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3,99

sur 774 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Avec « Les annales de la Compagnie noire », c'est un véritable cycle de « dark fantasy » que nous propose Glen Cook. On découvre ainsi l'histoire et le quotidien d'une compagnie de mercenaires offrant ses services aux plus offrants et ce depuis sa création il y a plusieurs siècles de cela. Mais cette fois c'est avec la Dame qu'ils passent un contrat et très vite les choses ne se déroulent pas comme prévues... L'auteur nous plonge dans un univers dont on ne cerne pas encore vraiment les contours dans ce premier tome mais qui promet bien des surprises. le récit devient rapidement captivant au fur et à mesure que les intrigues, les coups bas, les retournements et les révélations s'enchainent. le tout est épicé par une multitude d'idées plus originales les unes que les autres et intelligemment utilisées comme les Asservis, sbires de la Dame dotés d'une puissante magie.

Les personnages sont durs, cyniques et violents pour la plupart mais possèdent des personnalités extrêmement fouillées qui nous les rendent rapidement très attachants qu'il s'agisse de Toubib, médecin comme son nom l'indique mais surtout responsable des annales de la compagnie, de l'énigmatique nouvel arrivant Corbeau, des sorciers Gobelin et Qu'Oeil... Cette brutalité se ressent dans le style très particulier de l'auteur auquel il est facile de ne pas adhérer mais qui en ce qui me concerne m'a plutôt séduite. Les dialogues brefs et percutants de ces personnages pleins de morgue et au langage fleuri nous plonge de plein fouet dans cet univers sombre et sans concession pour lequel il est difficile de ne pas se passionner. Un cycle majeur qui ne manquera pas de ravir les amateurs d'une fantasy plus mature et surtout plus sombre.
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Un peu comme dans la Horde du contrevent, nous sommes immédiatement au coeur d'un combat. Nous sommes perdus au milieu d'une dizaine de noms.
Je n'arrivais pas à comprendre les différentes factions entre le syndic, le légat, la compagnie...
Je lisais lentement en revenant souvent en arrière pour essayer de comprendre.
Puis tout d'un coup, hop ! Au revoir Beryl ! Bonjour le nord !
En gros, j'ai essayé de comprendre pour rien, vu que Beryl, c'est la dernière fois qu'on en parle dans le tome 1 du moins.

Bref, très confus mais c'est normal vu que nous suivons l'aventure aux côtés de notre cher annaliste, le Toubib !
Nous sommes insérés dans l'histoire comme le personnage. Nous n'en savons pas plus que lui, nous comprenons les pièges machiavéliques au même moment que lui... J'aime bien et ça rend l'histoire plus vraie justement !
C'est le point fort du livre pour moi !

La plume renforce le côté encore véridique de l'histoire. Elle me donne l'impression d'être tombée sur un vieux cahier qui renferme justement les annales de la Compagnie Noire. Je vois tout à travers Toubib et j'adore ce sentiment !

Les personnages sont juste superbement présents. Certes, au début, nous sommes perdus au milieu du nombre.
Mais on s'y attache tous sans exception !

Par contre, la fin était assez prévisible ou alors laisse être prévisible pour rebondir et nous avoir par la suite...
Mais connaissant la renommée du livre, je pense que c'est plus compliqué que prévu ! Donc je patiente !!
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La Compagnie Noire, troupe de mercenaires aguerris, se met au service de la Dame. Sous les ordres de Volesprit, un puissant sorcier, ils vont combattre les rebelles qui menacent le trône.

Difficile de résumer ce livre sans trop en dire, parce qu'il se passe énormément de choses. Trop en dévoiler nuirait au plaisir de lecture. En même temps, c'est compliqué de donner un pitch attractif en seulement quelques mots ^^

On est ici dans la Dark Fantasy, c'est-à-dire qu'il n'est pas question de héros sans peur et sans reproche ou de quête initiatique. Ce n'est pas manichéen, on a juste des gens avec des motivations plus ou moins mauvaises. Même les personnages qu'on suit par la voix de Toubib, l'annaliste de la Compagnie Noire, ne sont pas spécialement sympathiques, même si on s'attache un peu à eux du fait qu'on suit les évènements de leur point de vue.

L'histoire est bien menée, il se passe toujours quelque chose et on n'a pas le temps de s'ennuyer. Certaines choses sont un peu trop prévisibles, mais la façon dont c'est exploité par l'auteur reste intéressante et bien goupillée jusqu'à la fin.

