Jeffrey Rhodes anesthésiste au boston mémorial, a tout pour être heureux. il fréquente la haute société, mais le jour ou il va être accusé de négligence dans la mort de
patty Owen. et être condamné à la prison, seule la veuve d'un médecin, accuser comme lui en qui c'est suicidé va l aider.
libéré sous caution il va mener son enquête pour prouvé son innocence.
tout en échappent au tueurs.
un bon suspense, même si
parfois on se demande comment un toubib,peut faire.mais bon après tout
richard kimbel dans la série le fugitif y arriver bien.
pour les lecteurs je dirais de pas se décourager par les
536 pages car l ,action va très vite. et l,histoire est emballante,avec son lot de sensations fortes.en après tout c'est juste ça qu'on demande à un triller.👍
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J'aime beaucoup Robin Cook, et je lis ses romans depuis bien longtemps. J'ai relu celui-ci, car je l'avais beaucoup aimé à sa sortie. Toujours avec un grand plaisir, même si, après une deuxième lecture, on voit un peu mieux les faiblesses de cette histoire. Tout d'abord, il faut reconnaître que le docteur Rhodes est un dur à cuire, très difficile à appréhender même par des malfrats rompus et expérimentés. Difficile à croire quand même. Les péripéties se suivent sans discontinuer, les coups de théâtre sont nombreux (trop?), et la vraisemblance en prend un coup. Mais l'ensemble reste passionnant à suivre, malgré quelques curiosités intrigantes: lorsque Trent Harding, le tueur, va chez Gail Schaffer, il remarque sur sa boîte aux lettres un deuxième nom: A. Winthrop. Aussitôt, il en déduit qu'il s'agit... d'une femme!!! Pourquoi donc? A aucun moment, Gail n'annonce vivre avec une amie ou une compagne... Il pourrait donc s'agir d'un homme prénommé Arnold... Je n'ai franchement pas compris ce raccourci, bien pratique pour Harding d'ailleurs, puisque s'attaquer à une femme lui posera moins de problème qu'à un homme... Quelques bizarreries du même tonneau se rencontrent au fil de l'ouvrage, mais on pardonnera à l'auteur qui sait ménager son suspense. La fin aurait pu être plus travaillée, et la conclusion est tout juste crédible. Mais je mets quatre étoiles quand même!
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Jeffrey Rhodes est anesthésiste. Mais un beau jour, l'opération de Patty Owen ne se déroule pas comme prévue. Que s'est-il passé ? Jeffrey n'a pourtant rien omis ! Comme bien souvent, lui et l'hôpital, sont attaqués en justice par la famille. Mais Jeffrey ne veut surtout pas aller en prison. de là, va s'en suivre une aventure trépidante ; puisque gardant l'argent de la caution, il va se cacher et enquêter. Mais des hommes de mains sont à ses trousses. Pourquoi ? Un complot ? Heureusement que la veuve d'un de ses amis est là pour l'aider. Un thriller palpitant. On reprochera quand même à Robin Cook que ses lecteurs ne connaissent pas Boston comme leur poche !
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on dit toujours que l'ennemi de la blouse blanche est la blouse noire "l'avocat" alors si un medecin tombe entre les mains de la justice c'est qu'il est cuit, dans ce livre c'est jeff rhodes medecin anesthesiste a l'hopital"boston memorial" qui fus entre les mains de la justice pour faute professionnelle dont il est sur qu'il n'a pas commis commence alors une serie d'evenements ou il fuis mais seul il peut pas faire grand chose alors pour essayer de se blanchir et essayer de prouver son innocence il fus appel a une femme kelly everson personnellement j'ai dit ok j'accepte cela mais ce que j'ai trouvé totallement absurde c'est le fait qu'un medecin legiste "dr seidert " s'engage avec lui dans cette folie : exhumer un cadavre dans une cimetiere et le medecin legiste sur place il ouvre le cadavre met les organes dans le sachet histoire de piffff c'est absurde
et j'ai pas compris pourquoi l'auteur a choisi ce coupable"x je vais pas emmettre un spoiler ca sera du suspens" j'ai pas compris
c'est mon premier roman de robin cook et je suis curieuse de decouvrir un autre de ses livres plus reussis si je puisse dire parceque il y'a du talon comme meme et de l'immagination
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S'arrêtant au dernier numéro, Jeffrey ouvrit son placard. Il tendit la main pour récupérer, bien rangé sur les étagères, un flacon d'élixir parégorique, un vieux remède que sa mère l'obligeait à prendre quand il était petit. Sa mère avait toujours soutenu qu'il souffrait soit de constipation soit de diarrhée. Ce ne fut que lorsqu'il entra au collège que Jeffrey comprit que ces diagnostics n'étaient que des prétextes pour lui faire prendre ce que sa mère considérait comme une panacée. Au cours des années, Jeffrey s'était mis à avoir confiance dans l'élixir parégorique, sinon dans la justesse des diagnostics de sa mère. Il en gardait toujours un flacon à portée de main.
En sortant de la salle de travail de Patty, Jeffrey eut une nouvelle crampe intestinale et se dit qu'il lui faudrait prendre des mesures plus énergiques contre ses propres symptômes s'il voulait mener à bien l'accouchement de Patty. Malgré l'élixir parégorique, il se sentait de plus en plus mal. Franchissant les portes qui donnaient sur la suite des salles d'opération, Jeffrey retourna à l'alcôve des anesthésistes proche des salles d'opération o˘ il avait passé l'essentiel de la journée. La pièce était vide et ne res-servirait probablement plus jusqu'au lendemain matin. Parcourant du regard le couloir des salles d'op pour s'assurer que la voie était libre, Jeffrey tira le rideau afin de s'isoler. Bien qu'il e˚t finalement admis qu'il était malade, il n'était pas prêt à le reconnaître devant une tierce personne.
- Si c'est ainsi que la toxine est mise dans la MarcaÔne (elle désigna
l'ampoule et la seringue que Jeffrey avait posées sur le bloc cuisine), cela
signifie que quelqu'un trafique la MarcaÔne délibérément, empoisonne
délibérément.
- Assassine, dit Jeffrey.
- Mon Dieu, dit Kelly. (Elle commençait à entrevoir toute l'horreur de la
chose.) Pourquoi? ajouta-t-elle avec un frisson. Pourquoi quelqu'un ferait-il
ça ?
Jeffrey haussa les épaules.
- C'est une question à laquelle je ne suis pas près de répondre
_ Se suicider n'a rien de courageux, dit-elle furieuse. C'est l'inverse. C'est de la lâcheté. Et c'est égoïste. Ça fait mal à tous ceux que vous laissez derrière vous, à tous ceux qui vous aiment.
Il attendit un moment pour voir comment il se sentait. Les vertiges et la migraine avaient totalement disparu. Ainsi que les nausées. Satisfait par la rapidité des résultats, Jeffrey ouvrit le rideau et retourna au vestiaire. Seul son côlon lui posait des problèmes. L’équipe du soir avait pris la relève et celle de jour était sur le point de partir. Le vestiaire était plein de gens de bonne humeur. La plupart des douches étaient occupées. Jeffrey alla d’abord aux toilettes. Puis il prit son élixir parégorique et en avala encore une grosse lampée. Le goût le fit frissonner, et il se demanda ce qui le rendait si amer. Il jeta la bouteille vide dans la corbeille à papiers. Puis il prit une deuxième douche et changea une nouvelle fois de casaque.
Interview de Robin Cook sur CNN à propos de son roman Intervention