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Harry Bosch tome 1 sur 27

Jean Esch (Traducteur)
EAN : 9782020235259
460 pages
Seuil (01/01/1998)
  Existe en édition audio
3.99/5   1791 notes
Résumé :
Né d'un père inconnu et d'une mère qui se prostituait, l'inspecteur Harry (Hieronimus) Bosch - comme le peintre - voudrait bien oublier la guerre du Vietnam où il nettoyait des galeries souterraines creusées par le Viêt-Cong. Malheureusement pour lui, l'un de ses anciens collègues, Billy Meadows, a été assassiné dans une canalisation d'écoulement des eaux de pluie d'Hollywood. Le meurtre étant lié à une affaire de braquage, il faudra bien que, secondé et manipulé pa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (130) Voir plus Ajouter une critique
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J'avais dit, une fois n'est pas coutume, que je lirai les romans de Michael Connelly par ordre chronologique de parution. Je commence donc par "Les égouts de Los Angeles", premier roman de l'auteur paru en 1992 mais aussi première enquête de Harry Bosch (comme le peintre... ou la machine à laver, au choix).

Les événements se déroulent en Californie, au début des années 1990 (je pense). Un homme est retrouvé mort dans une canalisation. Tout laisse à penser à une overdose. Dépêché sur les lieux, l'inspecteur Harry Bosch va reconnaître cet homme, vétéran de la guerre du Vietnam, « rat de tunnel » comme lui. D'une simple overdose, nous passons à un meurtre, fortement lié à un braquage de banque qui a eu lieu un an plus tôt. Ces premiers indices vont l'amener à devoir collaborer avec le FBI, en la personne d'Eleanor Wish. de fil en aiguille, l'enquête avance, les indices se font de plus en plus significatifs, les révélations de plus en plus étonnantes.

Au meurtre et à l'enquête policière, viennent s'ajouter un braquage de banque donc, des plus original, la filature d'un flic que les Affaires Internes tiennent absolument à faire tomber, des traumatismes et souvenirs de guerre qui refont surface, des secrets et des cachotteries, un besoin de vengeance et de justice.

Nous sommes au temps où les téléphones portables étaient encore inexistants et où l'on croisait des cabines téléphoniques à tous les coins de rue, où les premiers ordinateurs cohabitaient avec les machines à écrire... Pourtant, je n'ai rien trouvé de vieillot dans ce polar foisonnant de détails. J'ai été embarquée dès les premières lignes, grâce à un style d'écriture très dynamique qui prend tout à la fois son temps pour tout installer. L'enquête démarre tout doucement, nous laissant le temps de faire connaissance avec les personnages, avec Bosch tout particulièrement.

L'auteur, en lui octroyant un vécu fouillé, en fait un personnage plein de charisme, humain, énigmatique, avec qui on prend plaisir à suivre son enquête. Enquête qui fourmille de détails, d'indices, de révélations, où tout finit par s'imbriquer petit à petit et qui continue de nous surprendre alors qu'on aurait pu la croire résolue (sachant qu'il restait une petite cinquantaine de pages, je me doutais que ce n'était pas le cas mais je n'avais rien deviné de la suite).

Une intrigue fortement bien menée, une dernière révélation détonante, des personnages travaillés, des lieux et situations toujours bien dépeints, une plume dynamique, méthodique et minutieuse... Quand tous les ingrédients sont bons, le résultat ne peut pas être mauvais, bien au contraire.

Un bon polar qui se dévore en un rien de temps.

