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Jack McEvoy tome 1 sur 3

Jean Esch (Traducteur)
EAN : 9782020345675
541 pages
Seuil (09/06/2004)
  Existe en édition audio
4.14/5   3937 notes
Résumé :
Le policier Sean McEvoy est retrouvé mort dans sa voiture. Chargé d'une affaire de meurtre abominable, son enquête n'avançait pas. Lorsqu'il apprend le suicide de son frère, Jack, son jumeau, journaliste de faits divers, refuse d'y croire. En cherchant à comprendre, il découvre d'autres cas de policiers apparemment poussés au suicide par des meurtres non résolus. Tous ont été retrouvés avec, à leur côté, des lettres d'adieu composées d'extraits de poèmes d'Edgar Poe... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (335) Voir plus Ajouter une critique
4,14

sur 3937 notes
Son frère jumeau retrouvé mort dans sa voiture, Jack ne croit pas une seconde à la thèse du suicide. Journaliste méticuleux, il est bien décidé à prouver le contraire à ces têtus du FBI. Moi qui croyait que sans Bosch ou Mc Caleb, ce poète serait tout au plus un polar convenable, j'en suis pour mes frais. Car Connelly nous concocte un bouquin diablement malin, avec une intrigue solide qui vous tiens en haleine (de vers, poésie oblige) jusqu'au final haletant. Rebondissement, mensonges, secrets sordides, le natif de L.A. nous dose ça savamment et nous offre un cocktail sacrément explosif. Rien de tel pour passer un très bon moment que de retourner de tant à autre vers les maitres du genre. Connelly en fait indiscutablement parti.
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Il semble que je sois entré dans une période polars/thrillers, en tout cas je me rends compte qu'ils sont très présents dans mes lectures depuis six mois.
Conséquence logique, je découvre des auteurs et je déniche pas mal de titres dont certains "cultes", c'est a priori le cas du "Poète" que j'ai été ravi de lire.
Pour commencer j'ai adoré le style de Michael Connelly, sa belle écriture et un rythme parfaitement dosé, parfaitement adapté à cette histoire au contexte travaillé.
Côté intrigue, l'auteur va nous régaler, difficile de faire plus complexe que cette histoire à tiroirs qui ne laisse rien au hasard. Pourtant ce qui m'a le plus impressionné ici c'est le contexte, à savoir cette incursion dans le monde de la police américaine et du FBI, mais aussi cette découverte du journalisme à sensation made in USA.
L'action est commentée à la première personne par Jack McEvoy, journaliste de métier et particulièrement impliqué puisqu'il enquête sur la mort de son frère, et le roman selon moi doit beaucoup à la psychologie et aux états d'âme de Jack, un personnage particulièrement travaillé avec ses qualités et défauts.
J'ai été impressionné, cette intrigue c'est du lourd, du très lourd même, l'auteur a été journaliste et il va ici nous donner quelques ficelles sur ce métier ainsi que sur la mentalité de la corporation, intéressant et instructif.
Intéressant également le fait d'évoluer au coeur du dispositif du FBI, oui vraiment le contexte est captivant. Pour tout dire j'ai tellement apprécié que j'avais du mal à lâcher ce petit pavé et son intrigue tordue et pourtant, pourtant...
Le mieux est l'ennemi du bien, je pense que pour être totalement fan, il faudra passer sur certaines invraisemblances, mon sentiment est que l'auteur en a fait un peu trop, trop de rebondissements, trop de situations peu crédibles et trop de fausses pistes aussi, jusqu'à cette fin un peu... too much.
Cela dit l'ensemble est très bon et je comprends sans peine le succès rencontré et la récompense obtenue par ce titre, je reste cependant persuadé que quelques scènes étaient de trop.
C'est pour ce qui me concerne un paradoxe, celui d'avoir aimé un livre avec des défauts que je ne pardonne pas d'habitude, j'ai vu le verre à moitié plein car j'ai vraiment pris du plaisir à cette lecture.
Quand Sean McEvoy est retrouvé mort dans sa voiture, Jack, son frère jumeau, journaliste de faits divers, refuse de croire à la thèse du suicide. Il commence à enquêter et ne va pas tarder à trouver quelques indices troublants...
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Ayant décidé de lire les romans de Michael Connelly par ordre chronologique de parution, il me faut bien de temps en temps faire des infidélités à Harry Bosch, comme c'est le cas avec "Le poète", dans lequel nous rencontrons Jack McEvoy pour la première fois.

