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EAN : 9782246828808
208 pages
Grasset (09/06/2021)
  Existe en édition audio
3.99/5   2816 notes
Résumé :
Après le drame qui a fait basculer sa vie, Léna décide de tout quitter. Elle entreprend un voyage en Inde, au bord du Golfe du Bengale, pour tenter de se reconstruire. Hantée par les fantômes du passé, elle ne connait de répit qu'à l'aube, lorsqu'elle descend nager dans l’océan Indien. Sur la plage encore déserte, elle aperçoit chaque matin une petite fille, seule, qui joue au cerf-volant.

Un jour, emportée par le courant, Léna manque de se noyer. La ... >Voir plus
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sur 2816 notes
À l'instar de Khaled Hosseini, le cerf-volant de Laetitia Colombani nous fait voyager…pas à Kaboul, mais dans un petit village d'Inde où Léna, ancienne enseignante française, tente d'oublier la tragédie qui a bouleversé sa vie, la poussant à tout quitter. Un jour, lors d'une balade matinale sur une plage encore dépourvue de touristes, elle aperçoit une petite fille qui joue au cerf-volant. Touchée par le sort de cette gamine d'à peine dix ans, exploitée par un restaurateur, Léna se met en tête de lui apprendre à lire et à écrire afin qu'elle puisse s'élever de sa condition…à l'image de ce cerf-volant défiant les lois de la gravité.

Comme dans « La Tresse », Laetitia Colombani entremêle trois portraits féminins, trois destinées cabossées qui se rencontrent le temps d'un roman. Outre cette institutrice cherchant à se reconstruire après un drame personnel, le lecteur retrouve Lalita, qui n'est autre que la fille de Smita, l'un des personnages principaux de « La Tresse ». La troisième femme, Preeti, également issue de la caste des Intouchables, dirige une brigade féminine d'auto-défense qui vient en aide aux nombreuses victimes d'agressions.

L'Inde que l'on visite en compagnie de ces trois personnages, n'est pas celle des touristes, mais celle des coulisses, peuplées de mendiants, d'intouchables et d'illettrés. Un endroit sans perspectives, frappé par la misère, où l'enfant est synonyme de main-d'oeuvre et les filles régulièrement victimes du sport national : le viol ! Privées d'instruction, on leur ôte la principale clé qui mène à la liberté : l'éducation ! Sous la houlette de coutumes et traditions ancestrales, les droits des femmes et des enfants se retrouvent constamment bafoués…

« le cerf-volant » de Laetitia Colombani est un magnifique roman féministe sur la reconstruction, qui dénonce la condition féminine et l'exploitation des enfants-esclaves en Inde, tout en soulignant l'importance de l'éducation afin de pouvoir s'extraire de cette misère…

« School ! School ! le gamin continue de crier et ce mot est comme un affront à la misère, un grand coup de pied balayant les castes millénaires de l'Inde, rebattant les cartes de la société. Un mot en forme de promesse, un laissez-passer pour une autre vie. Plus qu'un espoir : un salut. »
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Léna est arrivée deux ans plus tôt dans un petit village d'Inde, pour oublier le drame qui a torpillé sa vocation d'enseignante, partir, prendre le large s'était imposé comme une évidence, se perdre loin pour mieux se retrouver, oublier son quotidien, panser ses blessures. Un jour, elle aperçoit un cerf-volant, tenue par une enfant si frêle et menue qu'on dirait qu'elle va s'envoler, on dirait un oisillon tombé du nid. Lalita, une gamine muette d'à peine 10 ans, une orpheline, une gosse abandonnée, la fille d'une videuse de latrines et d'un chasseur de rats. Léna va alors se lancer dans un projet insensé, ouvrir une école pour tous ces enfants.

Dans ce magnifique roman, Laetitia Colombani, nous entraine en Inde, mais pas dans le pays connu des touristes avec ses temples majestueux, mais dans la face cachée de l'Inde. La circulation dense, les échoppes délabrées, les mendiants, la misère, le tumulte incessant, la détresse des enfants. Les castes, les Intouchables méprisés du reste de la population, qui les place tout en bas de l'échelle, à la périphérie de l'humanité. Ici, les petits travaillent comme leurs aînés, ils sont source de revenus. L'Inde est le plus grand marché de main-d'oeuvre enfantine au monde. Les filles sont les premières victimes de ce travail forcé. le viol, sport national. le droit des femmes et des enfants est bafoué. La malnutrition qui frappe un enfant sur deux. Les mariages et les grossesses précoces. Naître fille ici est une malédiction. La situation des femmes en Inde apparaît dans ce livre dans toute sa cruauté et plus particulièrement, celle des femmes de la caste des Intouchables.