Vivement le prochain !
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Pourquoi, mais pourquoi ai-je attendu si longtemps avant d'ouvrir un livre de Michael Connelly, auteur qui m'était pourtant vanté depuis des années par un ami, grand fan de l'auteur ?
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Eh bien c'est simple, j'ai zieuté, vu que c'était du polar et le polar, je ne m'y frotte que très rarement, le plus souvent par inadvertance. Puis, il y a peu de temps, une amie a lu le 4e roman ayant pour héros Harry Bosch et ne l'a pas aimé, à mon grand étonnement.
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J'ai donc voulu en avoir le coeur net et je me suis précipitée sur Les égouts de Los Angeles, premier opus de la série Harry Bosch, pour me faire mon propre avis. Ce qui confirme bien à ceux qui en doutent encore qu'un avis négatif n'empêche personne de lire un bouquin.
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J'y allais un peu timidement, sur la pointe des cils, et je dois avouer que j'ai été happée dès le début par le récit. Narration de très haut niveau, d'aucuns diraient même "le must". personnages parfaitement décrits, le souci du détail est important pour moi, du suspense à revendre, des rebondissements multiples.
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Cet inspecteur Harry Bosch m'est extrêmement sympathique, son collègue agent immobilier à ses heures perdues aussi, je me suis attachée à certains protagonistes, j'en ai moins aimé d'autres... aucun ne m'a laissée indifférente.
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Alors je ne vais pas relater l'histoire, c'est sans intérêt, la 4e et des dizaines d'autres lecteurs l'ont fait avant mon passage.
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Je dirai juste que j'ai passé un moment formidable et que si vous aimez les belles plumes, que vous appréciiez les romans policiers ou pas, ce livre a tout pour vous séduire.
Je n'ai qu'une hâte, me jeter sur le suivant.
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Le premier pour Connelly... le 16ème pour moi.
Le hasard à fait qu'il m'aura donc fallut tout ce temps pour découvrir les débuts de ce cher Harry Bosch.
J'ai lu ce livre façon "flashback"...
Je connaissais donc parfaitement le personnage principal, mais là, j'ai découvert une partie de son passé, ce qui a fait de lui le policier que l'on retrouve avec plaisir dans les romans suivants de l'auteur.
Ces démons, ces histoires qui le hantent. D'où lui viennent certains sentiments, et certains... ressentiments.
En enquêtant sur la mort, qui pourrait être celle, banale, d'un junkie, vétéran du Vietnam qu'à côtoyé, durant ce conflit, le soldat Bosch. Harry met les pieds dans le plat... et dans l'engrenage.
Obligé de faire équipe avec le FBI, en la personne de la belle Eléanor Wish, notre policier est, de plus placé sous la surveillance des Affaires Internes.
Bien sûr il ne s'en laisse pas compté et ira jusqu'au bout pour faire apparaitre la vérité, et ce, quoi qu'il lui en coute...
Une première enquête menée tambour battant, sans temps mort.
Quand un écrivain débute par un tel roman, comment ne pouvait-il pas rencontrer le succès qu'on lui connait.
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Un gosse, un soir non loin de la Hollywood drive à L.A.. Alors qu'il s'évertue à taguer une vieille canalisation abandonnée, il est dérangé par des hommes qui viennent y cacher un cadavre.

Prévenu, Harry Bosch, inspecteur au LAPD (Los Angeles Police Department), est rapidement convaincu qu'il ne peut s'agir que d'un meurtre, pas d'une overdose comme on voudrait le faire croire.

D'autant que ce cadavre, cet homme, William Joseph Meadows, il le connait. Un ancien de Saïgon, un ancien "rat", comme lui, qui pénétrait dans les tunnels vietminh pour y dénicher l'ennemi.

De fil en aiguille, son enquête va le mener à s'interroger sur le cambriolage d'une banque, opéré quelques mois plus tôt et dont le mode opératoire est bien particulier : des galeries creusées à partir des égouts et quelques coffres ouverts pour un butin assez maigre en apparence.

D'abord débarqué de cette affaire par le FBI qui s'est déjà intéressé à Meadows dans le cadre du cambriolage, Bosch intégrera finalement une de leurs équipes pour mener cette enquête avec l'agent Eleanor Wish tout en essayant de comprendre à quel point il est manipulé et en tentant de se débarrasser des deux agents des Affaires Internes qui ont juré d'accrocher son insigne à leur palmarès.

A mon avis :
Premier de la série des Harry Bosch écrit par Michael Connelly, Les égouts de Los Angeles est déjà dans le ton des suivants et notamment du Cadavre dans la Rolls évoqué il y a quelques semaines dans mon blog.

Autant dire que le ressenti sur cette lecture se rapproche fortement de ce que j'avais pu écrire à l'époque : un bon polar, à l'ancienne, lissé, qui nous installe dans un fauteuil, sur des rails... à la différence près qu'il n'y a plus l'effet de la découverte.