Jack est journaliste, spécialiste des affaires criminelles. Quand il y a meurtre dans le coin, l'article est pour sa poire, il est donc plus ou moins "habitué" à côtoyer la mort de près. Mais quand il s'agit de celle de son frère jumeau, flic à la Criminelle, ce n'est clairement pas la même chose... D'autant qu'il y croyait à la thèse du suicide au départ. Mais c'est en faisant des recherches sur les suicides des flics justement, dans le but d'en publier un article, qu'il a compris que son frère avait été assassiné...

De là démarre son enquête, en solo pour commencer, puis en tant que collaborateur du FBI ensuite. Tout commence à Denver dans le Colorado pour mieux se terminer à Los Angeles, là où l'auteur a déjà bien pris ses marques. Mais le voyage ne se fera pas en un jour, certaines étapes sont nécessaires : Chicago, Quantico et Phoenix notamment. On suit à la trace un serial killer, dont le profil est difficile à établir. Tantôt pédophile et tueur d'enfants, tantôt tueur de flics, tantôt poète féru des écrits d'Edgar Allan Poe, les Grands du FBI ont un peu de mal avec la (psycho)pathalogie de ce monstre.

Ainsi, nous suivons étape par étape cette enquête qui nous fait voir du pays, avec en prime quelques chapitres se déroulant du point de vue du tueur. L'auteur, comme à son habitude, s'attarde à tout installer, nous laissant le temps de bien faire connaissance avec son nouveau personnage principal. Je dois reconnaître que j'y ai ressenti quelques longueurs, mais tout finit par s'accélérer, au point d'avoir lu les deux derniers tiers presque d'une traite. Ça commence à devenir de plus en plus intéressant et happant dès lors que le FBI s'en mêle. L'intrigue, que j'ai crue la plupart du temps évidente quant au dénouement qui se profilait petit à petit, est en fait bien plus retorse qu'elle n'y paraît. Les 100 dernières pages regorgent de rebondissements et d'étonnantes révélations. Encore une fois, j'ai été tenue en haleine et je n'ai rien vu venir.

Et si j'ai trouvé le personnage de Jack quelque peu fadasse au départ, j'ai fini par l'apprécier de plus en plus. Jack McEvoy n'est pas une pâle copie de Harry Bosch et de son caractère impétueux. Peut-être m'y attendais-je un peu, ce qui pourrait expliquer pourquoi justement je trouvais Jack un peu fade, mais ça n'a pas duré. Bien plus posé, se contrôlant davantage, sachant s'écraser quand il le faut, Jack n'en est pas moins un personnage que l'on finit par aimer côtoyer, d'autant qu'il trimballe quelques casseroles derrière lui également.

L'intrigue en elle-même nous amène à fréquenter de près des thèmes qui reviennent souvent quand il s'agit de tueurs en série : le profilage, l'étude comportementale, l'élément déclencheur, et ici saucés de journalisme, de petites guéguerres entre flics et agents du FBI (et entre agents également), de réseaux de pédophiles et de suicides de flics. On est dans un thriller noir, cela ne fait aucun doute, mais tout de même très soft. Tout y est bien dépeint et décrit sans que les horreurs ne soient jamais détaillées (notre imagination fait très bien le boulot, pas besoin de plus).

"Le poète" est un roman tel que Michael Connelly m'a habituée : une intrigue qui démarre lentement (un peu trop peut-être), aux nombreux éléments, bien ficelée, au dénouement inattentu, et avec des personnages fouillés qu'on aime à suivre, qu'on les apprécie ou pas du tout. le tout toujours aussi bien écrit et décrit.

