent pas en scène Myron Bolitar.

Les blagues sur Big Cindy seraient drôle si c'était le premier roman que nous lisons avec Myron Bolitar, mais il est de plus en plus difficile de trouver de nouvelles façons de faire une blague sur la grosseur de Cindy et je ne pourrai pas à nouveau lire ce dicton yiddish à propos des planifications des hommes et de la réaction de Dieu.

Intéressant à lire mais si Coben écrit un autre Myron Bolitar, il devra se renouveler.
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Suzze Trevantino, ex-championne de tennis, a décidé de se ranger. Elle dirige une école de tennis, s'est mariée avec Lex Ryder et est enceinte de 8 mois. Pour apporter une « touche personnelle » à son compte Facebook, elle a décidé de poster sa dernière échographie sur son mur. Mais, au milieu des compliments, un commentaire attire son attention : « Pas le sien ». Suzze se sent menacée et appelle son agent à la rescousse. La mission de Myron Bolitar est claire : trouver qui a écrit ce commentaire et ramener Lex à la maison puisqu'il est parti suite à ma lecture du post. Mais, en s'intéressant de plus près au passé de Suzze, Myron va déterrer de vieilles histoires mêlant groupe de rock, chanteur aux abonnés absents, retour de sa belle-soeur Kitty, disparition de son frère Brad… Que des ennuis en perspective…

Vous l'aurez compris, Sous haute tension fait partie de la série « Myron Bolitar ». On y retrouve des personnages déjà apparus dans les romans précédents : Big Cindy en secrétaire au look improbable ; Esperanza mariée, maman et associée de Bolitar ; Win, le dandy négociateur et gros bras de service. D'autres personnages viennent aussi passer leur tête à la porte comme Terese Collins (maintenant fiancée à Myron) ou Jessica Culver (son ancien amour). Si leur évocation n'apporte rien à l'intrigue, c'est un petit clin d'oeil de l'auteur à ses fans. Au vu de tous les personnages évoqués ici et dont on a déjà parlé dans d'autres romans, je pense qu'il est nécessaire d'avoir lu la série pour resituer les « anciens » (et encore, alors que je les ai tous lus, je ne me souviens pas de tout le monde…).

Des personnages qui reviennent donc… On ne change pas une équipe qui gagne, comme dirait l'autre. Sauf que cette fois, cela devient un peu trop prévisible… Chacun se cantonne à son rôle habituel, Myron restant quant à lui le-petit-garçon-à-son-papa-et-à-sa-maman qu'il a toujours été, qui fait appel aux autres pour le sortir d'un mauvais pas et qui leur laisse la direction des opérations quand cela devient un peu trop compliqué. Il manquait de maturité au départ mais ça ne s'arrange pas avec le temps…

Au niveau des thèmes abordés, que du connu, à nouveau : secrets de famille, meurtres, sport et mafia. Comme à son habitude, l'auteur intègre son récit dans l'époque actuelle en faisant référence aux réseaux sociaux et en profite pour initier une réflexion sur leur utilisation (anciens « amis », différence entre vie publique et vie privée…).

Petite nouveauté qui laisse présager une évolution intéressante de la série, l'apparition du neveu de Myron, Mickey Bolitar. Il sera le héros du prochain roman d'Harlan Coben « A découvert » mais aussi d'une série qui portera son nom et dont deux tomes sont déjà sortis aux Etats-Unis.