Même si j'ai bien apprécié ma lecture, j'avoue que j'ai parfois nagé un peu dans la confusion. Il y a beaucoup de personnages, beaucoup de surnoms, et pour certains d'entre eux je n'ai pas compris tout de suite de quel côté ils étaient (la canicule a dû griller quelques-uns de mes neurones 😆 ). J'aurais bien aimé aussi que l'auteur soit plus précis sur les chiffres (un comble pour moi qui déteste les chiffres ^^). Il faut arriver assez près de la fin pour avoir une idée, assez vague, des effectifs de la Compagnie. ça n'empêche pas de comprendre ce qui se passe, mais du coup je ne voyais pas trop quel était le rapport de force entre les différentes armées.

Mais ce qui m'a vraiment gênée dans cette lecture, c'est la longueur des chapitres. ça a vraiment ralenti ma lecture. Je sais que ça peut paraître bête, surtout qu'à aucun moment je ne me suis ennuyée, mais j'avais l'impression de ne pas avancer et ça me démotivait un peu.

J'ai quand même passé un très bon moment avec ce 1er tome et je lirai la suite avec plaisir 🙂
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Une narration originale, des répliques percutantes, un univers sombre et mystérieux, de l'humour, des personnages attachants... Bref une très bonne découverte.
Pas de longue introduction pour nous faire rentrer progressivement dans cet univers, mais une immersion direct à travers les écrits de Toubib, l'actuel annaliste de la Compagnie Noire. Ce procédé d'écriture peut dérouter et ajouter une difficulté pour adhérer à l'histoire, car l'intrigue est parfois morcelée et on ne comprend pas toujours tout du premier abord. Néanmoins j'ai trouvé ça terriblement efficace, la narration est totalement maîtrisée et donne vraiment l'impression d'un carnet de note relatant les faits de cette fameuse Compagnie.
On obtient également très peu d'information sur l'univers et les personnages. La magie, les Asservis, la Dame, la géographie, les conflits etc… tout cela arrive au compte goutte tout au long de l'histoire. Très peu de descriptions nous sont fournis, mais cela permet de faire travailler notre imagination et d'interpréter certaines informations à notre manière, ce qui n'est pas pour me déplaire.
L'intrigue en elle-même est intéressante et offre des rebondissements jusqu'à la fin, les personnages sont complexes, très mystérieux car on ne connaît rien de leur passé, pas de bien ou de mal ici, seulement des nuances et les hommes de la Compagnie ne font pas exception. L'ambiance très sombre est pourtant ponctuée de note d'humour (surtout grâce aux magiciens de la Compagnie), et des dialogues percutants qui permettent de mieux cerner les personnages et qui donne un ton agréable à la lecture.
Un livre qui sort des sentiers battu dans le genre de la fantasy donc et qui peut ne pas plaire à certains, mais personnellement le style d'écriture m'a beaucoup plu et j'ai tout de suite adhérer à ce premier tome. Rendez-vous pour la suite.
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L'objet est d'abord confus. Il y a un bateau au large, des hommes armés, une milice et un joyeux bordel. Lecteur, sache que rentrer dans l'univers de Gen Cook par Béryl n'est pas le plus simple. Tu vas déguster sans comprendre pendant un long moment.
Le texte dit : " nous sommes la dernière des compagnies franches de Khatovar. Nos traditions et nos souvenirs ne vivent que dans les présentes annales et nous sommes les seuls à porter notre deuil."
Toubib est l'annaliste, sous-entendu, c'est lui qui note tout. Ou rien. Qui tait, Qui sait, qui développe, enrobe, maltraite, égaye, souligne, ment, sur-ment, invente et relate. A sa mort, un autre tiendra le journal de la Compagnie.
Le livre est difficile parce que Glen Cook entre dans son sujet d'une façon détournée, en pleine déroute de la compagnie Noire. On ne comprend pas vraiment la situation, les personnages portent tous des noms façon surnoms - Qu'un oeil, Silence, Tam-tam, Toubib, Corbeau, Gobelin...- si bien que la confusion du combat est perceptible dans la représentation difficile que l'on s'en fait en tant que lecteur.
La guerre, c'est confus, la compréhension de la guerre n'est pas simple non plus.
La force de Glen Cook, là où il ferre résolument le poisson, consistera à charger la mule de références à la Fantasy traditionnelle. Oh bien sûr elle sera noire, mais il va y adjoindre une Dame, dix asservis, une rébellion, de la magie. Tous ces ingrédients mélés finiront par déployer une vraie fresque dans laquelle les surnoms évoqués plus haut finiront par prendre place, certains à la façon de témoins muets, d'autres en accomplissant de belles choses.
La Compagnie Noire est une série au long-court, elle désarçonne par moments, subissant les facéties de son créateur, mais surprenant souvent. L'annaliste changera, et ce sera la première stupeur. Au regard de ce changement, les trois premiers tomes prendront une autre saveur, s'empliront d'un sens caché, nouveau.
N'oublions pas que ces histoires sont des annales, que seul l'annaliste tient la plume et qu'à ce titre, il peut mentir, déjouer, inverser les rôles, etc etc....
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Après un début de lecture compliqué à comprendre de par la singularité de l'écriture et des noms de personnages et de lieux on s'habitue et après, la lecture se révèle excellente !

