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Critique de bilodoh
Un mauvais adieu? Serait-ce le Xième adieu de Harry Bosch à la police?
Mais non, il a encore repris du service. Il travaille bénévolement pour la police d'une petite ville de la région. (Les policiers n'y sont sûrement pas syndiqués!…)
Un polar avec le suspens habituel à Connely, un véritable « page-turner ». En plus des éternels questionnements de Bosch sur son travail, on assiste ici à une double intrigue : d'une part la succession d'un richissime vieillard et d'autre part, une affaire de violeur en série.
Cela n'empêche pas l'auteur de toucher quelques sujets sensibles. Si les questions d'héritage sont des problèmes qu'on retrouve partout, d'autres thèmes sont plus spécifiques aux Américains : la guerre au Vietnam dont Bosch porte encore les cicatrices ainsi que l'intégration des « latinos » avec même la mention du « mur » qui ne pourra pas empêcher l'immigration.
Un polar californien qui tient ses promesses, les amateurs de Bosch seront ravis!
Un polar avec le suspens habituel à Connely, un véritable « page-turner ». En plus des éternels questionnements de Bosch sur son travail, on assiste ici à une double intrigue : d'une part la succession d'un richissime vieillard et d'autre part, une affaire de violeur en série.
Cela n'empêche pas l'auteur de toucher quelques sujets sensibles. Si les questions d'héritage sont des problèmes qu'on retrouve partout, d'autres thèmes sont plus spécifiques aux Américains : la guerre au Vietnam dont Bosch porte encore les cicatrices ainsi que l'intégration des « latinos » avec même la mention du « mur » qui ne pourra pas empêcher l'immigration.
Un polar californien qui tient ses promesses, les amateurs de Bosch seront ravis!
