Parce que c'était toi

Camille, la quarantaine épanouie, a deux enfants adorables et une situation professionnelle brillante qu'elle partage avec son mari Richard, avocat comme elle. Richard est peu démonstratif dans ses sentiments et leur couple au fil du temps s'est enlisé dans la routine.
Alors, quand après vingt-sept ans, Camille retrouve Stephen, son amour d'adolescence, la passion renaît. Mais comment être à la fois mère de famille, épouse et amante ? Elle ne sait pas. Et après que Camille ait rompu et renoué leur idylle plusieurs fois, Stephen lui demande maintenant de faire son choix.

Que dire de cette lecture ? Parce ce que c'était toi... est le premier roman que je lis de Bruno Combes. Ceci explique peut-être quelques légères déceptions ... puisqu'en fait, à la demande de ses lecteurs, Bruno Combe a écrit là une suite à un précédent roman : Seulement si tu en as envie...

Dans Parce ce que c'était toi... le thème de l'amour-passion de jeunesse qu'on s'est juré éternel et qui renaît est à peine évoqué et ressemble donc à une banale liaison amoureuse. J'aurais aimé connaître davantage Stephen, ses sentiments et ses ressentis. Il n'y a pas de dialogues entre Camille et Stephen. On ne sait rien de ce qu'ils se disent et partagent lors de leurs longues conversations téléphoniques ... et c'est dommage.

J'ai par contre bien aimé le style et l'écriture pleine de sensibilité de Bruno Combes ... et pour ça, je ne dis pas non pour un autre roman.

En tout premier lieu, la couverture m'a attirée. le résumé promettait un bon moment de lecture. Mais la plaisir n'a pas été au rendez-vous. Je n'ai pas été portée par les personnages. Les moments qui auraient dû être développés à mon goût, sont survolés. La fin est prévisible, le raisonnable, l'ordre des choses... J'aurais voulu rêver un peu...

Mon tout premier Bruno Combes..

C'est l'histoire de Camille, une jeune femme, mariée, mère de deux enfants, avocate réputée, de Richard son mari avocat lui aussi et de Stéphan, son ami et amour d'enfance dont la réapparition après plusieurs années n'a pu que chambouler l'existence de Camille qui se retrouve face à un dilemme, garder sa vie paisible avec son mari et ses enfants ou choisir de sauter le pas et de tout quitter pour son amoureux de tous les temps ?

La lecture fut simple et fluide, le dénouement de l'histoire imprévisible par endroit, chose qui ne peut que plaire au lecteur, et la fin logique et réaliste.

Camille a 45 ans, un mari par habitude, deux grands enfants, deux copines, un boulot d'avocat et... un amant. Même si ce n'est pas comme cela qu'elle décrirait sa relation avec Stephen, son amour d'adolescence, devenu adulte et qu'elle a retrouvé après presque trente ans. Camille se pose beaucoup de questions, sait qu'elle doit faire un choix, hésite, n'ose pas renoncer à une part de sa vie. le destin va l'y aider.

C'est toujours délicat quand un homme se lance dans l'écriture de romance en plaçant une femme au coeur de son intrigue. Peu d'auteur masculin ont su me convaincre dans ce registre. Et cette fois, ça ne l'a pas fait.
Je ne suis jamais entrée en empathie avec Camille que j'ai trouvé égoïste par certains côtés et trop indécise. Il est certain que le caractère de cette héroïne soit très éloigné du mien, ce qui a peut-être contribué à ce détachement émotionnel qui m'a suivi tout au long de ma lecture.
Par ailleurs, j'ai trouvé les personnages masculins trop faibles pour être crédibles bien que je pense que ce soit une technique de l'auteur pour leur donner le beau rôle sans vraiment l'affirmer.
Par dessus tout, je n'ai pas vraiment adhéré ni aux réflexions pseudo-philosophiques qui ouvraient chaque chapitre, ni à la fin du roman en elle-même.

Camille avait une existence comblée par un mariage, deux beaux enfants, une belle carrière d'avocate travaillant avec son mari. Mais elle a retrouvé son amour de jeunesse, et ils ont commencé une liaison.
Mais Stephen, lui est veuf et donc libre de vivre cette histoire au grand jour. Il lui demande de choisir.
Bouleversée Camille est victime d'un accident de la route.
On retrouve les personnages du roman Seulement si tu en as envie, quelques mois plus tard, le dilemme de Camille est plus pressant, choisir entre une relation qui semble idéalisée et une vie de couple avec ses hauts et bas.
Un roman agréable à lire.

Cette suite m'a un peu déçue par rapport au premier tome j'ai l'impression que l'histoire manque de profondeur

Le second volet de cette romance n'est pas à la hauteur de mes attentes. Si les sentiments étaient puissants dans le premier roman, dans celui-ci, j'ai la sensation qu'on a complètement oublié Stephen et que tout ne tourne qu'autour de Camille. le dénouement m'a déçue et me laisse un goût amer, malgré le côté raisonnable de ce choix.

Bon. J'ai choisi ce roman sur les rayonnages de la bibliothèque notamment grâce à sa couverture, et sa dernière de couverture, qui m'a foi donné bien envie. Alors oui c'est sympa mais j'ai eu du mal à adhérer au personnage principal et à l'histoire.
C'est bien écrit, on le dévore quand même vite ce roman. J'ai aimé ces petites introductions de chapitres.
Mais la femme de 45 ans nostalgique de son adolescence au point d'hésiter entre ses enfants et son amour de jeunesse... peu crédible pour moi.
De plus, le roman est centré uniquement sur Camille, ses émotions, ses sentiments... J'aurais aimé connaître les autres, ils sont certainement très intéressants !!!

Suite du livre "seulement si tu en as envie". Au début j'ai cru que je m'étais trompée de livre, que j'avais repris le 1er : même histoire, mêmes lieux et mêmes questionnements, incertitudes. 2 livres pour ne pas arriver à décider. Histoire de Camille, mariée, 2 enfants, avocate ,; tout pour être heureuse. Elle retrouve un amour d'adolescente . Histoire impossible ? Lui est libre. Histoire d'un très bel amour.
Scénario un peu facile à mon sens. Happy end !
Ceci dit livre facile à lire et j'aime beaucoup l'écriture de Bruno Combes
Un peu déçue quand même

Roman facile à lire et agréable,toute fois,il me semble que le 1er volet "Seulement si tu en a envie" m avait beaucoup plus transporté.
J ai trouvé l histoire un peu plate.