Laetitia nous dresse le portrait d'une femme fragile, sa vie est comme ce cerf-volant elle ne tient qu'à un fil. Pour Lalita et tous ces enfants, Léna va devenir une combattante, une guerrière, elle va se heurter à un mur : les méandres de l'administration indienne gangrénée par la corruption, mais elle n'abandonne pas, elle essaye de convaincre les parents, lutter contre les préjugés, se battre pour récolter des fonds, une femme pleine de persévérance et de volonté. Léna va sans cesse faire preuve d'inventivité et s'adapter.

Une fois de plus, Laetitia Colombani nous livre un récit lumineux, porté par une belle écriture fluide et douce, un roman rempli d'espérance, un moment de lecture intense. Ce cerf-volant qui part du sol pour monter dans les airs, défiant les lois de la gravité, symbole de ces enfants, nés dans la misère, qui ne pourront s'élever que par l'éducation. Les beaux romans ne peuvent être écrits que par de belles personnes et assurément Laetitia Colombani est une belle personne.
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A la suite du décès tragique de son mari, François, Lena, enseignante comme lui, décide de quitter la France pour aller en Inde, pays qu'il rêvait de visiter. Elle ne parvient pas à faire son deuil ni à enseigner alors qu'elle adorait son métier. Elle part pour fuir son chagrin et peut-être pour tenter de se reconstruire, repartir à zéro comme on dit.

Elle n'a pas choisi l'Inde touristique des agences de voyage, mais réservé un « petit hôtel » dans un village, Mahäbalipuram, dans le district de Kanchipuram, Tamil Nadu.

Alors qu'elle est sur la plage, elle aperçoit Lalita, une petite fille qui joue avec son cerf-volant. Un jour, où elle est emportée par le courant, Lalita lui sauve la vie aidée par une autre personne. En voulant les remercier elle se rend dans la petite auberge tenue par l'oncle et la tante de la petite fille et découvre que la petite fille est la domestique du couple, elle sert à table malgré son jeune âge.

Les parents de Lalita sont pauvres, ce sont des Intouchables, le père est chasseur de rats, sa mère a quitté la maison à la recherche d'une vie meilleure, mais elle est décédée. L'oncle et la tante ont décidé de changer de religion et de noms pour échapper à cette discrimination. Ils sont devenus James et Mary et la petite fille Holy.

Une autre personne a participé au « sauvetage » de Lena, Preeti, qu'on appelle la cheffe. Victime de viol lorsqu'elle était plus jeune, elle a refusé le destin qu'on lui proposait via le mariage avec un homme plus âgé qu'elle ne connaissait pas pour apprendre les techniques d'autodéfense et elle entraîne tous les jours d'autres jeunes filles. Elles se déplacent en moto tel un gang ce qui n'est pas très apprécié dans le village.

Émue par les conditions précaires dans lesquelles vit Lalita, Lena décide de lui apprendre à lire et à écrire, en anglais. La famille accepte à condition que Lena paye pour embaucher quelqu'un.

Elle donne aussi des cours à Preeti et peu à peu d'autres personnes viennent la trouver pour assister aux cours. Elle finit par décider de créer une école et, avec toutes les tracasseries de l'administration indienne, c'est loin d'être simple.

On va assister à la création de l'école, la difficulté de convaincre les familles que les enfants, les petites filles doivent apprendre à lire compter… ce qui est loin d'être simple car « à quoi cela peut bien servir qu'une fille soit éduquée puisque tout ce qu'on lui demande c'est de se marier et faire enfants, obéir à leur mari et à sa famille sinon elle risque d'être vitriolée ou brûlée vive. Et quand il s'agit en plus d'Intouchables… Alors il faut dédommager, en sacs de riz par exemple…

Le drame arrive lorsqu'une petite fille, l'amie de Lalita, ne vient pas à l'école un matin : elle est pubère et on veut la marier à un homme qui a vingt ou trente ans de plus qu'elle.

La relation d'amitié qui se tisse entre Preeti et Lena est belle, car chacune a un passé douloureux qu'elle enfoui profondément pour se montrer plus forte, et il faut s'apprivoiser.

Léna revient de temps en temps en France, pour des problèmes de visa ou pour des formalités administratives et chaque fois, c'est un choc tant les deux cultures sont différentes. Parfois, il est difficile de ne pas devenir un donneur de leçon, de raisonner comme une Européenne, certes remplie de bonne volonté et d'empathie, mais parfois tutoyant la suffisance.

