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Les exploits du professeur Chall... tome 2 sur 5
EAN : 9782010139833
Hachette (31/10/1996)
3.38/5   71 notes
Résumé :
La Ceinture empoisonnée est un roman d'aventures et de science-fiction de Sir Arthur Conan Doyle paru en 1913. Il est également traduit en français sous le titre Le Ciel empoisonné. Le roman relate l'histoire des quatre aventuriers du Monde perdu attendant la fin du monde chez le professeur Challenger, à la campagne, dans une pièce confinée, avec des bouteilles d'oxygène.
''Apportez oxygène'', a télégraphié le professeur Challenger à ses invités du week-end. ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
3,38

sur 71 notes
Ce n'est ni plus ni moins qu'à une fin du monde à laquelle Sir Arthur Conan Doyle nous invite.

Suite à la relecture du Monde Perdu, j'ai décidé de tâter des autres aventures du professeur Challenger et ses compagnons. Cette chère Tatooa m'a accompagné dans la lecture de ce court récit. Grâce lui en soit rendue.
Une fin du monde, disais-je. A lire le titre, je ne m'attendais pas à ça. J'avais imaginé un truc d'espionnage et d'une arme du genre du parapluie bulgare, lol !
La fin du monde a en fait quelque chose à voir avec notre planète Terre qui entre dans une zone de l'éther pour le moins désagréable. Cet éther n'a rien à voir avec le produit chimique à la désagréable odeur. C'est comme ça qu'on appelait le milieu dans lequel on pensait, jusqu'à la fin du 19ème siècle, que les ondes électromagnétiques devaient se déplacer. Les expériences de Michelson et Morley et la relativité restreinte d'Einstein ont fait disparaître ce concept des théories physiques. J'ai d'ailleurs été surpris que Conan Doyle en parle encore comme d'une réalité en 1913 (date de publication du récit). Ses recherches me semblaient plus soignées dans le Monde Perdu.

Bah, quoi qu'il en soit, j'ai été ravi de retrouver mon quatuor qui, en termes de caractères, n'a pas changé d'un pouce. La palme revient toujours au vaniteux, méprisant et irascible professeur Challenger. Un type à prendre au second degré, pour rigoler. Mais le gars est doué et a toujours réponse à tous les problèmes. Il a souvent raison d'ailleurs, du point de vue scientifique du moins. Dans ce récit qui se dirige rapidement vers un confinement (hé oui, déjà), des discussions philosophico-mystiques permettent de passer le temps. Je ne m'attendais pas à voir Challenger prendre de telles positions quant à la vie de l'esprit après la mort du corps.
En revanche on retrouve bien les opinions de l'époque quant à la hiérarchie des races. J'ai rigolé quand j'ai lu l'extrapolation de Challenger qui prétend que les Nordistes (Anglais, Allemands, Scandinaves) sont plus civilisés que les Sudistes (Français, surtout les Marseillais, Espagnols, Italiens). Je pense qu'il s'agit là de l'opinion du personnage, pas de son auteur, mais allez savoir. de même j'ai trouvé dans le ton de l'époque la certitude de Challenger que l'univers n'existait que pour voir évoluer l'être humain, personnage central du grand théâtre cosmique.
L'autre savant, Summerlee, prend presque systématiquement le contrepied de Challenger, avec autant de vanité et de mépris. Leurs échanges sont toujours jouissifs. Et heureusement, je dirais. Car malheureusement le confinement nous prive d'un aspect exotique des aventures et j'avoue avoir éprouvé de l'ennui par moments. Les deux autres membres du quatuor sont plutôt en retrait.

Conan Doyle a bâclé sa fin. Celle-ci donne au court roman une tonalité de farce, je trouve. Mais je l'avoue, bien malin qui aurait pu trouver mieux.
Et le train Challenger poursuit sa route. Prochain arrêt : Au pays des brumes. (tadaaam !)
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Un court roman d'une modernité et d'une actualité confondante, sur la fragilité réelle et l'incommensurable égocentrisme de l'être humain, bourré de remarques très justes, c'est assez troublant de lire ce "vieil" ouvrage justement maintenant (et comme j'ai pas lu le pitch du tout, je ne m'y attendais pas, lol)... Je ne me souviens pas là de suite d'autres romans de l'époque traitant de fin du monde...

C'est désuet et surannée, et il ne faut pas être trop regardant sur le côté réaliste de la chose, mais effectivement cela fait son charme. le huis-clos est assez étouffant et somme toute bien rendu.