Pas déçue pour un sou, c'est à chaque fois pareil quand je termine l'un des romans de Michael Connelly : j'ai envie d'en commencer un autre sur le champ !
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Journaliste de son état et convaincu que son frère jumeau ne s'est pas suicidé comme l'affirme la police, Jack émet des hypothèses rejetées par la police et par son entourage. Doté d'un esprit de déduction peu commun, il parvient à faire reconsidérer le dossier concernant la mort de Sean. Démarre alors une enquête intéressante avec des liens qui se font plus que progressivement. le roman est entrecoupé d'épisodes montrant un personnage inquiétant : Gladden dont je ne vous parlerai pas plus.
Puis le FBI s'en mêle avec tous ses hommes, ses moyens, son matos, et là ! ça commence vraiment ! Action avec tout ce que j'aime : investigation, spécialistes… Notre journaliste vient se poser en témoin oculaire des actions et de l'état d'esprit de « the » police américaine, car faut pas croire, « ya aussi du rififi dans le FBI » !
J'ai beaucoup aimé ce roman, (j'avais honte de ne pas avoir encore lu ce classique, moi qui adore les thrillers ! ) même si j'ai trouvé la première partie longue (quoique nécessaire), la deuxième partie est pleine de rebondissements (jusqu'à la fin !!!) l'histoire est bien écrite, le récit bien mené, le héros est sincère et nous livre de profondes pensées. Un bon thriller que j'ai, comme les autres, terminé à 3 heures du mat (meilleur moment pour apprécier les thrillers).

Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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Félicitée trois fois lors de l'acquisition du poète (par le libraire lui-même et deux amateurs qui se trouvaient là), je frétillais d'aise et mon ego en aurait rougi, le bougre.
Je détenais, semblait-il, l'une de ces oeuvres majeures de la littérature noire qui ne saurait se laisser oublier. Fière de mon choix!

Sauf que, le poète est un thriller. Ce qui signifie une intrigue haletante, des rebondissements qui rebondissent notamment en seconde partie de l'oeuvre, un sérial killer,, etc. Et que le thriller n'est pas un roman policier fût-il truffé de policiers, d'enquêteurs, d'agents du FBI… Un thriller c'est un bon moment de lecture-détente (ou pas) dont il ne reste le plus souvent pas grand chose. Lehane mis à part avec son shutter Island mais Lehane est un écrivain de romans policiers et de romans noirs.

Donc, j'ai lu un thriller. Sans ennui, sans agacement pendant une bonne partie du roman mais risqué-je la lapidation si j'expose ma déception qui est allée croissante? J'anticipe les réactions; j'ai piqué une armure dans un quelconque château médiéval, je m'harnache et me lance. Même si gantelets et clavier informatique ne font pas bon ménage.

La construction classique alterne entre démarrage d''une enquête journalistico-personnelle (le suicidé assassiné est le jumeau d'un journaliste) et apparition d'un vilain pas beau antipathique pédophile. L'enquête journalistique devient enquête fédérale avec son assortiment de flics semblable aux boîtes de chocolats de Noël. Toujours le même assortiment. le chocolat noir costaud amer. La jolie nougatine craquante. le chocolat fourré à la pâte tendre… Allez! Ce n'est pas leur manque d'originalité qui les rend moins savoureux mais les surprises seraient les bienvenues. Et puis dans l'assortiment de chocolats, on a ici une pâte de fruit, laquelle succombera forcément à la nougatine pour une liaison épisodique sous l'oeil malveillant du costaud amer.
Et oui! Jack le journaliste a le béguin pour la ravissante Rachel (forcément ravissante). Et la charmante nougatine avait été mariée avec le chocolat amer. Les relations se tendent dans la boîte enrubannée du FBI.

Bref, tout ce petit monde est sur les dents après avoir découvert (à l'initiative de Jack privé de scoop) qu'un sérial killer oeuvre depuis plusieurs années dans un total anonymat, chacun de ses trucidés ayant été déclaré suicidé.
On épluche les suicides de flics ayant eu le bon goût littéraire de laisser derrière eux une phrase issue de l'oeuvre d'Edgar Allan Poe, après avoir été perturbé par des meurtres pédophiles.
Peu à peu, le vilain pervers photographe livre toute son abjection. le projecteur se braque sur lui. Mais mon mauvais esprit n'est jamais parvenu à accepter l'idée que ce Gladen émoustillé par les fossettes enfantines adorait trucider le policier pendant ses temps de loisirs. Même si, quand même, on ne sait jamais.

