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Le réseau Bombyce tome 1 sur 3

Cécil (Illustrateur)
EAN : 9782731612943
47 pages
Les Humanoïdes associés (03/11/1999)
3.56/5   71 notes
Résumé :
Voilà un album extraordinaire qui évoque tour à tour les albums de François Schuiten et ses pages éblouissantes d'où surgissent de somptueux immeubles Art Nouveau et les ambiances glauques de Caro et Jeunet dans La Cité des enfants perdus. Pourtant les comparaisons s'arrêtent là. Au-delà de laideur des personnages principaux – un monte-en l'air dégingandé, artiste de la cambriole, et un nabot aux yeux exorbités à tête de Peter Lorre évoluant dans un Bordeaux imagina... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Je ne crois pas avoir jamais tellement accroché sur un scénario d'Eric Corbeyran et la lecture de cet album est venue confirmer mes doutes. Dans un Bordeaux uchronique et steampunk, à ce que nous dit l'éditeur, deux cambrioleurs, censés appartenir à un mystérieux réseau appelé Bombyce, se retrouvent le nez dans une sale histoire de snuff movie.

D'une part, les thématiques steampunk et uchroniques sont à peine exploitées. On ne sait pas en quelle année on se trouve, pas grand-chose ne vient franchement appuyer l'hypothèse uchronique et le jeu des références à la culture populaire, si cher au steampunk, est quasiment inexistant. Donc, ce qui nous reste du steampunk, ce sont les lunettes de soudeur que portent le personnage. Pour le reste, ça évoque une période fin XIXème ou début XXème.

D'autre part, le scénario qui tourne autour du snuff movie ne m'intéresse pas. J'ai bien compris que le but de Corbeyran était de critiquer l'élite, avec son méchant personnage aux allures de Rodin en tête, qui se repaît de plaisirs pervers et dégueulasses, mais enfin, c'est très convenu et simpliste. Avec le même genre de scénario glauque, j'avais trouvé les premiers tomes de Miss Pas Touche beaucoup plus réussis sur ce plan, d'autant qu'ici, on s'arrange pour que les coupables paient leurs crimes et que le personnage féminin s'en sorte pas trop amoché ; on n'est pas dans Les 120 journées de Sodome, c'est certain (cela dit, j'aime autant). Sans compter que les dialogues ne sont franchement pas très bons Plus particulièrement, ce petit côté artificiel qu'ont les personnages de s'adresser les uns aux autres, voire à eux-mêmes, tout en exposant la situation en cours afin que le lecteur la saisisse bien, m'a semblé assez lourd.

Qu'est-ce qui nous reste ? Un dessin qui magnifie la ville et les bâtiments, voire les costumes et les objets, mais qui laisse à désirer pour ce qui est du visage des personnages, assez bâclés. C'est donc plutôt joli à lire, mais très conventionnel. Nous verrons bien ce que donnera le tome suivant.
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Première incartade du côté du duo Corbeyran / Cecil. Disons que côté dessins je n'ai pas accroché aux traits des personnages. le manque de réalisme et le côté grotesque de certains visages ne me plait pas du tout. Mais à côté de ça, les paysages et l'architecture steam-punk sont très jolis.
Côté histoire, scénario et dialogues, j'ai trouvé ça plutôt facile et lassant. Les deux monte en l'air qui vont découvrir par hasard une preuve qu'un grand Baron réalise des snuff movies et vont décider de le faire chanter... et comme par hasard la prostituée dont le héros est amoureux se retrouve dans les griffes du méchant. Bof, bof. Vite lu, vite oublié.
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Eustache et Mouche sont deux voleurs qui empruntent les toits pour leurs petites affaires. Mais un soir, dans le coffre fort d'un baron, ce n'est pas des liasses de billets qu'ils trouvent mais une bobine. Un film sur lequel on voit une jeune femme se faire violenter. Nos deux montes en l'air vont essayer de faire chanter le patron de ce commerce dégueulasse... mais les choses ne vont pas bien tourner.

Dans cet univers Steampunk de la ville de Bordeaux, nous suivons le parcours de nos deux voleurs. Un grand échalas et un nain manchot, tous les deux semblant traîner un passé difficile.
Ils vont s'attaquer à plus fort qu'eux, et de maîtres chanteurs vont se retrouver gibier.
Un premier tome sympathique qui plante de bonnes bases pour la suite. Beaucoup de mystères et d'informations restent à creuser.
Les dialogues sont parfois un peu ampoulés.

Le dessin de Cécil est vraiment bien travaillé. Il y a beaucoup de détails dans les décors qui donnent le cachet steampunk de la série.
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Un duo de monte-en- l'air prénommés Eustache et Mouche décident de faire chanter quelques " bourgeois" avec un film récupéré chez l'un d'eux et suite à des deconvenues et une misère galopante; le tout dans un décor Arts déco façon steampunck et snuff movies.
Mais bien mal acquis ne profite jamais et nos compères vont l'apprendre à leur dépend.
Suite dans les tomes 2 et 3
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Salut les Babelionautes
Voila une BD steampunk qui m'a bien plut, L Histoire n'est pas très originale, deux montes en l'air lors d'un cambriolage dérobe une bobine de film.
Ils vont s'apercevoir que ce film peut leur permettre de faire chanter des gros bonnet de la finance, mais ne s'improvise pas maîtres-chanteurs qui veut, et ils vont affrontés une mafia bourgeoise qui risque gros si leur secret est jeté sur la place publique.
le dessin de Cécil se prête bien a l'atmosphère steampunk du scénario imaginé par Éric Corbeyran et je vais me plonger dans les deux tomes qu'il me reste a feuilleter.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Ne vous fiez pas aux apparences vous et moi sommes des voyageurs immobiles en partance pour nulle part...
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AHAHA ! LES TAUPES ! ILS RATERAIENT UNE CONCIERGE DANS UNE CABINE ASCENSIONNELLE !
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Je m'adjugerai aussi ce carnet ! Il regorge d'adresses utiles... Rien que des grosses fortunes.
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Protection...transmission...répression... Ça se modernise dis donc !
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