Des personnages au caractère très marqué, autant les bon que les méchants (si cette distinction peut se faire car au final personne n'est tout gentil dans cette histoire), des lieux sombres, souvent de nuit ou alors de jour mais sous une chaleur et une lourdeur accablante et transpirante qui noircit autant notre imagination, mais aussi des lieux variés, forteresses, villes sales, forêts, désert, montagne, tout y est.
Le langage est lui aussi réussit, beaucoup d'argot mais sans vulgarité, cela m'a rendu la lecture un peu plus lente mais ce n'est pas un mal dans ce cas précis.

J'ai qu'une envie au final, c'est de connaître la suitée es aventures du Toubib et de ses compagnons !
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Il y a déjà bien longtemps que je cherchais à lire ce livre, devenu mythique dans le monde de la fantasy, et même de la dark fantasy ( les quelques 50 critiques en attestent largement et les nombreuses citations disponibles suffiraient presque à connaître le gros de l'histoire sans avoir à ouvrir le livre, c'est impressionnant!!) et je me devais de me faire une opinion.
Force est de constater que mon opinion ne se fera pas simplement sur la lecture de ce premier tome.
J'ai d'abord eu le sentiment d'être largué dans les premières pages, d'être parachuté au milieu d'une histoire dont on ne comprend rien. C'est même limite si l'histoire existe. Seuls des personnages vivent un quotidien flou. On ne sait rien d'eux, si ce n'est leur nom qui résume en gros ce qu'ils sont puisque ceux ci sont définis par rapport à un pan de caractère, une particularité physique ou une fonction. Ce n'est pas sans rappeler le principe quasi identique utilisé par Robin Hobb dans l'Assassin Royal. Et cela m'a plu et m'a accroché, et m'a permis de continuer car c'est quasiment la seule chose que nous avons sous les yeux. Et ça marche car sans m'en rendre compte, je finis par rentrer dans ce "jeu" entre les personnages et de ce jeu finit par se détacher une trame, une histoire, des histoires, un scénario. Je ne saurai dire s'il s'agit là d'une maladresse ou d'un coup de génie de la part de l'auteur mais là où j'aurai dû m'ennuyer grave, bien au contraire, je plonge directement au coeur d'une sombre histoire, au milieu de ces mercenaires qui ont tous quelque chose à se reprocher, au milieu d'une guerre qui se dessine petit à petit, révélant progressivement l'implication de cette fameuse Compagnie Noire. Dans le même temps, les personnages nous livrent des informations sur cette Compagnie, ce qui finit de dépeindre un univers riche, détaillé, dont l'atmosphère sent la crasse, la sueur et la malveillance. L'auteur décrit des personnages mauvais, des rebus, sans doute des meurtriers parmi eux, mais parvint à nous les faire adopter tous, en nous révélant leur part d'humanité. Et c'est bien là que se joue le coup de maître de Glen Cook. On ne parle pas ici de magie mais bien de sorcellerie dans ce qu'elle a de plus noire, de plus insidieuse. Rien n'est dit, tout est suggéré ou à peine esquissé. A tel point que dans les 100 premières pages, il est bien difficile pour le lecteur de situer cette oeuvre dans un contexte de fantasy. Ainsi l'on voit clairement que les préoccupations et les intentions habituellement de mises dans un univers fantastiques ne sont pas celles de l'auteur. Les éléments fantastiques ne sont que des outils qui vont servir intelligemment le récit dont le centre reste avant tout les personnages. Ceci est d'autant plus vrai que le scénario se resserre sur le personnage du Toubib, qui prend très clairement de l'importance, de par sa fonction secondaire. En plus d'être le Toubib du groupe, il est le "scribe" et relate les événements vécus par la Compagnie. Cette fonction va devenir le centre de l'histoire et permettre bien malgré lui au Toubib de jouer un rôle essentiel dans la trame générale.
Bref, bien que perdu un peu au début, j'ai adoré ce premier tome, pour la finesse avec laquelle l'auteur nous plonge, délicatement, délicieusement, mais immanquablement dans le quotidien de sa compagnie et de ses hommes, et nous emmène dans une histoire encore plus grande. Certes il est question d'une guerre qui dépasse l'entendement, qui dépasse même les préoccupations habituelles de la Compagnie, mais dont on sait qu'elle va jouer un rôle important bien malgré elle.
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Une très bonne série fantasy. Ici pas de bons et de méchants, les héros sont des mercenaires qui vendent leurs services aux plus offrants sans s'encombrer de questions morales. L'écriture est de très bonne qualité et l'histoire bien construite. On démarre dans le vif du sujet, ce qui peut être déstabilisant mais évite des descriptions aussi interminables que fastidieuses. Les rebondissements ne manquent pas et on ne s'ennuie pas une minute. On en redemande !
