Roman à 4 mains qui ne m'a pas enthousiasmé. Les détails de la vie privée de la commissaire Stefania Valenti sont ennuyeux, du genre bibliothèque rose. L'intrigue policière concerne des faits datant de la deuxième guerre mondiale. Là, les détails sont compliqués, voire embrouillés, du fait même du temps écoulé depuis. Mais l'intérêt du lecteur n'est pas forcément éveillé par tout ce mélange. Et ajoutons à cela un documentaire très touristique sur cette région où habitent les auteurs. À se demander s'ils ne sont pas rémunérés par l'office de tourisme ?
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Je voulais tester quelque chose de nouveau en lisant un policier italien qui se déroule pas loin de la Suisse,, pays dans lequel je vis. C'était sympa mais j'ai eu de la peine avec les noms car il y en a pas mal et on les mélange rapidement mais j'ai quand même eu du plaisir à le lire.
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Elle nourrissait une aversion profonde pour les églises bondées les jours de fête, les gens bruyamment réunis sur le parvis. Elle détestait devoir saluer, sourire et écouter des histoires dont elle se moquait éperdument. Dans ces moments-là, l’irritation prenait le pas sur le recueillement.
Arriver à l’école à l’heure était le cadet de ses soucis : quand elle se présentait en retard, l’institutrice ne lui demandait aucune explication. Les responsabilités, les mérites, les fautes, les clés de voiture oubliées dans l’autre sac faisaient partie d’une sorte de routine.
Je pense que richesse et pouvoir constituent pour certains une sorte de drogue. Ils en veulent toujours plus, à tous les coûts. Ces familles riches et puissantes…
Quand elle avait quelque chose en tête elle était comme un fleuve en crue : impossible de l’arrêter.