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Livre découvert en furetant à la FNAC. Il n'est pas resté très longtemps dans ma PAL tant son résumé m'intriguait, mélange de steampunk, de ville à sauver et d'orphelins. Sa couverture est vraiment très belle.

Le prologue est intrigant à souhait avec sa sorcière qui se retrouve à avoir une minuterie à la place du coeur. Ensuite, nous découvrons les 6 orphelins dans leurs passe-temps favori, le vol à la tire, dans le Paris de 1889 pendant l'Exposition Universelle. Les chapitres sont courts et s'enchaînent vite. L'auteur retourne souvent dans le passé pour nous expliquer celui des 6 orphelins, mais pas que, dès que les évènements exigent des éclaircissements. L'histoire avance lentement mais il y a toujours un petit élément pour susciter ma curiosité. Que font 6 orphelins avec des monstres et une montre à remonter le temps ? L'auteur alterne la narration entre Boiteux, un des 6 orphelins, et les monstres. Cela nous permet d'avoir une vision d'ensemble même si cela reste assez confus. Par contre, le steampunk est assez peu présent ainsi que l'Exposition Universelle. Pourquoi choisir ce cadre dans ces cas-là ? Par moments, j'avais l'impression de visiter un jeu avec cette histoire. L'imaginaire y est très particulier entre sorcière, automates et montre à remonter le temps. L'auteur a également mélangé plusieurs univers déjà existants : Harry Potter, le Palais des Mirages, La mécanique du coeur, … et bien d'autres encore. Je vois ça comme un hommage de la part d'un fan geek. Les passages sur les différents passés sont intéressants et permettent d'approfondir un peu l'histoire ainsi que d'apprendre à mieux connaître les différents personnages. Les orphelins ne sont heureusement pas tout seuls dans leur quête pour sauver Paris, ils seront aidés par différentes personnes, certaines sont pour le moins incongrues. Ils vont malgré tout enchaîner beaucoup de mésaventures pour arriver à leurs fins mais aussi beaucoup d'astuces et de débrouillardises.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a été une excellente découverte même s'il m'a laissé un goût inachevé car j'aurais bien aimé suivre encore un peu cette bande d'orphelins et l'inventeur fou Georges. Par contre, certains éléments ne sont pas assez mis en valeur d'après moi : le côté steampunk de l'histoire, l'Exposition Universelle (à part certains détails connus). L'auteur a tout accès sur les orphelins, les automates et la capitale à sauver. Pour un premier roman, c'est quand même un bon début. Si vous êtes amateurs de littératures fantastiques mélangeant plusieurs thèmes, je vous conseille très fortement de découvrir cette histoire et son jeune auteur. Pour ma part, il s'agit d'un nouvel auteur à suivre. Un petit bémol au niveau de la couverture, la dorure du titre s'enlève trop facilement. Je pose toujours mes romans sur différents supports (table, plaid, …) et au moindre contact, ça s'enlève. C'est dommage car le reste est toujours doré.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Paris, 1889. Centenaire de la Révolution française et année de l'Exposition universelle axée autour de la monumentale tour de Mr Eiffel.
Pendant ce même temps, dans les bas-fonds survivent Moignon, Allumette, Morve, Bègue, Boiteux et Pleurs. Les six orphelins, âgés de sept à quinze ans, se sont enfuis l'année précédente de l'orphelinat digne de Dickens. Depuis, c'est la vie au jour le jour à coups de larcins, chapardages et recels. Mais surtout une entraide, une solidarité et un puissant lien de fraternité choisie qui lient les membres de cette singulière compagnie.

Lorsque Boiteux, l'as pickpocket du groupe, "cueille" dans la poche d'un curieux gentleman rien moins qu'humain, une montre à gousset à la mystérieuse propriété, l'existence des gamins se voit bouleversée dans des proportions qu'ils étaient bien loin d'imaginer...

Anthony "Yno" Combrexelle signe avec Presque Minuit son premier roman dont il explique les circonstances d'écriture en postface. Dans ce livre destiné aux adolescents, il mêle innovations technologiques à coup d'automates et antiques pouvoirs des sorcières d'Hécate. Au milieu, un attachant groupe de mômes que la vie n'a pas vraiment aidés jusqu'ici. La découverte du pouvoir de la montre les emporte, et nous avec, dans une suite d'aventures et de péripéties où leur courage et leurs cellules grises sont mis à contribution. Magie et dangers sont au rendez-vous, l'auteur n'hésitant pas à les plonger dans de sombres moments.