C'est toujours bien écrit, les personnages sont égaux (et un peu plus par moments, mdr !) à eux-mêmes, et c'est agréable à lire, sans être transcendant, hormis sur la justesse des remarques sur notre humano-centrisme débile.


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Les Editions RBA nous offrent aujourd'hui une merveilleuse version d''un livre beaucoup moins connu de Sir Arthur Conan Doyle, sur les aventures du professeur Challenger sous le titre : le Professeur Challenger et la Ceinture Empoisonnée.
Les aventures du Porfesseur d'un Monde perdu, constitué de 4 nouvelles seulemennts, ( La ceinture Empoisonnée, Quand la Terre Hurla, La Machine à disénitgrer et Au pays des Brumes, psentées dans le recueil dans cette ordre) est le produit de 4 traducteurs (Louis Labat, Alexis, Rey, Bernard Tourville et André Algaron), et d'illustyrateurs (Martin von Maële pour la coouverture, Will Foster et Louis Bailly pour les magnifiques illustrations intérieures noir et blanc.
La couverture est particulièrement remarquable, trois médaillons en couleurs finement déssinés sont entourés de fines dorrures et d'un fond bleu gris foncé très légrement réhaussé d'une légère impression gris foncée... donc encore une présentation très remarquable, avec des feuilles légèrement jaunis pour un effet vintage totale.... Oui la présentation est magnifique...
Et dès la première nouvelle, la deuxième aventure du Professeur Chalenger... on entre dans les disputes de scientifiques, surlaquelle un journaliste profane donne son avis... Magnifique, car oui, nous entrons, sous prétexte de fantatisque dans la réalité du monde scientifique... A noté que ce n'est pas par hasard... Car Si Arthur Conan DOyle, médecin de formation, était aussi un adepte de spiritisme.... p 13 du livre Autopsie des Fantômes de Philippe Charlier: L'histoire est racontée par Mrs Fox, la mère des enfants, à l'écrivain Sir Arthur Conan Doyle, père de Sherlock Holmes et féru de spiritisme ( livre du Dr Charlier qui traite de la problématique des fantômes entant que phénomène culturel historique du XIX, comme histoire de quelques escroqueries, ainsi que comme observation scientifiques des tromperies, sans jamais se positionner sur la difficulté de la preuve de leur existance.)
Et là A travers une possible fin du monde, dès la première nouvelle, l'auteur nous dresse un portrait fidèle des poblèmes de la science ( ses disputes, ses limites, la folie du scientifique, les théories qui changent à travers les âges, les noms des découvertes, les poisons naturelles...), et en cette crise du COVID ou la vie en Russie des éleveurs de rênnes, ainsi que le relaguage possible de virus et de CO2 par le dégel du permafrost, au moins cette première nouvelle, très accès sur la philosophie de la mort, est interressante... et l'on philosophe sur la mort sans être effrayant... COnan DOyle a sue prendre le ton pour être optimiste et ne pas tomber dans le thriller sensassionnel... VOus être pris par le récit, oucunement préocupé par la fin... qui pourrait bien être sordite, l'histoire ici, n'a rien de luguble ni d'effrayant... et pourtant, il s'agit de fin du monde... mais sous son aspect phylosophique....
Bien sûr, je ne le recomanderai pas à des collégiens, car le récit phylosophique n'est pas tellement dans l'action... il serait bon de ne le recommanderr qu'à des lycéens, pas avant qui vont commencer à chercher du ryhtme dans les mots, dans les discutions, et pas seulement dans l'action comme le fera un adolescent plus jeune... mais pour quelqu'un qui veut lire des histoires philosophiiques sur fond de science, même s'il ne s'attache pas au sens des mots, quel livre,... qui malheureusement n'a pas fait de l'écrivain ce qu'il méritait en son temps... C'est le moment de réparerr l'injustice.... Qui a fait qu'un jour il a fait mourir provisoirement Sherlcok Holmes... et en lisant cela, oon commence à comprendre pourquoi... les merveilleuses histoires de Sherlock Holmes n'était pas tout ce que Sir Arthur Conan Doyle avait à nous offrir, désireux de parler d'histoire, de limite de la science (après en avoir montrer les prodiges avec son déteective.... ) ALors merci aux Editions RBA de faire vivre nos marchands de journaux, (et pas seulement en jouant sur leur excusion de la vente, RBA semble avoir trouvé un compromis laissant le choix à l'accheteur : proximité ou vente par correspondance... merci...) Et sans doute que je vais du coup lire UN monde Perdu.... car vraiment cela me tente.... Et vous?