Laetitia Colombani nous livre, à travers cette histoire, un tableau de l'Inde profonde, pas celle que l'on montre aux touristes avec la pauvreté, la discrimination, les viols qui conduisent à l'exclusion : on ne les considère jamais comme des victimes, mais plutôt elles deviennent la honte de la famille. Elle décrit aussi les mariages forcés, à douze ans, une vieille de la famille vérifie que le mariage à bien été consommé, les grossesses difficiles, où les petites filles laissent souvent leur vie. le statut des Intouchables, les Dalits dans la religion hindoue ne s'améliore pas et cela ne risque pas d'évoluer avec l'actuel chef du gouvernement, ultra-religieux.

… Partout les Dalits sont assignés aux tâches les plus ingrates. Une soumission institutionnalisée par la religion hindoue qui les place tout en bas de l'échelle des castes, à la périphérie de l'humanité.

Laetitia Colombani trouve les mots justes, et surtout nous fait toucher du doigt une situation que l'on connaît certes mais sous forme de statistique, le nombre de femmes qui meurent en mettant leur bébé au monde, le nombre des viols, toutes ces choses que l'on sait prennent corps lorsqu'elles sont envisagées concrètement, on s'attache à ces petites filles, et là cela devient bien réel, on le ressent presque dans notre propre chair.

J'ai beaucoup aimé ce roman. J'étais restée sur ma faim, avec les précédents romans de l'auteure « La tresse » notamment car je trouvais ces trois portraits de femmes presque trop caricaturaux, notamment l'américaine avocate, snob, hautaine alors que les deux autres portraits m'avaient touchée. Ici, le roman est plus abouti, on croit sans problème à cette histoire, on n'est plus dans le mélo, mais dans la peinture d'une société avec ses codes, aux antipodes de la nôtre.

On ne se soigne pas en fuyant ses problèmes à l'autre bout du monde, certes, mais cela fait du bien de se confronter à la misère.

J'ai décidé de lire ce roman car j'aime l'Inde dont j'ai vu surtout les côtés pauvres, les lépreux à Dharamsala dans l'Himachal Pradesh où siège le gouvernement tibétain en exil, les vaches faméliques. Quand on revient, on fait attention à limiter la consommation d'eau à ne rien gaspiller tant certaines images peuvent continuer à nous hanter. Laetitia Colombani dresse un tableau précis de la société, du statut des femmes, sans tomber dans le pathos.

Belle histoire, beau voyage et belles rencontres…

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Grasset qui m'ont permis de découvrir ce roman et de retrouver la plume de son auteure.

#Lecerfvolant #NetGalleyFrance
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Léna, jeune femme française part en Inde à la suite d'un drame personnel.
Elle retrouve difficilement une raison de vivre en se battant pour améliorer les conditions de vie des déshérités dans ce lointain pays, dans un village pauvre.
Elle nous fait découvrir le travail des enfants dès leur plus jeune âge, dans des conditions inhumaines.
Les traditions renferment les petites filles dans l'ignorance, le mariage précoce, les brutalités.
Léna veut apporter sa pierre à l'édifice en instruisant ces enfants.
La petite Preeti , freinée par sa dyslexie, affronte avec courage les obstacles de l'obscurantisme, de la pauvreté qu'engendre ce classement des êtres et les intouchables dont elle fait partie. le problème avait déjà été abordé très humainement dans "La tresse".
L'inde, c'est "le chaos" dit Preeti et on le perçoit très fort dès le début du livre.
Les balançoires, les escarpolettes, le cerf-volant s'élèvent dans les airs comme l'instruction, l'éducation permettra aux enfants de s'élever. C'est devenu le credo de Léna.
C'est un roman très intéressant où Laetitia Colombani a voulu nous livrer le message de cette Inde en détresse.
Le côté informatif, documentaire de l'ouvrage sont très bien passés mais il manque pour moi l'intensité du récit, l'attachement aux personnages mis à part la petite Preeti.
204 pages, c'est peut-être un peu court pour contenir tout ce que je demande.
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Secourue par Latita, l'enfant au cerf-volant, Léna, enseignante partie en Inde pour se ressourcer, décide de lui apprendre à lire et à écrire, puis de créer une école pour les enfants les plus pauvres.

Laetitia Colombani a voyagé en Inde pour la mise en film de son livre “La tresse”.
Sa description de ce pays, loin de la médecine ayurvédique et du yoga, est proche de la misère qui s'allie au règne des castes pour maintenir la condition des Dalits (les Intouchables) au niveau de la rue, à la périphérie de l'humanité.
Les membres de cette communauté étaient si méprisés qu'ils “devaient jadis marcher à reculons munis d'un balai pour effacer les traces de leurs pas, afin de ne pas souiller les pieds des autres habitants qui empruntaient le même chemin”.