Un bilan très nuancé donc… Une lecture agréable, des pages qui se tournent toutes seules mais un fond qui manque un peu de piquant et de nouveauté.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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Le père de Myron est à l'hôpital et sa mère a la maladie de Parkison. Myron s'inquiète d'un mensonge dit 16 ans plus tôt car il se rend compte que ses parents ne sont pas éternels.
Tout commence six jours avant lorsque Suzze, ancienne championne de tennis, enceinte, demande l'aide de Myron car un message a été posté sur sa page Facebook.
De recoupements en recoupements, Myron retrouve sa belle-soeur Kitty qui est l'auteur de ce message. Et tout lui revient. Son frère et sa belle-soeur, chassés de sa vie à cause de mensonges et de colère. Mais Myron a très bien compris qu'il doit faire la peau avec ce frère qu'il a toujours aimé. de plus, Kitty, sa belle-soeur sont plus ou moins liées.
Détruire quelqu'un sur Facebook semble facile. Mais le détruire dans la réalité également. C'est ce qui arrivera à Suzze qui n'a jamais oublié son amour de jeunesse. Pourtant amoureuse de son mari, musicien, elle cherchera à savoir la vérité au péril de sa vie. Car ceux qui ne veulent pas que leurs investissements s'arrêtent feront tout pour contrecarrer les projets des uns et des autres.
Comme dans tous les romans de Myron Bolitar, tous les personnages sont liés et ce qui leur arrive également. Mais on se laisse prendre à chaque fois car il sait nous emmener où il veut.
Voici donc le nouvel Harlan Coben. Après deux romans écrits à ses tous débuts, on replonge dans l'écriture du maître de nos nuits blanches. On retrouve les personnages fétiches d'Harlan Coben, Myron Bolitar, Win, Esperanza, Big Cindy et les parents de Myron. Mais à ces personnages se greffent la famille de Myron, son frère, sa belle-soeur et son neveu. Nous avons également les méchants que l'on connait depuis les débuts, même si un est en prison. Et bien entendu, les clients de Myron. Client qui se fait tuer comme bien souvent dans ces romans.
Comme d'habitude, nous avons un roman très familial. Myron est en quête de son frère avec qui il est fâché depuis plus de 15 ans et il y a aussi les relations qu'il entretient avec son père, émaillées de souvenirs. Les parents de Myron vieillissent avec les nombreux aléas de la vieillesse. Myron est toujours aussi amoureux de Terese, qui ne vit pas avec lui mais qui est en train de finir sa mission. Mais il lui en faut pour qu'il la rejoigne.
Même si ce roman est mené tambour battant, ce n'est pas le meilleur au niveau des aventures de Myron et de ses acolytes. Je pense que cela peut être un roman de transition avant de nouvelles aventures qui se révéleront beaucoup plus alléchantes.
Cela faisait un petit moment que je ne m'étais pas plongée dans un thriller après avoir lu toute une saga. Mes sens s'aiguisent encore plus. Même si, comme d'habitude, Harlan Coben sait où nous emmener, en laissant quelques indices par ci, par là, je n'avais pas trouvé la trame du thriller. C'était pourtant latent dans un coin de mon esprit. Et lorsque j'ai eu la fameuse phrase, je me suis dit, mais oui, c'est ça. Ce qui veut quand même dire qu'Harlan Coben sait nous balader, tout s'imbrique parfaitement comme à chaque fois. Afin que nous ne menions plus en avant nos recherches, nos questionnements, sur tel point il nous assène un nouvel indice pour nous perdre. Mais tout se lie parfaitement. Je me doutais bien que ses anciens méchants referaient leur apparition. Sans eux, il n'y aurait pas non plus de roman. de plus en plus, j'ai réellement envie de connaître Win. J'adore ce genre de personnage torturé. Mais torturé d'une autre façon que Myron. J'aimerais le perdre dans mes bras. Serais-je tombée “amoureuse” de Win ? Possible, cela fait un bon moment que ce personnage me fascine. Est-ce qu'Harlan Coben pourrait en faire un personnage plus central dans un de ses prochains romans ? Je dis ça, je dis rien mais c'est juste une suggestion. J'aimerais en savoir plus sur lui et que pour une fois, ce soit Myron qui vienne le sauver. Même si l'un et l'autre travaillent de concert mais Myron “profite” beaucoup plus des talents de Win. Vous voyez, je demande beaucoup à Harlan Coben. Et j'ai commencé ma chronique avant d'avoir fini le roman. Et ma demande n'a pas l'air d'être trop irréaliste en définitive.
On retrouve notre Myron au grand coeur, qui tente par tous les moyens de protéger les siens, famille, amis, clients.
Harlan Coben fait également preuve d'humour au début car après ce n'est pas le genre. Des références aux Kadarshian, à la téléréalité..
La lecture est facile, comme je le disais. On s'implique toujours il n'y a pas à dire. Mais je me suis tout de même ennuyée, mot peut-être trop fort, pendant la première moitié du roman. Je déguste, je savoure, je n'ai pas lu ce roman en un jour ou en une soirée. Quelques jours suffisent pour moi. Ce qui m'intrigue également. Qu'est-ce que Myron cache à son père ? Je n'arrive pas à trouver.
Au delà de l'enquête, il y a toujours ces liens familiaux et amicaux prépondérants. La famille de Myron, ses amis, ses clients, tous font partie de sa famille. Et lorsque quelque chose ne va pas, ils sont là pour le soutenir. Comme toujours d'ailleurs mais encore plus depuis que Myron a été enlevé dans un précédent roman et qu'il a été très malmené par ses ravisseurs.
Harlan Coben s'inquiète de la prise de pouvoir des réseaux sociaux et notamment des commentaires ou mises à jours postées sur Facebook. Statuts ou commentaires qui peuvent engendrer le mal. D'ailleurs, nous avons aussi un bon couplet sur les drogues, dures et autres. Drogues qui peuvent tuer, dans lesquelles il est facile de plonger, drogues qui désinhibent.
Mais les réseaux sociaux et notamment Facebook peuvent apporter le bien également puisque vous pouvez tenter de gagner Sous Haute Tension d'Harlan Coben sur sa page Facebook.
Lien : http://angelitamblog.com/201..
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