Dans tout ce rififi politico-journaliste où chacun voudrait bien tirer la couverture à soi, la psychologie a déserté les lieux. Parfois, elle s'accoude au comptoir, une façon de prouver que dans toute cette action bien construite et bien menée, elle existe un peu. Mais alors un peu. du genre fantomatique. Rien à voir avec Lehane (je crois que je tourne mono-maniaque)
Le traumatisme enfantin de Jack le liant à son jumeau équivaut à un emplâtre sur une jambe de bois. Il n'apporte rien à la psychologie du personnage. Mais il semble désormais qu'une règle existe dans le thriller. Tout héros doit avoir subi un traumatisme enfantin, quelle que soit son utilité dans la trame. Ça garnit.

La psychologie de comptoir, de passage, évoque un vide pour expliquer le doute injustifié de Jack envers celle qu'il aime. Si ce doute avait été lié avec son passé, j'écouterais Tino Rossi en boucle afin de me punir. Mais non, juste un vide. Edmond dirait: "Un vide! C'est un peu court jeune homme!" Imaginons donc un vide existentiel, ne cédons pas au vertige et enjambons.

Enfin, le coupable, sorti du chapeau après deux rebondissements, avait probablement zigouillé la psychologie en même temps qu'une de ses victimes. le coupable est coupable. Il y a t-il un psychiatre dans la salle?
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Citations et extraits (176) Voir plus Ajouter une citation
Il attendit que nous soyons installés dans la voiture pour ouvrir la boîte. Il souleva le couvercle et je découvris tous les objets déjà mentionnés, enveloppés dans des sachets en plastique, ainsi qu'une enveloppe scellée portant la mention : CONFIDENTIEL : RÉSERVÉ AU FBI. Thorson l'ouvrit en la déchirant et en sortit une photo. Un Polaroïd, sans doute pris avec un appareil servant à photographier les détenus. On y voyait le postérieur d'un homme en gros plan, et deux mains écartant les fesses pour offrir une vision bien nette de l'anus. Après l'avoir observée un instant, Thorson la jeta par-dessus son épaule sur la banquette arrière.

— Bizarre, dit-il. Je me demande pourquoi Sweetzer a ajouté une photo de sa mère ?

Je laissai échapper un petit rire et dis :

— C'est assurément le plus bel exemple de coopération policière que j'aie jamais vu.
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- Quant aux violeurs, reprit-elle, leur pathologie ressemble énormément à celle des meurtriers. De très chics types, croyez-moi. Je sentais qu’ils me jaugeaient dès que j’entrais dans la pièce. Je savais qu’ils essayaient de calculer le temps dont ils disposaient avant que le gardien intervienne. Est-ce qu’ils pourraient m’avoir avant l’arrivée des renforts. Très révélateur de leur pathologie. Ils ne pensaient qu’en termes d’aide extérieure. Ils n’envisageaient pas que je puisse me défendre seule. Sauver ma peau. Pour eux, toutes les femmes étaient uniquement des victimes. Des proies.
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Une chance que personne ne puisse connaitre nos pensées les plus secretes . Nous apparaitrions tels que nous sommes , à savoir des imbeciles manipulateurs et pretentieux .
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La mort, c'est mon truc. C'est grâce à elle que je gagne ma vie. Que je bâtis ma réputation professionnelle. Je la traite avec la passion et la précision d'un entrepreneur de pompes funèbres, grave et compatissant quand je suis en présence des personnes en deuil, artisan habile quand je suis seul avec elle. J'ai toujours pensé que pour s'occuper de la mort, le secret était de la tenir à distance. C'est la règle. Ne jamais la laisser vous souffler dans la figure.
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la vérité qui se cachait derrière une grande partie du journalisme contemporain. Il n’y était plus guère question d’altruisme, de service public et de droit à l’information. C’était devenu une question de concurrence, de rivalité et de publicité : quel journal avait publié l’article en premier, lequel était à la traîne ? Et qui décrocherait le prix Pulitzer à la fin de l’année ? C’était une vision plutôt sombre, mais après toutes ces années dans le métier, mon point de vue avait viré au cynisme.
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Vidéo de Michael Connelly
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