La dernière guerre, tome 1 : 49 jours

Il est si facile de se mentir à soi-même quand on a envie de croire.

-Comment va le monde Floryan?
La question me prend de court.
-Je...
-Laisse moi deviner. Il court à sa perte.

Quand tout espoir est perdu et que ton cœur persiste à battre plus fort. Quand ton amour ne dépend plus de l’autre, qu’il ne dépend plus de quoi que ce soit. Là se niche la vraie grâce.

"Mes parents ont de l'argent, que demander de plus ? L'avenir n'est pas un problème, il ne l'a jamais été. La plupart des adolescents se croient immortels. Moi, je suis sûr de l'être."

Quand tout espoir est perdu et que ton cœur persiste à battre plus fort. Quand ton amour ne dépend plus de l’autre, qu’il ne dépend plus de quoi que ce soit. Là se niche la vraie grâce.

Elle parle de ma mère dans le regard de son père. Elle parle de ma mère comme d'une fleur dans un champs de boue, d'une fleur qui s’obstine à être une fleur, et qui exalte des parfums de paradis au milieu des effluves d'une usine trop proche. Cette usine, explique-t-elle avec sourire, nous la connaissons tous, elle fonctionne à plein régime: C'est la fabrique du malheur.

J'avais cru être seul. Je suis un parmi la multitude.

"Mes parents ont de l'argent, que demander de plus? L'avenir n'est pas un problème, il ne l'a jamais été. La plupart des adolescents se croivent immortels. Moi je suis sur de l'être."

La vie est un océan de solitude, voilà tout. Les gens s'en sortent comme ils le peuvent, c'est-à-dire mal.

Le bonheur, on le reconnaît quand on le perd.