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3,87

sur 151 notes
Je n'ai pas transpiré, pas frémi, pas été terrifiée, pas haleté, pas été épuisée, pas été effrayée.
Je me suis juste sentie délivrée quand, au lieu des 209 pages prévues, mon calvaire s'est terminé beaucoup plus tôt.
Calvaire de lecture, tellement le road trip dans l'outback australien, ( je sais, ça fait beaucoup d'anglicisme ) dont Kenneth Cook nous a offert des récits drôles (la vengeance du wombat, et autres.) est, en réalité, un récit qui se mord la queue.
Oui, j'assume l'image.
Un jeune homme rencontre une jeune fille, dans un bar, la chaleur est mortelle, elle lui plait avec son short jaune, comme un soleil qui tape là où vous savez : il la suit, mine de rien, et elle déboule dans sa pauvre voiture : vite, fuyons !
C'est elle qui le dit.

Il suit la directive, fuyons, et finalement tout le roman consistera en cette fuite, contre un ennemi pas nommé, pas vraiment vu, dont bien entendu, nous lecteurs, nous ne pouvons pas avoir peur, et pourtant, on aime ça, avoir peur en lisant.
Seulement en lisant, hein !
Raté, même pas peur.
Emportée par mon non-plaisir de lecture, je note au passage la bêtise de cette Katie, qui stresse à toute berzingue notre héros pour qu'il conduise plus vite, mais qui se trompe de route et donc retombe dans les pattes de l'ennemi, qui égare le couteau censé les défendre, qui, qui, bref, inutile de vous faire trépider avec un récit simplement répétitif.
Préface un peu égarée par son enthousiasme de Douglas Kennedy.
Alors, gagnez du temps : lisez la préface. C'est suffisant.
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Un soleil de décembre qui embrase le ciel. Une chaleur étouffante et écrasante, presque mortelle. Des plaines de petits buissons à perte de vue... À bord de sa Honda, John Shaw fait la route de Sydney à Adélaïde, où il doit passer un entretien d'embauche. Peu pressé et s'intéressant à la végétation du désert, il compte parcourir notamment ces vastes plaines désertiques. Sur la route pourtant très peu fréquentée, il double un Land Cruiser, conduit par une belle jeune femme. Une femme qu'il rencontre de nouveau dans le pub où il fait une halte. Reporter-photographe, Katie sillonne l'outback pour écrire des articles et compte emprunter la piste d'Obiri, qui relie cette dernière à Yogabilla. Une piste dangereuse où la chaleur, les sables mouvants ou encore les soaks rendent cette traversée périlleuse d'autant qu'on ne risque pas de croiser âme qui vive au cours des 600 kms de fournaise et de poussière. Intrigué par cette jolie femme et peu pressé d'atteindre Adélaïde, John Shaw décide d'emprunter sa voie. Mais, en plein désert, il la voit soudain surgir des broussailles, terrorisée, et se précipiter dans sa voiture, hurlant qu'un homme la poursuit et veut la tuer...

C'est à une course-poursuite haletante et extrêmement tendue, dans le désert aride et torride australien, que nous invite Kenneth Cook. Katie et Shaw, rencontrés par hasard dans un pub, vont devoir filer à toute berzingue au coeur de l'outback s'ils ne veulent pas se faire tuer par l'Homme. Mais comment le semer et le fuir à bord d'une simple Honda, sous un soleil de plomb, sachant que le poste de police le plus proche est à des centaines de kilomètres ? Et que leur veut cet Homme ? À toute berzingue est un véritable petit roman d'action qui tient en haleine de la première à la dernière page. Une course-poursuite en plein désert, rien de transcendant écrit ainsi, si ce n'était cette tension palpable, cette atmosphère suffocante, cette ambiance oppressante et angoissante, cette cadence effrénée et la plume de Kenneth Cook. Une chasse à l'homme diabolique et sauvage dont on ressort poussiéreux...
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.
Vous voulez le lire ? pourquoi pas .
C'est court , intense , diabolique , envoûtant .

C'est l'histoire d'une balade dans la fournaise du bush australien qui se transforme rapidement en cauchemar : un psychopathe s'est lancé dans une chasse à l'homme .
Sorti de nulle part , il a l'allure d'un primitif ...
Et , Katie et Shaw sont devenus le gibier .
C'est aussi la confrontation : à la frontière de la civilisation voilà que surgit un monde immuable depuis la nuit des temps . Terrifiant bien sûr !

Alors ,dès le début , c'est la course poursuite qui démarre . Instinct de survie faisant , des deux héros on ne saura pas grand chose .
Les dialogues sont réduits à l'essentiel , l'action prime et obéit à la fulgurance de la pensée du moment .

