La vie est un peu à l'image de ce couloir d'hôpital. Derrière chaque porte se niche une existence. Nous avançons à la recherche des êtres qui nous aideront à construire notre vie : notre amour, nos amis. Certains, chanceux ou avertis, connaissent les chambres dans lesquelles les découvrir. D'autres ne savent pas et restent éternellement à errer sans oser toquer ici ou là. Et s'ils ouvrent l'une d'entre elles, ils se montrent incapables de questionner, de s'intéresser vraiment à celles et ceux qui leur font face et repartent dériver vers d'improbables rencontres. Pourquoi ? Parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils cherchent. Parce qu'ils ne savent plus qui ils sont. Selon moi, chaque porte ouverte, chaque rencontre, est suscitée par le destin et doit nous apprendre quelque chose.
Nous avons pour nous l'éternité
Dans le bleu de cette immensité...
Mon amour, l'éternité peut attendre. Je veux que tu vives. Pour moi, pour notre enfant.
Parfois, l'âme à le choix de sa nouvelle existence. Elle décide alors de revenir auprès des siens pour réparer le mal commis. Et puis le père devient le fils ou le petit fils par exemple. Dans la mystique juive, on appelle cela le gilgoul.
Grandir, c'est savoir choisir, apprendre à écouter son cœur et son âme, à dessiner son propre parcours
C'est marrant ; parfois la musique porte les paroles que l'on aimerait prononcer
Montrer ses sentiments constituent un aveu de faiblesse
"L'absence est un gouffre au bord duquel on se tient, vaillant. Rien ne sert de crier, car la voix revient en écho. Le vide est si profond qu'il résume le monde. Et il nous semble n'avoir d'autre choix que de nous y jeter."
il existe en chaque homme le possibilité du meilleur comme du pire[...]
le meilleur s'exprime à travers les valeurs positives et permet d'abattre ses atouts,d'utiliser ses chances de réussir sa vie....Le pire résulte de l'incapacité à les envisager quand le mauvais penchant prend le dessus.entre les deux,réside le libre-arbitre
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peu bien s'écrouler
Peu m'importe, si tu m'aimes
Je me fous du monde entier.
L'hymne à l'amour, Edith Piaf.
Nous étions deux rivières aux sources éloignés. Nous avons traversé des paysages différents dans l'attente de cette rencontre. Nous nous sommes jetés l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, pour former un fleuve puissant, capable d'aller plus loin encore.