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Critique de Hugo


Il y des challenges dans la vie qui ne se refusent pas, quitte à se faire drôlement chier, le mien que je vais m’imposer s’intitule :
« Ni putes, ni enculé… point de vulgarité, mais avec un soupçon de poésie… »

C’était une soirée fin juin, en terrasse d’un café que m’est venu à l’esprit cette drôle de critique : J’y mettrai du soleil et des sourires que je me suis dit… alors trois jolies femmes sont venues s’assoir tout près de moi, pétillantes d’un Perrier citronné ou d’un thé mentholé, et puis après quelques échanges, un petit rayon de soleil retardataire est apparue au coin de la rue, la cheville au vent, scintillante d’une humeur timide et bon enfant, quelques rougeurs vite oubliées une fois tout le monde bien présentés…

Tremblotant discrètement par ce petit vent léger qui caressait mon désarroi d’avoir sous estimé ma timidité, mais du coin de l’œil je jouissais de cette ambiance si naturelle qui aurait pu tourner gêne et mains moites, pourtant les paroles s’animaient dans un mélange plaisant de rires et de fous rires entre deux gorgées de curiosité, quelle chance m’avait poussé un samedi soir dans les bras d’esprits si passionnants ?

Puis l’appétit s’est levé comme quatre nanas et un demi-homme, la bouffe était réservée au bout d’une rue juste à côté, malheureusement le petit rayon de soleil s’est envolée chercher pitance vers d’autre cieux… quelques bises furent échangées, puis nous nous sommes dirigés vers la chaleur d’une alcôve plus intimiste, chacun sa carte, il est temps de faire son choix, tartare, magret de canard au gingembre, crème brulée, fondant au chocolat, eau plate et coca zéro pour monsieur… dans le menu enfant le coca ? S’il vous plait, mais sans alcool…

Les délires féminins se sont enchainés, moi je regardais toute cette féminité d’un œil charmé, un sourire envouté au bord des lèvres, respectant du mieux que je pouvais leur amicalité naissante… Mais « Tard » fut très vite arrivé, alors qui conduit jusqu’à l’entrée du métro ?

Merci aux quatre bombasses de babelio pour ce moment ô combien délicieux… »

Fin du challenge : « Ni putes, ni enculé… point de vulgarité, mais avec un soupçon de poésie… »

« Mais pourquoi il parle pas du comic ce con ? »

« Tu crois que faut qu’on le dénonce aux hautes instances babelionesques ?»

« Y parait qu’il s’en branle dixit ce malotru… »

« A ton avis il a quel âge pour lire des conneries sur un raton laveur génétiquement modifié ? »

« Et un arbre humanoïde qui dit tout le temps son nom… »

« Sans parler de la bonasse toute verte et du géant tout tatoué… »

« Et du beau gosse masqué… »

« En plus il est d’un vulgaire, un empoté de la politesse voilà ce qu’il est… »

« Allons nous en et vite… »

J’ai été envouté par le film premier du nom, et la bande son ô combien bandante, de celle qui te font bouger le cul même sobre, du coup je comictise sans objectivité en me laissant bercer dans des histoires de vieux gosses qui rêvent d’aventures héroïques

A plus les copains…
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