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EAN : 9782234083196
304 pages
Stock (23/08/2017)
  Existe en édition audio
4.16/5   1601 notes
Résumé :
"Quel que soit notre destin, il habite les montagnes au-dessus de nos têtes."

Pietro est un enfant de la ville. L’été de ses onze ans, ses parents louent une maison à Grana, au cœur du val d’Aoste. Là-bas, il se lie d’amitié avec Bruno, un vacher de son âge. Tous deux parcourent inlassablement les alpages, forêts et chemins escarpés. Dans cette nature sauvage, le garçon découvre également une autre facette de son père qui, d’habitude taciturne et colé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (321) Voir plus Ajouter une critique
4,16

sur 1601 notes
Un pére, une mère, et un petit garçon,le narrateur.
Nous sommes au nord de l'Italie dans les années 80.
Ils vivent à Milan l'hiver et l'été c'est la vallée d'Aoste, et Grana où ils finiront par louer une petite maison. le père, un solitaire, se retrouve dans les longues randonnées en montagne, et malgré son mal de montagne, le petit le suivra, pour un temps.....
La maison de Grana sera aussi le début d'une très belle amitié entre Pietro, le petit garçon avec un autre du coin, Bruno. Ils partiront ensemble à la conquête de la montagne et de ses endroits secrets, remontant un torrent, s'aventurant dans les galléries condamnées d'anciennes mines, dévalisant des vieilles cahutes, surprenant des chamois ......nous entraînant à leur suite, pendant trois décennies.
Il y a une tristesse infinie dans cette histoire d'une famille « sans histoires » ( « Lui, irascible, autoritaire, intolérant, elle, forte et tranquille et conservatrice. Leur façon rassurante de jouer toujours le même rôle en sachant que l'autre jouera le sien : ce n'étaient pas de vraies discussions que les leurs, mais des dialogues écrits d'avance dont je devinais immanquablement la chute, et dans cette cage je finissais moi aussi par étouffer. »), une tristesse qui se fondra dans la beauté des montagnes et de la nature avec « La barma drola ».......

Paolo Cognetti nous raconte ici, une magnifique aventure spartiate de montagne et une histoire d'amitié et de solitude, qui rayonnent sur toutes les misères de la vie. J'ai adoré cette communion avec la nature et le personnage intègre et pur de Bruno le montagnard et sa conception de vie d'en profiter au présent (« ....Il vaut mieux pas trop penser à l'avenir.....autrement on devient fou.
-Alors à quoi je dois penser ?
-À maintenant. Elle est pas belle, cette journée ? »).
Il m'a rappellée le personnage de Novecento de Baricco qui ne descendra jamais à terre de son bateau. Un autre personnage que j'ai adoré.
Si vous aimez la montagne, vous serez comblé, pour le contraire je suis convaincue que ce beau livre vous donnera envie d'y aller faire un tour, et pourquoi pas sur les traces de Pietro dans le Piémont....... et même plus loin.
Un coup de coeur pour ce prix Strega , Goncourt italien 2017, amplement mérité !

Je remercie NetGalley et les Éditions Stock. Un livre que je n'aurais probablement pas lu s'il n'était sur le site, et ça aurait été bien dommage .

« -Et tu es né pour quoi, alors ?
- Pour être montagnard. »
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Authenticité
Simplicité
Force
Beauté

Voilà, selon moi, les ingrédients marquants de ce magnifique récit dont on comprend assez vite qu'il ne peut qu'être à forte connotation autobiographique car « Nul ne peut faire comprendre les sensations éprouvées là-haut à celui qui n'est pas sorti de chez lui » et qui n'a pas lui-même éprouvé la montagne avec ses pieds, ses muscles, son énergie et ses doutes.

L'histoire se déroule donc à la montagne, et plus précisément autour de Grana, petit village du Val d'Aoste. Pietro, jeune milanais, venu passé là ses vacances d'été avec ses parents, se lie d'amitié avec Bruno, un montagnard de son âge. Éprouvants tous les deux des difficultés relationnelles avec leurs pères, ils s'apprivoisent mutuellement et partagent fin de l'enfance, adolescence et découvertes des sommets.
Ils nouent une amitié solide qui leur permettra de se retrouver et s'entraider après une séparation d'une vingtaine d'années, l'un ayant voyagé, l'autre étant resté accroché à sa montagne.

Ce roman est pour moi une réussite totale, un témoignage d'une humanité rare, un de mes coups de coeur de cette rentrée littéraire. J'ai quasiment savouré chaque page, appréciant à la fois le style simple et poétique, l'histoire émouvante et forte, mélange de beauté et d'angoisse existentielle, à l'image de ce que peut inspirer la montagne elle-même.