La lecture de Presque Minuit a parfois été gâchée par des longueurs et un manque de liant entre les événements en cours et les analepses. J'ai d'ailleurs eu du mal à entrer dans l'histoire et c'est surtout la personnalité des orphelins qui m'a poussée à continuer. Il n'en reste pas moins que l'auteur y a mis de bonnes idées et que l'ensemble reste sympathique à suivre. Pas le grand enthousiasme donc mais pas un ennui complet non plus. de plus, s'agissant d'un premier roman, je suis certaine qu'Anthony Combrexelle ne peut aller qu'en améliorant ses procédés de narration. A suivre donc...
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En voyant que Au crépuscule était disponible sur Netgalley, je me suis dit qu'il serait temps de lire Presque minuit. Je sais que les deux tomes peuvent être lus indépendamment, mais autant avoir le background des personnages avant de se lancer.

Nous suivons donc six orphelins, tout juste échappés de l'établissement où ils étaient éduqués, à l'époque de la grande Exposition Universelle. L'époque est pleine de promesse, avec les nouvelles technologies qui voient le jour, et le résumé nous annonce de la magie, une bonne combinaison qui prend vie rapidement et qui happe le lecteur.

Il y a d'ailleurs tout de suite une dynamique dans le récit que j'ai beaucoup apprécié. Les chapitres très courts, ainsi que les changements de point de vue font que l'on a une vue d'ensemble, et qu'on ne se perd pas dans des chapitres interminables. L'action est présente dès le départ, on entre dans le vif du sujet, avec des flash-back de temps à autre pour nous resituer le tout quand cela est nécessaire.

Dans l'ensemble, j'ai plutôt bien accroché à l'univers et à l'histoire en elle-même. C'est bien ficelé, et l'auteur prend vraiment bien le partie de mélanger et la magie et la technologie en gardant à l'esprit de montrer combien les humains font facilement des erreurs pour assouvir leurs désirs. le contexte a beau être imaginaire, l'ensemble des faits nous parle facilement. J'ai aussi aimé la réflexion sur le fait de manipuler le temps. Est-ce bien ou mal ? Comment le gérer et quelles sont les répercutions ? Il y a une prise de conscience sur ce qu'on doit ou peut accepter et des sacrifices que l'on doit faire.

Mais, à trop jouer avec le temps dans un roman, on y perd aussi son latin. Surtout dans les scènes d'action, et cela se ressent surtout à la fin. J'ai trouvé quelque fois que le tout était un peu bancal dans le sens où l'on ne prend pas en considération certaines règles « scientifiques » vis-à-vis de ce phénomène. Après, à ce niveau-là, je suis pointilleuse, je l'admets. Ce n'est pas un élément évident à manier et dans l'ensemble, c'est très bien réalisé.

Autre point négatif : les enfants. Je ne me suis attachée à aucun d'entre eux. Et c'est dommage parce qu'au final, je suis donc passée à côté de l'histoire, de leur histoire. J'ai trouvé que leurs défauts étaient beaucoup trop mis en avant, et cela crée une distance difficile à dépasser. A trop vouloir en faire des anti-héros, on ne parvient pas à s'identifier ou à avoir de la compassion. Il en va de même avec les sorcières. C'est encore une fois dommage, car il y avait du potentiel, et c'était la dose de magie que j'attendais vraiment. Elles sont survolées.

Presque minuit a donc du potentiel, mais pour moi, certains points font que je suis passée un peu à côté. Je vais lire la suite, sans soucis, car je suis curieuse de voir si Au crépuscule saura me faire changer d'avis.
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Une lecture ado plutôt agréable.
J'aime bien l'univers steampunk, pas trop lourd. Les personnages principaux (les orphelins) sont fouillés, l'auteur s'attache à nous les rendre vivants. Mais il faut avouer que cela rend les autres personnages un peu "rapides", artificiels. On commence le livre par la sorcière, mais elle est tellement oubliée ensuite qu'elle est passé à la trappe dans ma lecture : je ne me suis que peu intéressée à son destin et celui de ses gardes. C'est dommage car les personnages secondaires ont tous du potentiel : sorcière, gardes, Georges, la teigne.
Paradoxalement, je regrette à la fois que les personnages secondaires ne soient pas complètement exploités, et l'existence de certaines longueurs. A certains moments, je lisait presque en diagonale, je trouvais ça un peu longuet.
Niveau gestion des voyages dans le temps, je trouve que l'auteur s'en sort bien. Parce qu'honnêtement, il y a de quoi bien se planter, surtout pour un premier roman. Mais là les conséquences des voyages, les modifications du temps restent "crédibles".
C'est donc un plutôt bon moment de lecture, et un auteur qui mérite certainement d'être suivi s'il republie, car à mon avis son écriture va se peaufiner.
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Les principaux protagonistes sont une bande de gamins des rues, vivant de petits larcins dans le Paris de 1899, durant l'Exposition Universelle après s'être échappés d'un orphelinat. Ils dérobent un soir une montre à un homme mystérieux. de fil en aiguille, ils vont se retrouvés aux prises avec des automates tueurs, rencontré une sorcière, et combattre les machinations d'une terrible machine, en jouant avec le temps.

