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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Quand le vieux Harry rencontre le jeune Harry.... sali par des soupçons de falsification de preuve ayant envoyé un violeur et tueur en série croupir dans le couloir de la mort depuis trente ans ( déroutante justice américaine!), notre célèbre inspecteur Harry Bosch va tout faire pour prouver son intégrité
Au même moment , un double assassinat sauvage se produit dans une pharmacie d'une rue morgue de San Bernadino où notre vieux flic travaille bénévolement.

excellent opus de Connelly où action , lutte contre l'âge qui nous ronge , ravages de la drogue côtoient le cynisme d'un pouvoir corrompu

Mais ce n'est que mon humble avis

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Ayant eu récemment l'occasion de voir toutes les saisons de la série télé Bosch, je me suis trouvé dans une situation particulière : Une vérité à deux visages est le roman qui a servi de trame à la cinquième saison de cette série.

Du coup, pour la première fois, je me suis trouvé à lire un Connelly dont je connaissais déjà l'intrigue. On y perd évidemment un peu… D'autant que les scénaristes télé sont restés au plus prés du roman, se contentant juste d'ajouter quelques scènes et de répartir différemment les rôles, puisque la série a choisi de conserver d'épisodes en épisodes quelques personnages : la supérieure de Bosch, Grace Billet, le chef Irving, et son binôme Jerry Edgar. Autant de personnages qui ne sont plus présents dans les dernières aventures littéraires de Hyéronimus Bosch.
Il s'agit du vingt-troisième tome de Harry Bosch, et Connelly ayant fait évoluer son personnage avec le temps, le Bosch du roman est beaucoup plus âgé que Titus Welliver dans la série. Bosch est en effet depuis trois ans à la retraite et n'est plus qu'un enquêteur bénévole pour la police de San Fernando. le seul personnage de la série que Connelly ramène dans son récit est Edgar, mais son rôle est bien moindre que dans la série.
Quant à l'avocat au rôle prépondérant dans ce récit, il s'agit bien entendu de son demi-frère Mickey Haller, et pas de maître Chandler…

A défaut de suspense, lire ce polar s'est transformé en jeu des sept erreurs : identifier en quoi la série s'était éloignée du roman, quels rajouts avaient été faits, dans quel ordre le récit était présenté... le constat final est très favorable à la série. D'une part Titus Welliver, quoique très éloigné de l'image que je me faisais de Bosch à la lecture des livres, est remarquable dans ce rôle. D'autre part, les scénaristes ont su garder ce qui fait l'originalité des romans : une grande précision dans les rouages de la police et la justice américaine, héritée du passé de chroniqueur judiciaire de Connelly.

Mais quel est le sujet du roman me direz-vous ? Réponse : une double enquête, sur des meurtres dans une pharmacie qui vont mener Bosch à s'intéresser à un trafic de médicaments utilisés par des drogués, et la réouverture d'un vieille enquête de l'inspecteur, de nouvelles preuves venant invalider la condamnation obtenue contre un tueur violeur en série. Bosch se serait-il trompé ? Aurait-il trafiqué des preuves ?

Sur ce second sujet, les scénaristes ont su faire preuve d'imagination pour complexifier un peu plus l'intrigue. Reste un bon roman, bien mené, très bien écrit, addictif (comme toujours). Une vérité à deux visages est un bon Bosch. Régalez-vous à le lire, si vous êtes amateurs de polars bien construits.
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Je n'avais plus lu d'aventure d'Harry Bosch depuis longtemps et j'ai retrouvé avec plaisir l'inspecteur, retraité depuis trois ans et travaillant dans la petite ville de San Fernando comme enquêteur bénévole. Il s'occupe des cold cases, mais comme la brigade est petite et qu'un double meurtre vient de se produire dans une pharmacie de la ville, il participe à l'enquête. Deux pharmaciens, père et fils, ont été tués dans leur boutique, dans ce qui ressemble à une exécution en règle. Harry pense que le fils est lié à un gang, mais c'est finalement le père qui participait à un trafic d'opiacés, ce que le fils a dénoncé aux autorités, s'attirant les foudres des trafiquants russes très organisés. Dans le même temps, Harry est averti qu'un détenu dans le couloir de la mort depuis trente ans prétend que les preuves contre lui ont été falsifiées à l'époque et qu'une enquête est rouverte. Harry est sûr de n'avoir commis aucune erreur et surtout de son honnêteté ainsi que celle de son coéquipier de l'époque. Avec l'aide de son demi-frère Mickey Haller, il saura dévoiler le complot qui se cache derrière ces accusations, tout en démantelant un juteux trafic de médicaments.

