Citations sur Parce que c'était toi (65)
Ce n'est pas de l'amour, c'est bien plus que ça : une respiration, une évidence, une folie, une passion...
Oui, une passion ! (Page 26)
Certaines personnes nous apaisent. Il n'y a souvent aucune raison particulière à cela, c'est comme une forme d'alchimie naturelle qui se crée.
vous savez, ça ne me regarde pas, mais à mon âge je donne toujours mon avis et je me fous de la réaction de mon interlocuteur
On aura beau construire le plus beau des châteaux, l'orner des pierres les plus précieuses, remplacer ses pièces de bronze par l'éclat de l'or... On aura beau illuminer ses tours avec des centaines de lumières...
Rien ne remplacera un clair de lune dans tes bras. Rien ne remplacera l'odeur de tes cheveux quand ta tête se pose sur mon épaule.
Rien, absolument rien, n'égalera la douceur de ton silence, la nostalgie de ton absence, l'espoir de ta présence...
et si c'était cela,la recette du bonheur? envelopper les plus belles parenthèses du passé et laisser s'envoler. savoir apprivoiser ces milliers de sensations, de sentiments et de découvertes et les garder au fond de nous comme une assurance de paix pour l'avenir. se dire que malgré les moments de souffrance, il y aura toujours ce souffle apaisant d'air chaud qui nous accompagne.
elle savait désormais que la vie était une magnifique mais cruelle amie, qui peut lâcher la main sans prévenir, lorsqu'elle le décide, avec une violence parfois insupportable. alors, elle profitait de tous ces instants, de ces souffles de vie.
on dit du manque qu'il s'estompe avec le temps, les jours qui défilent et les années qui passent. on se rassure comme on peut, on se persuadé que demain ce sera moins fort, moins présent, moins flou. alors on vit, on comble le manque comme on peut, on fais semblant, on triche. jusqu'au jour où on s'habitue à l'absence qui deviens la plus fidèle des présences.
Le temps s'enfuit, les années s'évadent, les images rassurantes du passé s'effacent peu à peu. alors on se projette dans l'avenir qui deviens notre nouveau refuge. l'être humain est ainsi faut, il se rassure sur ce qu'il a vécu ou sur ce qu'il vivra peut être.
refusant le plus possible : apprécier une à une, les secondes qui passent sans penser à l'horloge qui inlassablement égrène le fil de sa vie.
l'insouciance, c'est retenir par la main cette part d'enfance qui s'enfuit et nous manque tant. c'est apprécier cette légèreté qui apaise les moments trop sérieux, trop ordonnés, trop prévisibles. c'est ne pas se soucier des conséquences et écouter cette petite voix qui nous donne envie de sauter dans les flaques avec un grand éclat de rire.
"je ne sais pas si tu es en moi ou si je suis en toi ou si tu m'appartiens. une chose est sûre, je ne veux pas te posséder. je pense que nous sommes tous les deux à l'intérieur d'un autre être que nous avons créé et qui s'appelle nous"
sur la route de maison
Robert James waller