On entrevoit les paysages , on s'imprègne grandement de l'atmosphère suffocante , on oublie de respirer ,...
Tout le récit est une suite infernale de rebondissements plus invraisemblables les uns que les autres .
Super promo sur l'adrénaline , cent doses pour le prix d'une !

Voilà , parfait pour s'offrir un moment de frayeur .
Se lit à toute berzingue mais j'ai regretté le manque d'épaisseur . J'aurais souhaité mieux connaître les différents protagonistes .

Mon ressenti pour ce roman se rapproche de celui que j'ai eu pour le film " Desierto " , une autre course poursuite dans le désert de Sonora , le prédateur est différent mais il n'y a que ça : la course effrénée .
"Duel " reste pour moi inégalable dans le genre .
Je compare lire et voir mais , de ce récit , justement , me sont surtout restées des images de dérapages contrôlés .

Bien vendu par Douglas Kennedy qui par sa préface en fait une juste analyse .

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Envie d'un petit road-movie australien ?
C'est parti, attachez vos ceintures.
On voyage avec Katie et Shaw qui suivent la même route et qui se sont rencontrés dans un pub au cours d'une halte. Ils ont sympathisé.
Katie, une jolie australienne d'une vingtaine d'années, venant d'un milieu aisé, vêtue d'un petit short, pas froid aux yeux : la meuf s'apprête à affronter 600 bornes de piste défoncée dans l'outback, la piste d'Oribi, mais elle est bien équipée la Katie : Land Cruiser 4 X 4 flambant neuf (seul gros joujou capable de relever ce défi), bourré de bidons d'essence et de litres d'eau.
Shaw, un jeune australien en balade se promène lui dans une petite Honda, il ne compte pas aller bien loin dans l'outback et vu son véhicule, impossible d'emprunter le même chemin que Katie sauf sur les premiers kilomètres où la piste est encore praticable.
« PISTE D'ORIBI. DANGER. D'ICI À ORIBI, LA CHALEUR, LES SABLES MOUVANTS, SOAKS ET AUTRES DANGERS RENDENT LA TRAVERSÉE EXTRÊMEMENT PÉRILLEUSE. EN CAS DE PANNE, N'ABANDONNEZ JAMAIS VOTRE VOITURE. AVANT DE PARTIR, SIGNALEZ-VOUS AU POSTE DE POLICE DE YOGABILLA. NI EAU POTABLE NI ESSENCE AVANT 600 KILOMÈTRES. »
Mais les hommes… Enfin bref, Shaw se retrouve sur cette piste… et qui c'est qui surgit devant sa Honda, terrifiée et décoiffée ? Une Katie qui vient d'échapper à un viol et qui s'est défendue avec courage contre une sorte de géant d'une force herculéenne, mais l'est pas content l'homme du bush, y voulait une fi-fille, lui, pas content du tout… Alors, il emprunte le 4 X 4 de Katie…
Fonce Shaw ! Fonce ! À toute blinde !
Le jeune couple va être poursuivi par cette créature monstrueuse : homme ? bête ? dont seule l'odeur est véritablement décrite (un mélange de pourriture et de mort), lancée dans une traque sans merci sur une piste défoncée. Course poursuite démente dans laquelle il ne peut y avoir qu'un seul gagnant vivant.
À fond la caisse Shaw ! Pied au plancher !
Il n'y a aucun répit dans cette histoire d'ailleurs, il n'y a aucun chapitre.
Vous vouliez faire une pause pipi ? Pas question, fallait prendre vos précautions avant !
Dans sa superbe préface, Douglas Kennedy fait le parallèle entre ce roman et le premier film de Spielberg "Duel", où un chauffeur de camion poursuit un automobiliste pour le tuer, sans mobile apparent. Ça aurait pu être un Piège Nuptial, ce sera un piège mécanique…
Allez, roulez petits bolides…
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Prenez un zeste de Duel de Spielberg, un soupçon de fiche brico, la 53, spéciale maniement rageur de la hache, élisez deux joyeux drilles appelés à ne pas le rester très longtemps, enfournez le tout thermostat 9. Ding ! Plus qu'à déguster À Toute Berzingue.

Il est dit que lorsque vous vous baladez au coeur de l'outback Australien, il ne faut jamais, ô grand jamais, abandonner sa voiture sous peine de mort certaine dans les deux heures.

Comment faire d'un pitch ultra simple un bonheur de lecture sans nom.
Avoir le talent de feu Cook, assurément.

Court roman, plaisir maximal.
D'une rare intensité, cette nouvelle chasse du comte Zaroff délocalisée apparaît comme le contraire de l'encéphalogramme plat.
Une montée en tension progressive, assurée par les coups de boutoir persévérants de notre tueur patenté mystère, couplée à un salopiot de cagnard qui fait rien que vous brûler, version steak à point...à point, nos deux touristes en vadrouille dans leur véhicule de fortune totalement inadéquat vont devoir développer des trésors d'ingéniosité pour échapper à cette entité maléfique mais persévérante, il faut au moins lui reconnaître ça, sortie des âges sans nom.