J'ai beaucoup apprécié ce polar très efficace, où l'action ne s'arrête jamais. Les personnages sont très réussis et l'intrigue est tout à fait vraisemblable., même si la justice américaine n'a rien à voir avec la nôtre. La crise des opiacés est une réalité dans ce pays et la méthode est bien expliquée. Les magouilles de l'avocat ne sont pas tristes non plus, il est prêt à faire n'importe quoi pour réussir et utilise des méthodes discutables quoique efficaces. Un excellent polar qui nous montre aussi l'envers du rêve américain et de la réussite made in Hollywood, un sujet courant dans la littérature noire, mais toujours aussi intéressant. Il y a même plusieurs piques contre Trump accusé d'être un menteur, ce qu'on ne contredira pas.

Un grand merci à Netgalley et Calman-Lévy pour ce très bon moment passé avec ce vieil Harry.

#UneVéritéàdeuxVisages #NetGalleyFrance !

Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Dans la série polar, trois maîtres des lieux incontestés et incontestables, à mon sens.
Le commissaire Wallander du regretté Mankel, le commissaire Erllendur d'Indridason et bien sûr l'inspecteur Harry Bosch du vénérable Michael Connelly.
Ici, dans Une vérité à deux visages, notre homme est dans son credo familier : la recherche de la vérité.
Qu'il doive se battre avec la mafia, la pègre, un monde sans foi ni loi, Bosch fonce à la recherche de la vérité, que ce soit pour laver son honneur ou un pharmacien d'une probité sans failles.
Un très bon moment de lecture, j'attends la suite d'autres enquêtes avec impatience.
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Depuis le début, je suis fan des polars de Michael Connelly et de son personnage emblématique Harry Bosch. Qui peut mieux que cet auteur servir de guide à travers les bas-fonds de Los Angeles et sa banlieue pour vous faire découvrir l'envers du décor loin des paillettes d' Hollywood Boulevard ? Même si, au fil des années, en prenant de l'âge notre inspecteur favori s'est assagi et que ses réflexions sont souvent teintées d'un parfum de nostalgie, le plaisir de le suivre reste le même.

Dans "La vérité à deux visages", il officie toujours comme volontaire au service des "cold cases" de la petite ville de San Fernando et n'hésite pas à donner un coup de main à ses collègues. Son expérience passée va être utile pour les aider à traquer les meurtriers de deux pharmaciens (le père et son fils). Rapidement, un trafic d'oxycodone, un médicament opiacée, est mis à jour, et pour arrêter les commanditaires, Bosch ne va pas hésiter à jouer les infiltrés. Parallèlement, un homme qu'il avait arrêté pour viols et meurtres et qui végète depuis 30 ans dans le couloir de la mort, l'accuse d'avoir trafiqué les preuves ayant conduit à son inculpation. Ce dernier, par l'intermédiaire de son avocat, demande à ce qu'on étudie l'ADN présente sur les pièces à conviction, recherche impossible à l'époque. Bosch va faire appel à son demi-frère Mickey Haller pour défendre sa réputation bafouée.
Qui dit Haller dit procès et donc nouvelle confrontation avec l'impénétrable justice américaine. Même si ce n'est pas la partie que je préfère, je reconnais que le tortueux avocat fait des merveilles. Et une fois de plus, notre Harry Bosch est prompt à jouer les justicier, toujours au service de la veuve et de l'orphelin, souvent au péril de sa vie. Eh oui, toujours cette profonde humanité pour les faibles, cachée sous ses airs de dur à cuire. J'ai apprécié également de retrouver d'anciens collègues qu'il avait côtoyés pendant ses années de service au LAPD.

Deux aventures policières (qui ne s'imbriqueront pas en une seule comme souvent mais dont l'une aura tout de même des effets indirects sur l'autre), sublimées par la précision de la plume de Michael Connelly, le contrat une fois de plus est rempli. Pour moi, c'est un 18/20.
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Je ne savais pas qu'en lisant ce livre j'en connaitrai déjà la plupart des tenants et des aboutissants.
Non, je ne suis pas voyante. Mais j'ai fais une erreur bête. J'ai regardé la série "Bosch" sans savoir que je n'avais pas encore lu le livre dont elle était tirée.

Ca m'a donc gâché ma lecture et c'est tellement dommage car c'est un très bon Connelly.
On y trouve en plus de Bosch, Mickey Haller, magistral avocat aux façons un peu douteuses de faire mais tellement efficace avec son enquêteur Cisco. Mais aussi ses anciens collègues Lucy Sotto et Jerry Edgar.

Il y a beaucoup de différences avec la série notamment le fait que ce n'est pas Haller qui le défend et ça change beaucoup de choses. Au cas où vous n'auriez pas compris j'adore le personnage de Mickey Haller.

Comme à son habitude, Connelly ne se contente pas d'une seule enquête à mener mais bien de plusieurs. Dans l'une d'elle, Bosch va infiltrer un réseau de trafiquant de médocs. Alors que dans l'autre, c'est son intégrité qui est remise en cause et qu'un meurtrier risque d'être libéré.

