A vrai dire je n'y ai rien compris .
J'y ai vu un roman pseudo philosophique avec un gamin à claquer qui passe tout le livre à demander c'est quoi ? Comment ? Pourquoi ? et son protecteur impassible qui continue à répondre, à expliquer, à raisonner, dans un monde où l'on arrive en faisant table rase de son passé, et où on vous attribue un nouveau nom.
C'est long-long-long, pesant, prêchi-précha ...
Mais sans doute y a t'il là un sens et une poésie qui m'ont échappé...
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Je n'accroche pas. J'en suis au quart. Ils sont allés se promener à la campagne. Je n'y crois tout simplement pas.Les interventions du garçon semblent être à chaque fois un prétexte à une pseudo réflexion philosophique ou existentielle de l'homme. Celui-ci ne sent pas, il pense. Aucune saleté, aucune explosion sensorielle ou émotive, on se croirait dans un appartement témoin. Je suis au quart et à part une tentative au début, Simon n'a posé aucun acte pour chercher la mère de 'lenfant.
Les critiques de Simeon et Marianne L. ne m'incitent pas à continuer. Je vais néanmoins essayer. Je ne comprends pas ce qu'il veut faire. Et s'il y a ironie, je ne la vois pas. Même quand le garçon chante et que l'homme croit que c'est en anglais alors que ça ne l'est pas. C'est une ironie vraiment minimaliste. Ce roman philosophique (ce conte ?) ne fait réfléchir ni sur l'adoption, ni sur les relations des adultes autour d'un enfant, sujet pourtant fort.
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