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Critique de papotea
Merci à Babelio, Masse critique et aux éditions Prisma de m'avoir permis de lire ce livre.
Tout d'abord des félicitations pour la très belle couverture toute pailletée, toute girlie, toute festive.
Ensuite, ça a bien sûr été un plaisir de retrouver le style vif et agréable de Jenny Colgan, les recettes en début de chapitre (miam !) et tout le petit monde qui gravite autour du Cupcake Café: Izzy bien sûr, mais aussi Austin, Pearl, Caroline...
Alors c'est doudou, réconfortant, feel good, bref une suite agréable mais qui m'a un peu moins plus que le tome précédent, tout simplement parce que dans la première aventure, on voyait Izzie se battre et construire son cupcake café, alors que là l'intrigue est plus axée sur sa relation avec Austin (autour de ce cruel dilemme: partira ? partira pas ?), et du coup les autres personnages sont laissés un peu plus en retrait, tout comme le cupcake café dans lequel on ne passe pas tant de temps que cela.
Donc une suite agréable, mais auquel il manque un je-ne-sais- quoi pour en faire un vrai coup de coeur.
Mention spéciale à l'introduction, qui vous permet de lire ce livre sans avoir lu le précédent (mais ce serait vraiment dommage), le tout avec beaucoup d'humour.
Tout d'abord des félicitations pour la très belle couverture toute pailletée, toute girlie, toute festive.
Ensuite, ça a bien sûr été un plaisir de retrouver le style vif et agréable de Jenny Colgan, les recettes en début de chapitre (miam !) et tout le petit monde qui gravite autour du Cupcake Café: Izzy bien sûr, mais aussi Austin, Pearl, Caroline...
Alors c'est doudou, réconfortant, feel good, bref une suite agréable mais qui m'a un peu moins plus que le tome précédent, tout simplement parce que dans la première aventure, on voyait Izzie se battre et construire son cupcake café, alors que là l'intrigue est plus axée sur sa relation avec Austin (autour de ce cruel dilemme: partira ? partira pas ?), et du coup les autres personnages sont laissés un peu plus en retrait, tout comme le cupcake café dans lequel on ne passe pas tant de temps que cela.
Donc une suite agréable, mais auquel il manque un je-ne-sais- quoi pour en faire un vrai coup de coeur.
Mention spéciale à l'introduction, qui vous permet de lire ce livre sans avoir lu le précédent (mais ce serait vraiment dommage), le tout avec beaucoup d'humour.