Ainsi, même s'il s'agit d'un polar de grande qualité, qui se lit très bien et qui reste très intéressant, on ressent ce décalage lié à son ancienneté et à la plume parfaite mais légèrement désuète du Connelly des début, qui fera sans doute le bonheur des nostalgiques du genre.

Comme on regarderait un film policier à la Bogart, on entre dans ce livre en costard cravate et on en ressort avec le brushing toujours impeccable.

On y trouvera des rebondissements et de l'action, mais on n'est pas remué de l'intérieur, on reste à la surface (pour visiter les égouts c'est embêtant quand même...).

Bref, je m'en tiendrai à cette impression déjà expliquée pour le Cadavre dans la Rolls, celle d'un polar bien écrit et facile à appréhender, mais qui manque un peu de punch au regard des polars d'aujourd'hui.

A conseiller aux nostalgiques donc...

Retrouvez d'autres avis sur d'autres lectures sur mon blog :
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Les égouts de Los Angeles... Ou le premier de la série Harry Bosch...
- Comme les perceuses ?
- Nan ! Comme le peintre flamand du XV eme siècle.. Hieronymus de son prénom... même si lui est un flic de Los Angeles...
- Heu ok...

Pitch :
Il fait déjà chaud !... la ville bourdonne déjà d'activité.. Son partenaire est entrain de vendre des baraques dans la Valley... Et lui il est là, là devant l'ouverture de cette immense canalisation... il la regarde comme une gueule béante prête à l'engloutir... qui va l'engloutir d'ailleurs... et il a un frisson froid, malgré la chaleur... il va devoir s'enfoncer dans cette gueule... parce que dedans, là plus loin dans la pénombre puante il en est certain... et bien il y a un cadavre... On les a prévenu cette nuit, un appel anonyme... et il doit aller faire son job, c'est comme ça.. faire son job même si cette situation lui en rappelle des pires...
ça pue bien comme il l'avait prévu, et y a bien un cadavre comme on les avait prévenu.. sans doute un toxico qui s'est enfilé sa dernières dose... Rip...
par contre.... Merde... il lui dit vaguement un truc ce type mort... il l'a déjà vu, mais où ?
Et puis la lumière, le souvenir... Si, il le connaissait, même si ça date d'une autre vie....

Bon bon bon...
D'abord je dois dire que c'est une relecture... j'ai eu envie de relire les Bosch, parce que y a pas longtemps je me suis faite toutes les saisons de la série télévisée ( très bonne adaptation en passant, ouais j'ai bien aimé).. Donc ça m'a donné envie de les relire, et puis y a une lectrice de Babélio qui est entrain de les lire dans l'ordre.. Ce que je n'ai jamais fait.. tient oui pourquoi pas ?

Alors je vais faire dans l'ordre de parution hein, pas dans l'ordre chronologique narratif, parce que là ça serait un peu le bordel, si faut dire ce qu'y est... Oui parce que l'ordre de parution, n'est pas du tout l'ordre chronologique narratif..

Connelly reviendra sur certaines des enquêtes passées de Mister Bosch, genre le Dollmaker. Là dans ce premier tome on t'en parle déjà, comme l'enquête qui a foutu Bosh dans la mouise et la raison pourquoi il se retrouve au commissariat d'Hollywood, qui est pire que tout, sorte de cloaque infect.
Alors que finalement le tome qui parlera vraiment de cette enquête c'est le 3 ( si mes souvenirs sont bons) La Blonde En Béton... donc non, je vais rester avec l'ordre chronologique de parution c'est plus simple...

Question souvenirs de lecture j'en avais pas tant que ça ( mais on peut dire que ça date d'une autre vie).. et vu que la série on est dans l'adaptation ( à prendre au sens large, en gros le côté de très loin avec des jumelles et au fond du brouillard même si c'est Connelly qui est au scenar.. une remise au goût du jour, de l'époque technologiquement, et une avancé dans le temps au niveau des événement... le côté cure de jouvence..^^).

C'était vraiment pas désagréable, l'ambiance de L.A est vraiment bien rendue, après je peux quand même bien avouer que l'histoire en elle même est pas super transcendante, même si c'est net, carré et que ça se tient... m'enfin c'est le premier roman de Connelly ( avant il était journaliste au L.A Times, rubrique judiciaire) donc soyons un peu indulgent, y a plus de bon que de mauvais dans ce premier roman policier, y a du potentiel...