L'auteure tresse un nouveau récit de la vie de trois femmes hors du commun avec lesquelles nous tombons en empathie : Léna, Lalita et Preeti, des rescapées, des combattantes, des guerrières. Cette dernière, dont l'héroïne est Phoolan Devi, la reine des bandits, entraîne au self défense une brigade de femmes.
Elles assurent ensuite la sécurité des femmes contre les hommes violents et violeurs.

Ce très beau roman féministe, servi par une écriture dynamique, n'est pas pour autant angélique quant à la valeur salvatrice de l‘enseignement ; les obstacles à la création d'une école sont nombreux et les interrogations sur la légitimité d'une Européenne à vouloir changer un ordre enkysté tournent dans la tête de Léna.

Le cerf volant du titre est un symbole de l'élévation et de l'espoir.
Pour ces enfants, apprendre à lire et à écrire est “un laissez-passer pour une autre vie. Plus qu'un espoir : un salut.”
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critiques presse (4)
LeSoir
21 juin 2021
Léna la mène en Inde, pour les petites filles, dans le troisième roman de Laetitia Colombani.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LeFigaro
17 juin 2021
Dans ce troisième roman, l’auteur propose un récit sur l’émancipation des femmes grâce à l’éducation.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeParisienPresse
07 juin 2021
Son premier roman, « la Tresse », s’est imposé comme un livre phénomène. Réalisatrice, comédienne et écrivaine, Laetitia Colombani revient en librairie le 9 juin, avec « le Cerf-volant », un très beau récit féministe sur la reconstruction et le don.
Lire la critique sur le site : LeParisienPresse
Actualitte
09 avril 2021
L'autrice de La Tresse publiera Le cerf-volant, récit d'une rencontre entre trois générations de femmes, où solidarité, sororité et esprit de résistance se mêlent joyeusement...
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (227) Voir plus Ajouter une citation
Naître fille ici est une malédiction, pense-t-elle en quittant le dhaba. L’apartheid commence à la naissance et se perpétue, de génération en génération. Maintenir les filles dans l’ignorance est le plus sûr moyen de les assujettir, de museler leurs pensées, leurs désirs. En les privant d’instruction, on les enferme dans une prison à laquelle elles n’ont aucun moyen d’échapper. On leur retire toute perspective d’évolution dans la société. Le savoir est un pouvoir. L’éducation, la clé de la liberté.

 
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L deuil est un chagrin indivisible, que nul ne ne vous aide à porter. A chacun de s'en arranger - 112
... Un esclavage sexuel assorti de mauvais traitements sur lequel le gouvernement ferme les Yeux. Parfois surnommé « le paradis des hommes », l'endroit est assurément l'enfer des femmes. ... - 88
». «L'impossible, nous ne l'atteignons pas, mais il nous sert de lanterne », a écrit René Char. Léna tente de s'accrocher à cette idée, à cette petite lumière qu'elle a voulu allumer, un minuscule lampion qui faiblit aujourd'hui mais qui demain, espère-t-elle, retrouvera son ardeur et sa vivacité. Il faut continuer, ne pas se laisser entamer, reprendre la lutte, au nom de ces enfants qui l'attendent chaque matin. Pour eux, Léna veut croire et espérer que quelque chose finira par changer. - 194 /195
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Elle entend déjà siffler à ses oreilles la voix de ses détracteurs : ils diront que son regard est biaisé, lourd de préjugés occidentaux sur un monde qui lui est étranger. Qu’elle n’a nullement le droit de condamner ces mœurs. Ils l’accuseront de s’ériger en juge, en censeur, dans un pays qui n’est même pas le sien. Léna se moque bien de ce qu’on pourra lui reprocher. Ces arguments ne tiennent pas longtemps face aux larmes d’une enfant de dix ans que l’on vient de marier. Peu importe que l’on soit indien ou français, savant ou illettré, que l’on connaisse ou non la culture du pays, quiconque a déjà vu une petite fille pleurer le jour de ses noces en a eu le cœur brisé.
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Elle raconte comment, dans l'État voisin du Kerala, les gens de sa condition devaient jadis marcher à reculons munis d’un balai pour effacer les traces de leurs pas, afin de ne pas souiller les pieds des autres habitants qui empruntaient le même chemin.
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Girl. No school.
La phrase tombe comme un couperet, une punition.
Pire, une condamnation. Léna reste sans voix. A regarder la petite s'éloigner, munie de son éponge et de son balai, elle a envie de hurler. Elle donnerait n'importe quoi pour transformer ces accessoires en stylo, en cahier. Hélas, elle n'a pas de baguette magique, et l'Inde n'a rien d'un décor de conte de fées.
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