L’image du maçon partant, une fois les grues passées, balluchon sur l’épaule, pour ne revenir auprès de sa famille qu’à la Saint-André, est gravée dans la mémoire collective et a forgé une grande partie de l’identité creusoise.
L’émigration marchoise, plusieurs fois centenaire, prend son véritable essor au lendemain de la Révolution et atteint son apogée vers 1850. Trente ans plus tard, l’émigration annuelle devient définitive ; c’est l’installation dans la c...
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