Lien : http://madimado.com/2012/07/..
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Les annales de la Compagnie noire est une saga de Glen Cook qui me faisait de l'oeil depuis un moment déjà. Par chance, on m'a prêté le premier tome, La Compagnie noire, en décembre et, s'il m'a fallu du temps pour m'y mettre, c'est maintenant chose faite !
Les annales de la Compagnie noire suit le parcours d'une troupe de mercenaires. le narrateur s'appelle Toubib et, tout comme d'autres l'ont fait avant lui, il rédige l'histoire de la Compagnie, les annales. Au début du roman, alors que la Compagnie est employée dans la ville de Béryl, un navire noir y accoste. Son commandant, Volesprit, souhaite engager la Compagnie. Et c'est ainsi que la troupe de mercenaires va se retrouver dans le Nord, à servir la Dame par le biais de Volesprit. La Dame est une femme redoutable et mystérieuse qui souhaite asservir les terres du nord. Les batailles, consignées par Toubib, s'enchaînent ; l'historien partage avec nous aussi bien ses doutes que les complots qui se trament, la vie de la Compagnie, etc. Il ne nous cache rien.
Et ce que j'ai aimé, pour commencer, c'est que la Compagnie s'offre aux plus offrants et il s'avère alors qu'elle se retrouve, et nous avec, du côté des « méchants » – en tout cas c'est ainsi que la Dame et ses Asservis nous sont présenté·es. Cela donne une certaine ambivalence au récit : le narrateur nous parle de choses effroyables, on a envie de se ranger du côté des rebelles, mais on ne veut pas qu'il arrive du mal à nos héros. Déjà parce que Toubib nous est sympathique, que Qu'un-Oeil, Gobelin, Corbeau, le Capitaine, et plein d'autres encore sont attachants à leur façon, mais aussi parce que même des Asservis comme Volesprit nous montrent une part d'humanité. Bien sûr, Toubib étant le seul rédacteur de ce tome des annales de la Compagnie, se sont souvent les mêmes individus qui ressortent de son récit.
En parlant du travail d'historien de Toubib, je me rend compte qu'il y a une chose importante dans ce livre : la narration, que j'ai d'ailleurs beaucoup aimé. Les événements suivent une chronologie somme toute classique, on sait quel personnage est sorcier, lequel est soldat, médecin, etc. En revanche, Toubib ayant vraisemblablement écrit d'autres tomes des annales auparavant, nous n'avons pas de précisions, de descriptions, sur ses compagnons d'armes si ce n'est parfois un détail par-ci, par-là. Cela a de quoi laisser perplexe, dit comme ça, mais il s'avère que c'est en fait efficace ; Glen Cook a fait un très bon travail là-dessus car, bien que nous soyons plongé·es directement au coeur de l'histoire, nous assimilons rapidement qui est qui, qui fait quoi, quelles sont les relations des uns avec les autres… Et, très vite, nous voulons voir l'évolution de la Compagnie noire, nous voulons connaître son futur.
En fin de compte, une seule chose m'a gênée au début du livre : où étaient donc les femmes, exceptées celles travaillant dans des bordels ? Ça me titillait mais j'aimais ma lecture alors j'ai poursuivi. Et je n'en ai que plus aimé ce bouquin : il y a bien des femmes, et pas seulement la Dame, et elles sont franchement balèzes. J'ai donc encore plus envie de lire la suite !

Avec La Compagnie noire, nous avons-là un classique de la dark fantasy menée tambour battant par une troupe de mercenaires sans foi ni loi mais attachants. Une narration concise et efficace avec Toubib qui nous raconte l'histoire de la Compagnie, des complots à foison, voilà de quoi satisfaire de nombreux lecteurs et lectrices !
Je vous recommande fortement de découvrir cette saga par le biais des intégrales, cela vous évitera quelques frustrations une fois la lecture du premier tome terminée.
Lien : https://malecturotheque.word..
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Le premier tome d'une longue saga est déterminant; ici j'ai été pleinement convaincu à la fois par Toubib, le narrateur, par cet étrange ramassis de mercenaires aux valeurs vacillantes et par la construction du récit qui mêle habilement mythologie, magie et affrontements. Les personnages sont nombreux, les intrigues pullulent, le rythme est soutenu. J'entrevois, avec raison j'espère, une grande saga de fantasy, de la trempe peut-être de “La légende de Drizzt” par R.A. Savatore; ce serait déjà beaucoup!
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