Je ne résiste pas au plaisir de partager quelques impressions glanées lors de ma randonnée au coeur des huit montagnes :
« Peut-être ma mère avait-elle raison, chacun en montagne a une altitude de prédilection, un paysage qui lui ressemble et dans lequel il se sent bien »
« Il n'y a rien de mieux que la montagne pour se souvenir »
« C'est dans le souvenir que se trouve le plus beau refuge »
« Chaque fois que je revenais, j'avais l'impression de revenir à moi-même, au lieu où j'étais moi et où je me sentais bien. »
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Avec sa chemise de bûcheron canadien, sa barbe rousse, son regard farouche et son sourire timide, Paolo Cognetti est vraiment l'"uomo selvatico" qu'évoque le titre de son autre livre. Alors quand ce "montagnero" taciturne prend une nouvelle fois la plume , c'est un vrai cadeau qu'il nous fait!

Le secret d'un bon livre est là: avoir vraiment quelque chose de fort et d'essentiel à dire, à partager, à faire revivre.

Dans une interview, Paolo Cognetti, comme on se jette à l'eau et comme pour en finir avec les finasseries littéraires et mondaines où sa modestie un peu rugueuse est mise à rude epreuve, lâche soudain : " C'est une histoire d'amour!" . Et tout est dit!

Loin de tout poncif, de toute bleuette, de tout roman autobiographique à la gomme, "Les Huit Montagnes" sont une histoire d'amour.

Un amour profond, total, dévorant du narrateur, Pietro, pour la montagne- la sienne, le Grenon, dans le Val d'Aoste, et, plus tard, pour toutes celles qui gravitent et se laissent parfois gravir, autour du divin Himalaya, mère primitive de toutes les montagnes du monde.

Un amour tardif et contrarié pour un père irascible et despotique qui lui a laissé l'amour de la montagne en héritage- et même quelque chose de plus - à construire, à gravir, à découvrir- comme une bouteille qu'on jetterait dans les moraines glaciaires pour qu'elle délivre un jour son message..

Un amour enfin pour Bruno, son frère en montagne, son double immobile, attaché à la montagne de son enfance jusqu'à l'abnégation.

Le monde des hommes est bien différent, là-haut, de celui des femmes, plus concernées par la vie sociale, le lien, la parole. À l'exception notoire de la mère de Bruno, madre selvatica s'il en fût, les femmes restent en prise avec le réel, les autres, le monde. Les hommes, eux, sont gagnés par la montagne comme on est gagné par la fièvre. Elle peut tout leur prendre- et elle le fait sans hésiter- elle qui leur donne tant!

J'ai dévoré en v.o. avec une grande émotion ce livre magnifique-pardon pour les traductions sûrement maladroites de mes passages préférés...

Un peu comme si j'avais moi aussi, escaladé quelque sommet, comme si j'avais pu entrevoir, du haut d'un col perdu dans les nuages, un petit lac de montagne, serti, comme une gemme bleue, entre les éboulis de rochers.

Le vieux plateau d'Aubrac, la maison de granit qui fait le gros dos au vent d'écir, les longues balades avec mon chien sur le plateau où les dernières vaches, avant de redescendre dans les vallées pour l'hiver, goûtent le beau soleil de Toussaint et l'herbe rase et déjà fauve : voilà ma montagne à moi - pas bien haute, mais solitaire et éprise de grand ciel.

Quel merveilleux hasard d'avoir emporté ici, pour les lire, ces Huit montagnes qui font rêver, penser et voyager!

Un grand merci à Bookycooky à qui je dois cette belle randonnée existentielle!

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Revenant chaque été dans le même hameau perdu des montagnes du Val d'Aoste, un petit citadin se lie d'amitié avec un gamin du cru et découvre à son contact la rudesse et les beautés de la nature alpine. Parvenu à l'âge adulte et cherchant sa voie après la disparition d'un père qu'il n'a jamais vraiment compris, Pietro finira par retourner auprès de son ami, toujours resté sur le même pan d'alpage où il tente obstinément de maintenir un mode de vie d'un autre siècle.


Il est impossible de ne pas voir de larges traits autobiographiques dans la narration de Pietro, tant cette histoire exprime d'intime ressenti et revêt des accents d'authenticité jusque dans ses plus infimes détails. L'intrigue, très simple, tire son épaisseur de ses personnages, dont on découvre peu à peu les multiples nuances, restituées avec une sensibilité toute de finesse et de pudeur. Chez Paolo Cognetti, l'émotion ressemble à ce petit torrent de montagne qui, dans son livre, court sous-terre avant d'émerger plus en aval : on la ressent plus qu'on ne la lit, elle sourd au travers des lignes et se laisse deviner plus qu'elle ne s'exprime. Et elle s'enterre parfois au tréfonds d'une génération pour rejaillir à la suivante, dans de curieuses répétitions des mêmes destins.


