Suivant tour à tour un millionnaire russe, un styliste en vogue, une starlette, un détective et une future top model, Paulo Coehlo nous entraîne ici dans le monde très glamour, tout en paillettes et en sourires hypocrites du festival de Cannes. le message, car il y a toujours un message avec
Paulo Coelho, est de cet ordre : l'argent ne fait pas le bonheur et la gloire, toujours passagère, non plus... Rien de nouveau sous le soleil, sauf peut-être que pour ce roman, le célèbre auteur brésilien se renouvelle puisqu'il s'initie à la fois aux récits croisés (les différents protagonistes que nous suivons ont leur histoire propre mais toutes se lient à un moment ou à un autre) et au genre policier (puisque de façon originale, il s'agit aussi dans ce livre d'empêcher ou non un crime).
Si je lui trouve donc certains aspects positifs, je reste quand même mitigée suite à cette lecture que j'ai trouvée assez inégale (certains récits sont captivants et touchants quand d'autres sont mous et inutiles) et je ne peux pas dire que je l'aie vraiment appréciée. Je me suis ennuyée à plusieurs reprises et si j'ai beaucoup apprécié plusieurs livres de
Paulo Coelho, "
La solitude du vainqueur" ne figure pas dans ce palmarès.
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