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Critique de umezzu
Comment peut-on devenir Irina, la tueuse glaciale de la série XIII ? Professionnelle, méthodique, dangereuse.
Corbeyran en fait une orpheline dans l'URSS communiste, révoltée, cherchant vengeance, et dont la détermination attire l'attention du KGB, qui va en faire un de ses meilleurs agents en Russie puis aux États-Unis. Sauf que Irina agit en temps de glasnost et que son employeur n'a peut être plus trop besoin de ce type de profil.
Le dessin de Berthet s'écarte du style de la série, mais le fait que l'histoire d'Irina tienne par elle-même rend cela sans importance.
Corbeyran rajoute quelques autres personnages de la série dans son intrigue et finit l'album avec un bon rebondissement.
Avec La mangouste et cet Irina, le concept de retour au origines des personnages était parfaitement validé par de bon scénarios, utilisant tous les « trous » des scénarios de van Hamme.
Corbeyran en fait une orpheline dans l'URSS communiste, révoltée, cherchant vengeance, et dont la détermination attire l'attention du KGB, qui va en faire un de ses meilleurs agents en Russie puis aux États-Unis. Sauf que Irina agit en temps de glasnost et que son employeur n'a peut être plus trop besoin de ce type de profil.
Le dessin de Berthet s'écarte du style de la série, mais le fait que l'histoire d'Irina tienne par elle-même rend cela sans importance.
Corbeyran rajoute quelques autres personnages de la série dans son intrigue et finit l'album avec un bon rebondissement.
Avec La mangouste et cet Irina, le concept de retour au origines des personnages était parfaitement validé par de bon scénarios, utilisant tous les « trous » des scénarios de van Hamme.