Ce roman a des qualités et des défauts.

+Le steampunk, c'est assez rare en roman jeunesse.

+on s'attache plutôt à la bande et à ses différents gamins, c'est astucieux d'utiliser des surnoms pour les qualifier.

+Les dernières pages sont vraiment émouvantes.

+Les manipulations du temps sont plutôt bien menées. Et pourtant ça peut être casse-gueule.

Oui mais

–Six héros c'est déjà beaucoup, autant dire que les autres personnages sont peu creusés et qu'on se fiche de ce qui leur arrive. Notamment aux gardes de la sorcière, impossible de s'y attacher. Même chose pour George qu'on voit pourtant plus longtemps. Et les flashbacks destinés à nous les faire connaitre sont un peu artificiels.

-Je commence à me demander si le Steampunk est aisé à développer dans un roman, tant ce genre est associé à des visuels. La BD, le jeu vidéo, les films même sont parfaits pour en quelques secondes fixer une ambiance. La description des adversaires » les worclocks », m'a semblé bien poussive et ne m'a pas marqué.

-Dans l'ensemble, je pense que l'auteur avait des images assez précises de ce qu'il voulait montrer. Ca se sent notamment au niveau des combats. Mais cela rend ces scènes de combats lourdes, et paradoxalement peu intenses.

-Tout l'arc narratif autour de la sorcière me semble dispensable en fait.

-Les flash backs risquent de perdre le lecteur, car aucun signe ne vient expliquer que l'on évoque des évènements passés.

Au final, la sincérité de l'auteur et sa générosité se sentent à chaque page. Mais les maladresses, peut être liées au processus d'édition original, ont nuit à mon immersion dans le récit. Néanmoins, ce roman est loin d'être honteux, et peu avoir sa place sur nos rayons.
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salut les Babelionautes

Je viens de refermer ce roman d'Anthony "Yno" Combrexelle et d'après le ce qui figure dans le quatrième de couverture "écrit par les geeks pou les geeks" je m'attendais a un récit tourné vers les mondes virtuel.
Ce ne fut pas le cas, car se premier roman de l'auteur est de la très bonne Fantasy Steampunk, a rapprocher du "Paris des Merveilles" de Pierre Pevel.
Nous sommes a l'Aube de la grande Exposition Universelle de 1889 et nous allons suivre une bande d'orphelins échappés de l'orphelinat ou ils se sentaient prisonnier.
En volant un objet étrange ils vont déclencher une suite d'événements qui vont les entraîner dans une aventure ou tout est possible, même remonter le temps.
Dans un Paris qui s'apprête a découvrir les Merveilles exposées ils vont devoir lutter contre des créatures mécaniques, rencontreront la dernière des Sorcières et des figures mythologiques.
Ce roman a obtenu le grand prix 404 Factory 2017 et le mérite.
du coup j'ai regardé l'oeuvre d'Anthony "Yno" Combrexelle et j'ai découvert, a ma grande surprise, qu'il y a une suite et plusieurs jeu de rôles dont il est l'auteur ou l'un des créateurs.
Je ne suis pas Roliste, donc je ne découvrirai pas cette façade de son talent.

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Presque minuit va vous plonger dans un univers steampunk glaçant !

Dans ce livre, nous nous retrouvons projetés dans la ville de Paris en 1889. Nous suivons les péripéties de six orphelins menacés de mort. Ils ont volés l'objet d'un complot, une montre puissante capable de remonter le temps. Depuis des hommes robots, sanguinaires, les pourchassent pour les éliminer.

