Postmortem

Un petit policier qui ne paye pas de mine, assez sympa au demeurant.
Il manque un peu de pep's mais il nous permet de faire connaissance avec Kay Scarpetta.

L'intrigue se tient bien, mais le suspens n'est pas insoutenable.
C'est malgré tout un roman très axé sur la science, ce qui est dommage c'est que de ce fait il vieillit un peu mal.

J'ai encore quelques romans de Patricia Cornwell qui trainent, je pense que je la lirais a nouveau volontiers.

Un peu jauni par le temps, ce livre attendait sagement dans ma bibliothèque depuis de nombreuses années que quelqu'un lui prête un peu d'attention. C'est chose faite. Mais hélas il m'a fallu de la patience pour réussir à le terminer.

Premier tome de la longue série de l'héroïne Kay Scarpetta, ce roman nous fait faire connaissance avec la célèbre médecin légiste. Je l'avais déjà connu dans Mordoc puisque la série peut visiblement se lire dans le désordre étant donné que l'on a toujours affaire à une histoire différente.
Ici elle enquête sur une série de meurtres de jeunes femmes qui ont été retrouvées ligotées, violées et torturées à leur domicile. En parallèle, des événements causent du tort à notre médecin avec une histoire de piratage de son système informatique.
Accompagnée de son équipe et de l'inspecteur Marino, elle va devoir enquêter pour découvrir qui est à l'origine de ces événements tragiques.

L'enquête... In-ter-mi-nable ! J'ai du m'accrocher pour garder mon attention sur ces sempiternels détails scientifiques et informatiques. Certes, l'auteure possède des connaissances dans ces domaines, mais que c'est long !!
De plus, étant donné que le roman a été écrit dans les années 90, certains éléments ne sont plus d'actualité, comme les disquettes informatiques ou ce qui concerne les avancés technologiques dues à l'enquête. Ce qui donne aujourd'hui un petit coup de vieux au roman.

Cette histoire manque cruellement de suspense. Il m'a manqué cette tension que l'on éprouve en lisant un bon thriller. Trop de détails sur l'enquête tout le long du livre, ce qui rend la lecture très lourde.
J'ai quand même aimé les rapports entre Kay et Lucy sa nièce, mais les relations entre les personnages ne sont pas beaucoup développés, ce qui est dommage à mon sens.

J'ai l'impression d'avoir subi cette lecture. Je persistais quand même dans l'espoir d'être surprise par la fin avec un tueur qu'on ne soupçonnait pas... et bien non.
Grosse déception quand on découvre que l'assassin n'est autre qu'un simple inconnu qui n'avait rien à voir jusqu'ici dans l'histoire.

Un roman que je ne conseille pas.

C'est avec ce livre que débutent les aventures du médecin légiste Kay Scarpetta. Cette dernière enquête sur plusieurs meurtres de jeunes femmes trouvées ligotées, violées et torturées. le sperme laissé par le supposé assassin ne permet pas de l'identifier. Il s'ensuit une longue enquête où on fait connaissance avec l'équipe de Kay et de l'inspecteur Marino, grand gros balèze style grizzli qui joue aussi les protecteurs.
Le moins que l'on puisse dire de ce bouquin policier c'est que l'on s'y ennuie (moi) copieusement, c'est long, redondant et parfois totalement inintéressant à se poser la question sur ce qui a pu faire la notoriété de cette auteur, certes Marino est un personnage haut en couleurs, l'affection avec la nièce Lucy est charmante mais, entre nous, cela ne saurait suffire pour un "thriller" à, soi disant, rebondissement. A moins que le nombre de victimes soient le rebondissement sinon je ne vois pas.
L'accumulation de détails spécialisés alourdit encore la lecture, à tel point que j'ai sauté des passages pour arriver à une fin, un dénouement totalement imprévisible et, un peu beaucoup, surprenant pour le lecteur.
il me faut bien reconnaître que j'en ai lu quelques uns de romans de la dame, parfois avec bonheur, parfois moins et, maintenant que j'y pense, ces lectures correspondent à des ouvrages traduits par Madame Andrea H. Japp, auteure soi même que je n'apprécie guère. Peut-être est-ce la raison de mon jugement?
La question reste ouverte : la traduction joue t-elle sur la qualité de l'oeuvre?

Lien : https://www.babelio.com/livr..

Mais qu'est ce que c'est long... C'est même soporifique.
Pourtant, on avait tout pour faire une bonne enquête : Les personnages, l'intrigue, l'aspect scientifique, etc
Mais on a l'impression de s'enliser et rien n'avance.
Bref, je ne continue pas cette série. Dommage.

Après avoir lu quelques enquêtes de Scarpetta dans le désordre, c'est avec plaisir que je reviens aux origines de la série. L'occasion pour moi de mieux connaître les personnages récurrents.

Dans ce tome, l'enquête avance à pas feutrés, ce qui laisse tout loisir au lecteur de s'approprier l'angoisse montant crescendo et l'atrocité des actes commis.

Rappelons que le roman date de 1990, aussi les éléments liés à l'informatique et à l'avancée de la médecine sont donc un peu désuets et démontrent en passant les progrès réalisés depuis. Mais une fois cela remis dans le contexte, le plaisir de la lecture n'en ressort absolument pas gâché.

Sans regret donc, direction vers le tome 2, Mémoires mortes (mais pas de suite, j'aime alterner les genres) !