Je n'ai pas eu le palpitant puisque je savais comment tout se termine. Je déteste ça.

Alors ne faites pas comme moi, ne regardez pas la saison 5 et dégustez d'abord ce très, très bon polar de Mister Connelly.
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Dans ce vingt-troisième opus des aventures de Harry Bosch, Michael Connelly n'a pas lésiné sur les surprises pour tenir le lecteur en haleine.
Harry Bosch n'est plus au LAPD (Los Angeles Police Department) mais bénévole aux affaires non résolues de San Fernando. En plus de ses recherches sur la disparition d'une jeune femme, survenue plusieurs années auparavant, il doit mener deux autres enquêtes, dont une qui le concerne personnellement.
Passionnée par les deux autres enquêtes, j'ai malheureusement perdu de vue l'histoire de cette jeune femme au cours de la lecture et j'ai eu du mal à retrouver le fil ; seul bémol dans ce livre qui est à la hauteur des autres oeuvres de l'auteur. La résolution de cette affaire, assez facile pour l'ex-inspecteur, va lui poser quelques problèmes et nous en dire plus sur son évolution.
Les deux autres enquêtes dominent et elles sont passionnantes pour des raisons différentes.
Deux pharmaciens sont assassinés à San Fernando et pour la première fois, Harry va utiliser une méthode qu'il n'avait jamais utilisée.
La dernière intrigue concerne une ancienne arrestation de l'inspecteur Harry Bosch. Il en est certain, il a fait mettre en prison le véritable assassin ; sauf que celui-ci l'accuse de l'avoir piégé. de plus, de l'ADN d'un autre homme est retrouvé sur les vêtements de la victime dans le carton de preuve archivé dans un lieu réputé inviolable. Comment est-il arrivé là, puisqu'à priori c'est impossible ?
L'inspecteur Harry Bosch vieillit, mais il est toujours le même, monolithique et peu enclin à écouter ce qu'on lui dit.
L'écriture de Michael Connelly est toujours merveilleusement efficace. Los Angeles joue toujours son rôle.
Un roman que tout fan de Harry Bosch aura plaisir à lire.