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C'est un roman de science-fiction catastrophe du créateur de Scherlock Holmes. On retrouve les personnages du Monde Perdu, le Professeur Challenger, scientifique excentrique, Malone, le jeune journaliste et narrateur de l'histoire, Lord John, chasseur aventurier, et le professeur Summerlee, scientifique acariâtre, contradicteur du Professeur Challenger. Une catastrophe spatiale risque de rayer l'humanité de la surface de la terre. On est dans l'esprit du roman d'anticipation de l'époque, avec des personnages caricaturaux, des situation un peu rocambolesques, une ambiance fin XIXe siècle avec les rapports sociaux qui vont avec, une rigueur scientifique qui tombe dans le ridicule quand on la confronte aux connaissances actuelles. C'est vite lu, donc on a pas le temps de s'ennuyer, mais cela reste un roman assez anecdotique, un peu vieillot, un roman d'aventures qui s'est transformé en simple curiosité littéraire avec le temps, à mettre dans les étagères à coté du voyage autour de la Lune de Jules Vernes.
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Relu dans le cadre d'une Masse critique, , La Ceinture empoisonnée, date de 1913 et met en scène les personnages du Monde perdu publié l'année précédente. On retrouve le journaliste et narrateur Ed Malone, l'aristocrate aventurier Lord John Roxton, le professeur George Edward Challenger et Madame ainsi que son adversaire, contradicteur et néanmoins ami le professeur Summerlee. Il ne faut pas oublier le contexte historique : la Grande-Bretagne croit alors dominer le monde et cela se retrouve dans le personnage principal. le texte est misogyne - Madame Challenger est une épouse dévouée à son "génie" de mari au-delà de toute raison-, raciste (les peuples du Sud résistent moins au fléau que ceux du Nord), les classes de la société sont bien établies - Challenger est prêt à laisser mourir son personnel qui le sert fidèlement depuis10 ans mais veut sauver ses compagnons d'aventure ... en cela il est le reflet de son époque et de ses normes sociales : Conan Doyle n'aurait sans doute pas publié le même livre après la Grande Guerre dont le système de classes est ressorti fracassé, où les femmes ont commencé à s'affirmer et où les peuples des colonies ont sauvé la mise à leurs métropoles. Ceci dit, le début est amusant : Challenger convoque ses compagnons et les somme d'amener une bouteille d'oxygène après avoir annoncé la fin du monde dans le Times. Summerlee, très sérieux, démontre à ses compagnons pendant le trajet en train son absence de talent à imiter les cris d'animaux, Challenger se cache sous la table pour mordre le mollet de sa bonne. Bref, le monde devient fou. Les quatre amis et Mme Challenger se calfeutrent et attendent la fin du monde qui leur parvient par l'éther, le fameux éther que les amateurs de steampunk connaissent bien désormais et dont on ignore de quoi il s'agit. L'attente est bien menée, les dialogues sont intéressants même si tout est fait pour mettre en valeur l'esprit supérieur de Challenger sur ses compagnons et principalement sur son principal contradicteur Summerlee. Les arguments du professeur Challenger ne tiennent guère la route et sont péremptoires mais ce n'est pas grave : le lecteur est là pour l'admirer. Personnellement, j'ai préféré les positions de Summerlee quand bien même elles sont tournées en ridicule. le passage sur l'amibe survivante m'a un peu laissée perplexe puis j'ai trouvé que cette réflexion de Conan Doyle était étonnamment moderne : l'humain peut disparaître de la Terre et la vie peut continuer quand même... Un court roman intéressant qui m'a beaucoup plu.
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Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
Les aventures du professeur Challenger comprennent cinq récits de longueur inégale : "le monde perdu", "la ceinture empoisonnée", "au pays des brumes", "la machine à désintégrer" et "quand la terre hurla".
Écrits et publié entre 1911 et 1928, ils constituent un ensemble dont l'intérêt romanesque n'a pas vieilli.
La grande chaleur de Conan Doyle règne ici : il crée des personnages solidement ancrés dans la terre de la fiction britannique, qu'il a lui-même contribué à fertiliser.
Ses personnages : Challenger, Malone, lord Roxton, le professeur Summerlee forment un quatuor aussi réussi, accordé que celui des trois mousquetaires ; on l' a dit souvent : il y a chez Conan Doyle un certain accent de vie entraînante, de santé physique qui répond à un ton de Dumas.....
(extrait de la préface du volume paru, en 1968, aux édition "Rencontre" de Lausanne)
