Rosie et Moussa, tome 1 : La rencontre

La vraie rencontre de Rosie et Moussa se fait sur le toit du monde.

Enfin, sur le toit de leur petit monde, un immeuble qui donne sur les voies ferrées et les rues.

C'est l'endroit préfére de Moussa.

Mais c'est interdit.

Monsieur Tak le gérant de l'immeuble veille au grain.



Déja, qu'il doit supporter les cavalcades des enfants dans la cage d'escalier alors en plus si il doit surveiller le toit...



Le toit semble aussi être un de ses endroits préférés. Il en danserait presque de joie.

Un sanctuaire, ça se conserve bien à l'abri, à double-tour.



C'est ainsi que Rosie et Moussa, qui s'y trouvaient cachés, se sont retrouvés pris au piège là-haut.

Comment faire pour en redescendre sans se faire rouspéter par Monsieur Tak?



L'histoire est simple et tendre et ce n'est que le début. Les personnages sont attachants.

Moussa, avec son vêtement trop grand pour lui qui appartenait à son grand frère, est un adorable naïf. Un bon pendant zen pour l'équilibre de cette amitié naissante.

Rosie est un drôle de caractère mais elle aime bien Moussa, même si il est un brin écervelé.

Elle adore son chien chat( il n'a pas le droit d'avoir de chien dans l'immeuble alors il a fait de son chat son chien).



Rosie vient d'emménager avec sa maman et il y a de récents changements dans leur vie.

Moussa est arrivé à point, lui sautant sur le poil dans la cage d'escalier pour lier connaissance.

Ils vont se découvrir un peu sur le toit, tandis qu'un de leur message de S.O.S filera sur le collier du chien chat et l'autre accidentellement vers Monsieur Tak.

Ce personnage fait rire de sa bouille renfrogné de vieil aigri.

la mésaventure permettra de rencontrer d'autres personnages de l'immeuble.

Rosie et Moussa, c'est deux arrière-plans très différents qui se rencontrent mais deux âmes d'enfants bien pareilles.

C'est une lecture facile à lire avec des bouts de sentiments qui font mouche.

A découvrir, évidement.

Un joli roman qui évoque notamment la peur de vivre en immeuble. Rosie vient habiter avec sa mère dans un grande tour et elle a peur de ne pas réussir à se faire des amis.

Heureusement elle rencontre le jeune Moussa qui lui propose de lui faire visiter le toit d'où on a une formidable vue. Et bien entendu, c'est strictement interdit et un gardien veille sur les lieux...

Un livre que les illustrations deJudith Vanistendael accompagnent merveilleusement bien. Cela nous permet à nous lecteur de monter les interminables escaliers en même temps que l'héroïne et de ressentir son angoisse.

L'histoire est toute simple avec un élément central qui est l'ascension et la grande peur qui s'ensuit. Cela permet une véritable construction des personnages, tout en finesse.

Ainsi, la vieille dame que rencontrent les héros introduit le thème de la solitude des personnes âgées mais aussi leur richesse et le lien bénéfique pour les deux parties.

On découvre les deux facettes des banlieues mais aussi dans toutes chose qui nous arrive.

A lire !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Rosie emménage avec sa maman dans un immeuble-tour à l'autre bout de la ville. Tout ici est différent, le gardien de la tour est bien peu sympathique et puis il y a cette absence du père (non encore expliquée dans ce premier tome) qui est en elle-même une blessure. Heureusement il va y avoir de belles rencontres, celle avec Moussa d'abord, puis de Madame Paradis.
Ce premier tome campe les personnages, d'une plume légère mais alerte, Michaël de Cock réussit à décrire de manière convaincante la rencontre entre deux enfants tout en laissant planer un peu de mystère pour une suite qui sera bienvenue.

Rosie arrive dans un nouveau quartier, un nouvel appartement qui se situe dans une très grande tour. Elle est inquiète car elle ne sait pas si elle va se faire de nouveaux amis. Très vite, Moussa arrive et lui fait découvrir la vie de l'immeuble et il va même la pousser à braver un interdit qui ne sera pas sans conséquence : monter sur le toit pour voir la ville.
Il y a quelque chose de poétique dans cette rencontre pleine de simplicité, du mystère avec l'absence du père de Rosie (mort ? parti ?).
Un film belge a été tiré des romans.