Donc je vais enchaîner avec la Glace Noire, on verra si le potentiel est au rendez-vous … franchement sans doute vu que je les ai pratiquement tous dans ma bibliothèque, et même en V.O excusez du peu ^^
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Citations et extraits (71) Voir plus Ajouter une citation
avant d’ouvrir l’album. Des tas de photos y étaient coincées entre les pages. Il avait souvent eu l’intention de les coller, mais ne l’avait jamais fait. A vrai dire, il ouvrait rarement cet album. Les pages en avaient jauni, jusqu’à devenu marron sur les bords. Elles étaient friables, à l’image des souvenirs qu’évoquaient les clichés. Il prit les photos l’une après l’autre, les regarda et comprit soudain que s’il ne les avait jamais collées dans l’album, c’était parce qu’il aimait les tenir entre ses doigts, les sentir.
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Dans ses enquêtes, Bosch avait toujours le sentiment que les informations s’accumulaient lentement, comme un filet de sable qui s’écoule par le bec étroit d’un sablier. Au bout d’un moment, il y avait davantage de renseignements au fond du sablier et le sable qui se trouvait dans la partie supérieure semblait couler plus rapidement, pour enfin se précipiter par l’ouverture.
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Hiéronymus Bosch...La seule chose que vous a donné votre mère, c'est le nom d'un peintre mort il y a cinq cent ans. Mais j'imagine que tout ce que vous avez vu dans votre vie ferait ressembler les étranges visions qu'il peignait à un décor de Disneyland. Votre mère était seule. Elle a du vous abandonner. Vous avez grandi dans des familles adoptives, des foyers de jeune. Vous avez survécu, vous avez survécu au Vietnam, et vous avez survécu à la police. Jusqu'à maintenant du moins. Mais vous êtes un franc tireur qui fait un travail d'équipe. Vous avez réussi à entrer dans la brigades des cambriolages et homicides et à vous occuper des grosses affaires, mais vous êtes toujours resté un franc-tireur. Vous agissiez à votre guise, et ils ont fini par le vous le faire payer.
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Mais soudain, il s’arrêta... en entendant un bruit de moteur par-dessus le sifflement de sa bombe aérosol. Regardant autour de lui, il ne vit aucune lumière, à l’exception du reflet blanc argenté de la lune sur le réservoir et de la faible lueur de l’ampoule brillant au-dessus de l’entrée de la station de pompage, au milieu du barrage.
Mais impossible de se méprendre sur le bruit. Un véhicule approchait. On aurait dit un camion. L’adolescent crut entendre le crissement des pneus sur la route de gravier qui contournait le réservoir. L’engin se rapprochait. Que venait-on faire par ici à 3 heures du matin ? Le garçon se releva, lança la bombe aérosol par-dessus le grillage, en direction de l’eau, et l’entendit retomber dans les buissons avec un bruit sourd, trop court. Sortant la chaussette de sa poche, il décida de sniffer un petit coup vite fait, pour se donner du courage. Le nez plongé dans la chaussette, il aspira profondément les vapeurs de peinture. Il vacilla, ses paupières tremblèrent, il balança la chaussette par-dessus la grille.
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Le psychologue du département y déclarait : « À travers son expérience de la guerre et de la police, cela incluant bien évidemment le coup de feu susmentionné aboutissant à un accident mortel, le sujet a atteint un fort degré d’insensibilité à la violence. Pour lui, la violence et ses différents aspects ne sont qu’une composante acceptée de sa vie de tous les jours, de toute sa vie. Par conséquent, il est peu probable que l’événement précité puisse agir comme une force de dissuasion psychologique dans des circonstances où il devrait avoir recours à la manière forte pour se protéger et protéger les autres. Je pense qu’il sera en mesure de réagir immédiatement. Il sera capable de presser sur la détente. En fait, son comportement ne révèle aucune séquelle consécutive à cet incident, à moins de juger inopportun le sentiment de satisfaction que lui inspire son geste, à savoir la mort du suspect. »
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