La couleur de ce livre est d'abord celle d'une indéfectible amitié, entre deux garçons, puis deux adultes, que tout sépare : Pietro se cherche de par le monde, Bruno s'accroche à la montagne qu'il n'a jamais quittée, mais, chacun à leur façon, ils vivent les mêmes apprentissages et les mêmes blessures, tentant de se construire un avenir en se réconciliant avec leur passé et leur héritage filial.


Aux prises avec leurs tâtonnements et leurs drames, tous deux tirent leur force de leur seul vrai point d'ancrage : la montagne et l'amour viscéral qu'elle leur inspire. Omniprésente, elle est leur refuge, leur lieu de repli, leur cachette face à un monde oublieux des vrais essentiels. Elle leur offre la liberté et la solitude au sein de grandioses espaces de nature préservée, une vie rude et spartiate au rythme des saisons, le calme et l'apaisement au contact d'une simple authenticité, la souffrance et le plaisir de l'effort physique.


Une grande tristesse et une vraie sincérité émanent de ce livre que l'on quitte le coeur serré et les larmes aux yeux, mais les jambes musclées, les poumons oxygénés et les yeux tournés vers les cimes de l'avenir. Coup de coeur.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Pietro, un garçon de la ville, il habite Milan chez ses parents, raconte son amitié avec Bruno, un garçon des montagnes, du petit village de Grana dans le Val d'Aoste. Ils sont âgés de onze ans lorsqu'ils font connaissance à Grana où les parents de Pietro vont désormais passer tous les étés.
Le père de Pietro les emmène vers les plus hauts cols, les plus hautes montagnes qui les entourent. En haute altitude, Pietro subit le mal des montagnes, il a essayé de le cacher mais lors d'une ascension, il remet tripes et boyaux devant son père inquiet qui dès lors donne le signal de la descente.
Pietro et Bruno se perdent de vue, ce n'est que vingt ans plus tard qu'ils se retrouvent ...
Paolo Cognetti dépeint, dans une langue poétique, la montagne et l'amitié à toute épreuve qui unit Pietro et Bruno.
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critiques presse (7)
Telerama
31 août 2018
Dans le Val d’Aoste, l’histoire d’une amitié indélébile entre deux enfants, l’un citadin, l’autre montagnard. Un roman initiatique poignant.
Lire la critique sur le site : Telerama
Lexpress
22 janvier 2018
Le livre qui peut se lire comme un hommage à la montagne n'est pas sans rappeler certaines des oeuvres du grand romancier italien Mario Rigoni Stern (disparu en 2008).
Lire la critique sur le site : Lexpress
LePoint
23 octobre 2017
Son roman d'altitude "Les Huit Montagnes" donne de l'oxygène en librairie. L'avenir du nature writing version montagne, c'est lui.
Lire la critique sur le site : LePoint
LeFigaro
06 octobre 2017
Dans ce récit intimiste et touchant mené à la première personne du singulier, Paolo Cognetti excelle dans les descriptions.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LaCroix
29 septembre 2017
Une histoire de filiation et d’amitié dans les hauteurs du Val d’Aoste. Paolo Cognetti a réussi un roman magnifiquement simple.
Lire la critique sur le site : LaCroix
LeMonde
11 septembre 2017
L’écrivain italien s’est installé il y a dix ans dans les Alpes. Pour apprendre à vivre, seul et libre, et pour écrire. « Les Huits Montagnes » témoignent éloquemment du succès de cette entreprise.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LaLibreBelgique
05 septembre 2017
La montagne et son pouvoir d’attraction magistralement dépeints par Paolo Cognetti. Célébrant l’amitié et la transmission, "Les huit montagnes" a tous les atours d’un classique.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Citations et extraits (390) Voir plus Ajouter une citation
Peut-être ma mère avait-elle raison, chacun en montagne a une altitude de prédilection, un paysage qui lui ressemble et dans lequel il se sent bien. La sienne était décidément la forêt des mille cinq cents mètres, celle des sapins et des mélèzes, à l'ombre desquels poussent les buissons de myrtilles, les genévriers et les rhododendrons, et se cachent les chevreuils. Moi, j'étais plus attiré par la montagne qui venait après : prairie alpine, torrents, tourbières, herbes de haute altitude, bêtes en pâture. Plus haut encore la végétation disparaît, la neige recouvre tout jusqu'à l'été et la couleur dominante reste le gris de la roche, veiné de quartz et tissé du jaune des lichens. C'est là que commençait le monde de mon père.
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« Tu le vois le torrent ? dit-il. Mettons que l’eau, c’est le temps qui coule : si l’endroit où nous sommes, c’est le présent, tu dirais qu’il est où l’avenir ? »
Je réfléchis. Cette question-là me paraissait déjà plus facile. Je répondis ce qui me paraissait le plus évident : « L’avenir est du côté où l’eau descend, en contrebas.
– Faux, décréta mon père, et heureusement ! »