J'ai adoré l'univers de ce livre ! Ce Paris impressionant, industriels avec ses lieux sombres. Ce Paris des années 1889. J'ai trouvé intéressant que l'auteur inclus dans son récit un événement qui a vraiment eu lieu, cette année là : l'exposition universelle.
L'auteur a réussi à me projeter dans son univers ; c'était magique ! Je me voyais dans la capitale, à cette époque décrite, avec ces six orphelins ; découvrant en même temps qu'eux tout ces lieux.
Question personnages, j'ai aussi bien accroché =). Ils sont atypiques ; ils sont chouettes !
Un autre point positif (que des points positifs =p), dans ce livre les rebondissements sont nombreux. le récit m'a tenu en haleine jusqu'au bout, je voulais vraiment savoir comment tout allait se terminer.
En revanche, je ne m'attendais pas à un livre aussi sanglant, à d'aussi nombreuses scènes gores. Ça ne m'a pas dérangée mais j'ai été plutôt surprise.
Je le conseille à tous les amateurs d'univers steampunk, magique, fantastique. Je le recommande aussi à ceux qui aime vivre des aventures au côté de leurs personnages !
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Paris, XIXème siècle. A l'aube de l'Exposition Universelle. Moignon, Allumette, Morve, Pleurs, Boiteux et Bègue sont six enfants qui ont fui leur orphelinat. La petite troupe vit désormais sous un pont et ils ont mis au point quelques combines pour vider les poches des passants. Jusqu'au jour où ils mettent la main sur une montre à gousset très très spéciale. Cette montre remonte le temps et va bouleverser leur vie à jamais...



J'ai adoré les six héros de cette histoire. Ce sont des gamins des rues attachants comme tout, qui nous entraînent par la main dans une grande aventure. Six enfants malins et courageux, qui se sont organisés comme ils pouvaient pour survivre. Des enfants qui ne sont pas épargnés par l'auteur aussi. La montre ne leur apporte que des malheurs et pourtant ils se lancent dans l'inconnu sans trop rechigner. Aussi effrayés qu'excités, ils sont prêts à mener l'enquête et suivre les pistes. Ils ne savent rien du danger qui les guette. Ils ne savent rien du danger qui guette toute la capitale. Ce sont de simples enfants qui ne se rendent absolument pas compte à quel point ils dérangent, à quel point ils perturbent les plans de l'ennemi. Ennemi qui se veut diabolique et sanguinaire...



La première moitié du roman est particulièrement mystérieuse et j'avais hâte de découvrir dans quel genre d'univers je mettais les pieds. Je n'ai absolument pas été déçu par la découverte, la magie se mêlant doucement à un univers steampunk. le mélange est savoureux et plus sombre que je m'y attendais. Nos héros peuvent effectivement remonter le temps mais il ne s'agit pas seulement de cela. Si ils sont confrontés à toutes sortes d'inventions, ils sont aussi amener à croiser la route de sombres créatures humanoïdes faites de rouages et de fer, des automates impitoyables...



Presque Minuit est aussi et surtout un roman d'aventures. La lecture s'emballe peu à peu. Les enfants nous embarquent dans une course folle, dans différents quartiers parisiens. Les péripéties sont nombreuses et le rythme de lecture de plus en plus soutenu. On ne sait pas comment les enfants vont bien pouvoir s'en sortir. Ils ont beau être courageux, la partie est loin d'être gagnée d'avance...



Verdict : du steampunk pour la jeunesse, ça c'est chouette ! J'ai découvert un univers sombre, mystérieux et je me suis laissé embarquer dans une aventure palpitante, aux côtés de six jeunes héros attachants. Les chapitres sont courts et intercalés de petits flashbacks qui enrichissent l'intrigue. L'écriture est fluide et agréable. Il y a tout ce qu'il faut pour passer un bon moment. Mention spéciale pour la jolie couverture, pour ses dorures et pour les petits détails dans la mise en page qui en font un très beau roman.
Lien : https://revesurpapier.blog4e..
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Dans ce roman nous suivons 6 orphelins vivant dans la rue. Un jour ils volent une montre leur permettant de remonter le temps, ils se retrouvent alors poursuivi par des monstres mécaniques et parte à la recherche d'une sorcière qui pourrait les aider.

Dans ce livre on retrouve de tout, de l'aventure, de l'action, de la magie, de la joie et de la tristesse. L'intrigue qui m'avait d'abord attiré vers ce livre est sympa mais il m'a manqué un petit quelque chose pour m'attacher aux personnages et être vraiment absorbé par l'histoire.
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Coup de coeur ! ❤ les personnages sont attachant, c'est rythme, l'ambiance est cool, le style est à tombe, l'univers est magique bref j'ai passé un super moment de lecture ! Les derniers mots de l'auteur m'ont particulièrement touché et c'est un livre qui mérite vraiment d'être découvert. L'auteur a construit une histoire avec ses tripes et ça se sent ! Je ne suis absolument pas d'accord avec les mauvais commentaire sur le même livre que j'ai pu voir. On peut ne pas aimer le style, on en peut pas remettre en question le travail incroyable d'écriture qui nous ai mis sous le nez ! Un travail de recherche avec un équilibre d'émotions et de rebondissement. Un auteur qui n'a pas peur de faire mourrir des personnages aussi important soit il. Bref un bonheur j'ai hâte de découvrir son deuxième ouvrage !
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