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Oui, décidement, l'ignorance et la crédulité du profane dépaassent toute mesure. Conçoit-on que, par un terriiant privilège, l'éther de Sumatra insensibiliserait toute une population à la même heure où notre éther, à nous n'aurait, sur aucun de nous aucune influence ? Pesonnellement j'affirme que, de ma vie entière, je ne me sentis plus vigoureux de corps et mieux équilibré d'esprit. [note de Pégase Shiatsu : erreur de se personnage qui ne s'appuit que sur son cas particulier : limite de la science.]
- Possible, je ne me pique pas d'être savant, réépliquai-je, bien que je me sois laissé dire qu'en matière de science la vérité d'une génértion est d'ordinaire le mensonge de la suivante. Mais il suffit d'un peu de sens commun pour comprendre l'ether, dont nous ne savons apparemment pesque rien, peut dans diverse partie du monde être affecté par certaines conditions locales, et qu'il pourrait donc produire là-bas des effets qui ne se manifesteraient chez nous que plus tard. [note de Pégase Shiatsu : COnan Doyle, esprit pragmatique par sa formation, notemment par le Dr Bell, médecin crimilogue, vous parle de l'ouverture d'esprit qu'à parrfois le profane, même s'il n'a pas la méthode, face à un homme scientifique qui ne s'occupe que des lois parfaitement établi par habitude : d'habitude cela ne ce passe pas comme cela. Conan Doyle va vous parler de la science de façon pragmatique, alors que Lewis Caroll avec son Alice au pays des merveilles, vous mettra en image des notions abstraites, pas forcemment accessible au non scientifique. Là Conan Doyle nous parle par exemple de certaine chose bien connu pourtant venu pendant ou après ses romans : Eistein qui trouve une faille dans certains cas de la théorie de Newton pourtant bien établi, ou dans son fauteuil d'handicapé, un Stephen Haukins qui trouuve des singularités, des lois sur le trajet de la lumière déformé à l'intérieur des trous noirs... et donc le profane admet parfois bien plus de chose que le scientifique : c'est le cas en se moment dans les médecines naturelles, bien que comme le démontre Spinoza, il faut faire la part entre l'imagination trompeuse, parfois appelé créativité, et la véritable intuition génératrice d'un Euréca d'Archimède. Oui COnan Doyle sait parler de la science et de ses limites.]
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Le langage scientifique m’apparaît impropre à communiquer mes vues à un public dont l’intelligence est suffisamment indigente pour tirer sa pâture d’articles de journaux. Je m’efforcerai donc de me placer à sa portée réduite et d’user, pour m’expliquer, d’un raisonnement par analogie qui ne dépassera pas les capacités intellectuelles de vos lecteurs
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"Nous emergeons d'un épreuve salutaire mais terrible. Nos esprits sont encore stupéfaits de sa soudaineté, mais nos coeurs se sont adoucis en mesurant nos limites et nos infirmités. Cela, le monde l'a payé d'un prix épouvantable. Nous ne connaissons encore qu'imparfaitement l'étendue du désastre (...).
Mais nous laisserons de côté aujourd'hui les considérations relatives aux dommages matériels, pourtant si importants en vies et en biens. Ce qui ne doit pas être oublié, par contre, ce qui doit constamment obséder notre imagination, c'est la révélation des possibilités de l'Univers, et la démonstration que l'étroit sentier sur lequel est engagée notre existence physique côtoie des abîmes insondables. A la base de notre émotion actuelle, la gravité se mêle à l 'humilité. Puissent elles toutes deux servir de fondations au temple plus digne que construira, nous l'espérons, une race mieux informée et que le respect inspirera davantage. "
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- D'où vient que personne ne reserait ? dis-je.
- De ce que nul autre que moi n'accepterait tous ces caprices. C'est un homme très inntelligent, le patron, si intelligeent qu'il en est parfois timbré. Pas d'ereur, je l'ai vu perdre la tramontane. Savez vous ce qu'il a fait ce matin ?
-Qu'a-t-il fait?"
Austin se rapprocha, et d'une vois rauque :
"Il a mordu la gouvernante !
[note de Pégase Shiatsu : Conan Doyle en tant que médecin nous parle de la folie du scientifique, tès clairement expliquée dans un film : Un Homme d'Exception ( a Beautiful mind), alors que Einstein va passer pour un excentrique, mais fea une expérience comme guider un navire sans la vision au sensasion de l'air, ce qui reste compéhensible, certains grands savants peuvent être perdu entre non reconnaissance de leur travaux, et idées justes mais abstraites très poussé, alors qu'n handicapé comme Haukins, tous les jours confronté à la éalité matérriel, physique de son handicap, bien que théoricient, sera beaucoup moins affecté par le phénom^ène. Description de quelque chose de très réel à travers un romain, sur un ton amusé.]
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