À Toute Berzingue est un récit haletant publié post mortem par Kelly, la fille de Kenneth, comme quoi il n'est jamais trop tard pour se prendre un pain pleine face.
Sans gluten, le pain, ce serait dommage de se priver.

D'après Kenneth Cook, en 1982, plus de 300 personnes étaient portées disparues en Australie chaque année et n'étaient jamais retrouvées.
Précision de l'éditeur, en 2015, ce nombre s'élèverait désormais à 1600 !
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Un chasseur, deux proies…
Une course-poursuite effrénée au rythme terrifiant, glaçant, pesant, angoissant...

Deux citadins, Katie et Shaw coincés dans une petite Honda lancée à toute berzingue sur la piste d'Obiri - six cents kilomètres de fournaise et de poussière au coeur de l'outback australien, sont poursuivis par une monstrueuse créature prête à tout pour les éliminer.

Ce roman à l'âme palpitante nous transporte très rapidement sur ce road trip cauchemardesque. Dans une atmosphère oppressante, tout est vraiment ressenti : la chaleur écrasante, les nuages de poussière, les sables mouvants, les routes impraticables et les paysages désertiques de désolation… Sans oublier la tension extrême de cette traque infernale qui nous met les nerfs à vif.

Sous sa plume endiablée, l'auteur nous décrit et convainc que l'ennemi le plus redoutable de l'homme, c'est l'homme.

Par ce thriller au style lapidaire, Kenneth Cook nous dévoile son talent fantastique et excelle ici dans le domaine du suspense, un genre qu'il maîtrise à la perfection.

Un chef-d'oeuvre incontournable à lire absolument…
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Je ne sais pas pour les autres lecteurs, mais j'ai vu, peut-être à tort, dans ce court roman une fable sur la peur... Peur de la nature hostile ou de l'Autre, perçu comme plus hostile que la nature, la question est ouverte...J'ouvre ici le débat, c'est la mode en ce moment !

Deux jeunes citadins pas trop adaptés à l'aventure en brousse, se retrouvent poursuivis par une espèce de Yéti australien, aux contours flous, un fou furieux malodorant, assez indestructible, qui tue sans émotion tous ceux dont il croise le chemin sans qu'on n'en comprenne jamais les motivations.

Cette sorte d'obsession courante dans le récit d'horreur fantastique provoque chez nos héros des réactions intéressantes, de la terreur à la mobilisation de ressources insoupçonnées, en passant par des sentiments moins nobles . Pris en tenaille entre ce qu'il y a de pire comme climat, le désert de cailloux au milieu de l'Australie et la nécessité de se défendre, nos héros sont mis à l'épreuve de leur humanité, pour survivre sans la protection d'une société policée avec des lois.

J'ai oublié que je déteste les histoires de voitures tellement la tension est bien mise en scène. Ça n'a rien d'un éloge des grosses cylindrées et de la mécanique. Il est impossible de se détacher de ce récit palpitant assez addictif.

Dans le milieu de l'Australie, sous la plume de Kenneth Cook, on dirait bien que les quelques humains qui s'y baladent, seuls sous le ciel étoilé, renouent avec les peurs viscérales de nos ancêtres des origines du monde.
Ils rejouent aussi, sans aucun doute, celles des anciens colons anglais découvrant un continent étrange, peuplé d'une civilisation millénaire dont ils n'avaient pas les codes.

Un bon petit roman, à l'apparence populaire et facile, mais avec plusieurs niveaux de lecture...il donne envie d'en lire plus de cet auteur.

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« Pas de profondeur psychologique ni de questions pénétrantes sur la nature humaine. Prose incisive et sensibilité de film de série B »
Ce n'est pas de moi, mais de Douglas Kennedy en personne, depuis toujours fasciné par le bush australien.
Mais du suspens ! QUE du suspens !

A vrai dire, cette équipée sauvage à travers le désert, les roches, les cailloux, le sable, le vent, la poussière, les quelques arbrisseaux, les quelques animaux, le soleil, le soleil, le soleil, mais aussi la nuit profonde, obscure, menaçante, étouffante, à vrai dire - je reprends mon souffle- , cette équipée ne m'a pas laissée de glace.

Deux jeunes Américains en mal d'aventures et de vie sauvage qui s'étaient lancés, chacun pour son propre compte, dans l'exploration de cette terra presqu'incognita qu'est l'outbush, se retrouvent fortuitement et bien malgré eux au centre d'une tragédie : être poursuivis nuit et jour par un « Homme », un fou, un qui pue, un horrible, un monstre.