Lien : https://dequoilire.com/une-v..
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Le problème, quand on est un policier qui devrait être à la retraite mais a repris du service, c'est que l'on peut être rattrapé par de vieilles affaires. Ce serait certainement valable également si le policier était bien gentiment, chez lui, à profiter de la retraite en sirotant son whisky, son bourbon, ou toute autre boisson alcoolisé que l'on voit toujours les policiers prendre pour se remettre de leurs émotions. Cette affaire qui remonte à la surface, ce n'est même pas un cold case, non, cela prend le chemin d'une erreur judiciaire, même pire : une erreur due au fait qu'un policier, en l'occurrence Harry Bosch, aurait trafiqué des preuves pour mettre en prison un innocent. Tout ceux qui lisent les enquêtes d'Harry Bosch le savent : jamais il ne ferait une chose pareille, ce serait « impensable », pour reprendre le titre d'un des derniers romans le mettant en scène. Lui le sait, comme il a la certitude qu'il a bien mis le bon coupable derrière les barreaux, comme le sait aussi la soeur de la victime. Reste à savoir comment cette nouvelle preuve a pu arriver là, et qui avait intérêt à la trafiquer, tout en incriminant Bosch. Parce que non, il ne suivra pas le conseil de son ex-coéquipière, non, il n'incriminera pas un collègue décédé, pour la simple et bonne raison qu'il sait très bien qu'il n'y est pour rien. Puis, accuser les disparus, c'est à double tranchant : un « disparu » peut réapparaître, et ce n'est pas forcément confortable.
Les enquêtes du passé n'empêchent pas les enquêtes du présent, et Bosch doit enquêter sur la mort de deux pharmaciens, le père et le fils, abattus par des tueurs en pleine journée, des tueurs qui n'ont même pas pris la peine de simuler un cambriolage. Bosch n'a pas l'intention de laisser ces deux meurtres impunis, et ce que lui et ses coéquipiers découvrent au fil de l'enquête le mènera bien plus loin qu'il ne l'aurait cru. Il ne s'agit pas tant de dénoncer les failles du système médical, que de montrer comment l'on peut rendre quelqu'un dépendant d'un médicament contre la douleur, puis le laisser se débrouiller après, seul avec son addiction : il est des personnes à l'affut pour aider ses personnes, organiser un trafic, et s'en mettre plein les poches. Les dégâts provoqués ? Tant qu'ils n'affectent pas leur porte-monnaie, peu leur importe de laisser des personnes dans la dépendance.
Tout au long de l'affaire qui l'a mis en cause, Harry a pu compter sur son frère : Jusqu'à l'impensable avait vraiment permis leur rapprochement. Mickey Haller est un avocat qui connaît le droit. Cela semble évident, cela ne l'est pas pour tous. Il peut aussi compter sur Cisco, son enquêteur, qui connaît suffisamment les aléas de la vie pour être véritablement efficace.
Une troisième enquête s'ajoute aux deux autres, une enquête qui n'en est plus vraiment une : quinze ans qu'Harry et d'autres policiers cherchent à résoudre la disparition d'une femme, quinze ans qu'ils soupçonnent son mari, et qu'ils ne parviennent pas à le prouver. Elle sera résolue elle aussi, pas vraiment de la façon qu'Harry le pensait.
Le roman se termine sur la promesse d'une nouvelle enquête, j'espère que ce sera le sujet du prochain roman mettant en scène Harry Bosch.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Harry Bosch, vieux briscard retraité, est toujours connecté avec l'actualité. Il travaille pour la police de San Fernando, le SFPD, où il traite à plein temps des cold cases. Jusqu'au jour où on fait appel à son expérience dans le double assassinat de pharmaciens. Nous voici embarqués dans les trafics d'opioïdes. Problème brûlant dont les ravages sont dévastateurs sur une population plus importante aujourd'hui que le nombre de morts du Vietnam.
Au même moment un meurtrier confondu par Bosch il y a 30 ans et croupissant toujours dans le couloir de la mort est en passe d'être réhabilité par un avocat. Bosch est suspecté de falsification de preuves.
Une fois encore 2 affaires se télescopent. L'une où Bosch est acteur et même infiltré, dans la seconde affaire, il a de grandes chances d'être une victime et perdre la face. Connelly parvient à faire coexister et même interagir de façon équilibrée et dynamique les 2 intrigues en une petite dizaine de jours. Bosch fait appel à l'avocat Michel Haller « son frangin d'une autre mama ». Assisté de Cisco, biker et de sa fille Maddie, présente en pointillés, la team Bosch est en embuscade.
Une solide documentation nous permet de découvrir une face ignorée des trafics d'opioïdes les « capers », les dispensaires louches, les officines de pharmaciens complaisantes et victimes, les mules, la mafia russe. Beaucoup d'acteurs gravitent. On a tous entendu parler des géants de la pharmacie et des malades addicts mais ici un autre aspect est dévoilé “avec tous ceux qui s'en mettaient plein les poches, la crise des opiacés était bien trop importante pour qu'on l'arrête ».
Dans la seconde enquête on est encore dans l'actualité puisque 10 ans après la crise des subprimes de 2008 certains propriétaires sont encore englués dans des prêts consentis qui les plombent encore. Un beau passage d'esbroufe par l'avocat Haller mais « la fin justifie les moyens ». On retrouve les chevaux de bataille de Connelly/Bosch : une hiérarchie hostile et un milieu judiciaire corrompu et avide.
Un bon cru qui se dévore sans façon.
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Il y avait un moment que je n'avais pas lu de Michaël Connely, moi qui conseille presque tout les jours sa lecture à mes lecteurs et eux qui reviennent conquis par cet auteur et ses histoires.
C'est vrai que j'ai tendance à leur proposer la lecture des premiers Harry Bosch que ce soit "Les égouts de Los Angeles ou "le poète" ou encore "Le dernier coyote" pour ne citer que ces trois là, mais je sais à partir de là qu'ils reviennent emprunter les suivant et qu'ils suivent avec plus d'assiduité que moi les aventures de notre flic au grand coeur.
Aussi c'est un de mes lecteurs qui est venu me dire tout le bien qu'il pensait de ce tout dernier titre et je n'ai pas résister au plaisir de le lire à moi tour et grand bien m'en a fait. En effet quel plaisir de retrouver notre héros après toutes ces années. oh il a un peu vieilli, tout comme moi, il n'est plus flic au LADP. Mais pour autant point de retraite pour Harry qui met ses talents d'enquêteur au service de la la police de San Fernando.
Toujours aussi acharné à découvrir la vérité, enfin sa vérité. Et ici nous sommes servi par notre détective sexagénaire va devoir être sur plusieurs fronts à la fois. Alors qu'il enquête sur le meurtre d'un père et de son fils, employés dans une pharmacie. Tandis qu'il est sur la piste d'un trafic de médicaments antidouleurs, il est accusé d'avoir falsifié des preuves pour envoyer un tueur en série dans le couloir de la mort trente ans plus tôt.
Alors retrouver Hieronymus dans de sale drap et le suivre à se dépatouiller avec ses emmerdes ce n'est que du bonheur. Vous pensez deux enquêtes pour le prix d'une.
Et comme d'habitude, Bosch ne va rien lâcher.
Connelly nous offre là un de ses meilleurs romans. Mais ce n'est que mon avis. Un polar ultra efficace dans tous les cas !
Lien : https://collectifpolar.com
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