Par un beau soir de juillet, alors que Papeete s'est vidée de ses habitants, partis pour Paris ou ailleurs, et que l'île délaissée s'abandonne aux solitaires et abrite les rêveurs, tous ceux qui n'ont pu partir, par ce beau soir de juillet, j'allai me promener dans le petit espace vert jouxtant le front de mer.