C'est vrai que c'est haletant, que ça prend aux tripes, et j'ai soupiré plus d'une fois.
Soupiré, pris le livre avec plein d'appréhension et de rejet.
En même temps, il FALLAIT que je connaisse la suite. Même si je n'aime pas les histoires de voitures, de courses-poursuites, de réservoir qui fuit, de roue qui crève.
Même si je déteste les histoires glauques. Et ici, c'est glauque !

Donc, je suis heureuse de vous annoncer que je suis sortie indemne et bien soulagée de cet enfer.

Kenneth Cook est considéré comme le plus grand écrivain australien, je le vérifierai dans son roman-phare : « Cinq matins de trop », mais « A toute berzingue », c'est trop pour moi.
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Quiconque l'a eu entre les mains se souvient forcément du tout premier roman de Douglas Kennedy : « Cul de sac », réédité plusieurs années après une fois que l'auteur est devenu célèbre tant cette course contre la montre dans le bush australien était haletante et glaciale, malgré la chaleur insoutentable du climat austral. ON y suivait un touriste américain qui, traversant l'Australie en voiture, se retrouvait marié contre son gré et prisonnier d'une communauté de cinglés vivant dans un coin pourri et ignoré de tous nommé Wollanup qui tentait en vain de sortir de cet enfer proche de l'apocalypse.

En lisant "A toute berzingue » , court roman du romancier australien décédé depuis plusieurs années Kenneth Cook ( auteur d'un chef d'oeuvre « cinq matins de trop »), on y pense d'autant plus que Douglas Kennedy s'est chargé d'écrire la préface et explique à quel point ce roman méconnu chez nous l'a influé sur son premier roman et tout son travail d'écrivains.

Les points communs entre les deux livres sont évidents : même décor, même tension, même traque infernale menée tambour battant., meme faune hostile

On est heureux que ce roman terrifiant et haletant ait été été exhumé par la fille de Cook après sa mort.

Rallye infernal et chasse à l'homme à travers l'outback.le bush australien , ses aborigènes et son outback. apparait sous le plume de Cook comme plus effrayant et oppressant que jamais pour un polar choc qui ne laisse aucun répit au lecteur qui transpire avec ses pauvres héros.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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J'ai retardé plusieurs fois le début de cette lecture (visites, invitation, déplacement impromptu). Je l'ai enfin attaquée ce matin au petit-déjeuner, dehors, en essayant de profiter de la relative fraîcheur matinale. Je l'ai terminée un peu avant onze heures… le titre semble inciter à une lecture rapide, À toute berzingue, et l'outback australien où est située l'action de ce trépidant récit pousse à relativiser la canicule que nous subissons ces jours-ci. Dès la deuxième page, une fille se précipite dans la petite Volkswagen de Shaw. Il la reconnaît : c'est Katie, rencontrée deux jours plus tôt. Elle est terrorisée et lui raconte qu'un être monstrueux essaye de la tuer, « un homme des bois, un sauvage ». Dans la panique, contre tous les conseils que reçoivent les gens voyageant dans le bush, Katie a abandonné son 4X4. D'abord sceptique, Shaw devra se rendre à l'évidence : ils sont poursuivis par un fou…
***
Je vous laisse découvrir les péripéties qui attendent ces deux-là dans un rythme d'enfer et sans aucun répit. L'action ne ralentit jamais. Quand on croit qu'ils pourront faire une pause (et le lecteur avec eux), l'histoire rebondit. Il n'est pas question de thriller psychologique : on ne sait presque rien des deux personnages. L'attitude de l'un comme de l'autre reste loin des clichés, même de ceux de la séduction comme j'avais pu craindre le contraire au tout début. Quant au poursuivant, on ne sait presque rien de lui : il est sale, Katie est révulsée par son odeur alors que Shaw mettra longtemps à la percevoir. Il craint plutôt sa force physique et son obstination. « La bête » porte un pantalon et sait conduire. Trois des personnages secondaires ne sont là que pour attester de sa férocité et de sa folie qui ne font aucun doute. Je me suis laissé happer par cette course-poursuite jusqu'à partager l'inquiétude, la peur des deux proies, au point d'être tentée d'aller me rassurer en jetant un oeil à la dernière page. Je ne l'ai finalement pas fait, tant mieux. le portrait que Kenneth Cook dresse de l'outback australien ne constitue pas vraiment une incitation touristique, et pourtant, si on comprend très clairement les dangers de cette région, on en perçoit aussi l'aride et spectaculaire beauté. La « Note de l'auteur » apporte des précisions culturelles utiles en élargissant le propos, et « Le mot de la traductrice » (Mireille Vignol) me pousse à découvrir plus avant l'oeuvre de cet auteur. Un regret bien mineur après coup : j'aurais préféré que la préface trop explicite soit une postface…
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