[…]

Si l’endroit où tu te baignes dans un fleuve correspond au présent, pensai-je, dans ce cas l’eau qui t’a dépassé, qui continue plus bas et va là où il n’y a plus rien pour toi, c’est le passé. L’avenir, c’est l’eau qui vient d’en haut, avec son lot de dangers et de découvertes. Le passé en aval, l’avenir en amont. Voilà ce que j’aurais dû répondre à mon père. Quel que soit notre destin, il habite les montagnes au-dessus de nos têtes.
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Le soir, une fois les restes du repas débarrassés, mon père étalait une carte topographique sur la table et étudiait l'itinéraire du lendemain. Il avait sous le coude un carnet gris du Club alpin et un demi-verre de grappa qu'il sirotait de temps en temps. Ma mère profitait de ce moment de répit pour s'asseoir dans le canapé ou sur le lit et se plonger dans un roman : pendant une heure ou deux, elle se laissait happer, et c'était comme si elle n'était plus là pour personne. Je montais alors sur les genoux de mon père pour voir ce qu'il faisait. Je le trouvais léger et affable, tout le contraire du père de la ville auquel j'étais habitué. Il était heureux de me montrer sa carte et de m'apprendre à la lire. Ça, c'est un torrent m'expliquait-il, ça, c'est un petit lac, et ça, là, c'est un groupe de baite*. Ici, à la couleur, tu peux reconnaître la forêt, la prairie alpine, la pierraille, le glacier. Les courbes indiquent l'altitude : plus elles sont resserrées, plus la montagne est raide, si raide qu'à la fin on ne peut plus monter ; là où elles se font plus rares, la pente s'adoucit, c'est là que passent les sentiers, tu vois ? Les points avec des chiffres à côté, ce sont les sommets. C'est sur les sommets qu'on va. On ne descend pas tant qu'on n'est pas arrivé tout en haut, t'as compris ?
Non, je ne pouvais pas comprendre. Il fallait que je le voie, ce monde qui lui procurait autant de joie. Des années plus tard, quand nous commençâmes à marcher ensemble, mon père disait qu'il se rappelait très bien le jour où j'avais montré les premiers signes de ma vocation. Un matin, ma mère dormait encore, il s'apprêtait à sortir quand, au moment de lacer ses chaussures, il s'était retrouvé nez à nez avec moi, habillé et prêt à le suivre. [...]
« Tu ne veux pas rester dormir encore un peu ? m'avait-il demandé, à voix basse pour ne pas réveiller ma mère.
− Je veux venir avec toi », lui avais-je répondu.
C'est en tout cas ce qu'il affirmait, mais peut-être était-ce simplement la phrase qu'il aimait à se rappeler.
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Il dit:"Il faut faire ce que la vie t'a appris à faire.Si t'es très jeune,à la rigueur,tu peux peut-être encore changer de route.Mais à un moment donné, il faut s'arrêter et se dire:bon,ça je suis capable de le faire,ça ,pas.Et je me suis demandé :de quoi je suis capable,moi?Moi,je sais vivre en montagne.Qu'on me mette là-haut,tout seul,et tu verras que je m'en sors.C'est pas rien,quand même, non?Eh bien il m'a fallu attendre quarante ans avant de comprendre que ce n'est pas donné à tout le monde. "(p277)
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Plus haut [...]
la végétation disparaît , la neige recouvre tout jusqu'à l'été et la couleur dominante reste le gris de la roche , veiné de quartz et tissé du jaune des lichens .

C'est là que commençait le monde de mon père .

Au bout de trois heures de marche , prés et bois cédaient la place aux pierrailles , aux petits lacs cachés dans les combes à neige , aux couloirs creusés par les avalanches , aux ruisseaux d'eau glacée .

La montagne se transformait en un lieu plus âpre , plus inhospitalier et pur : là-haut , mon père arrivait à être heureux .

p. 54
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