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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Un démarrage assez laborieux : 4 chapitres où on retrouve l'héroïne déprimée, traumatisée et grippée. S'ensuivent des retours en arrière pour nous expliquer pourquoi elle est comme cela, ses anciennes relations avec le flic, Marino, qui débarque pour une nouvelle affaire, son mari qui était mort mais qui ne l'est plus (c'est un profiler au FBI). Bref, on se demande au bout d'un moment si on lit un roman policier, ou un roman introspectif dont le meurtre à peine évoqué est le prétexte.
Enfin, Scarpetta sort de chez elle pour aller sur le lieu du crime. On se dit : "Ça y est ! L'action va enfin commencer !" Et ben... non. Il faut dire qu'elle et son mari auront fait le tour de la scène du crime puisque ça finit, à peu près, au milieu du livre.
L'auteur nous serine toutes les 3 pages que le fameux mari (le profileur, faut suivre) est LE MEILLEUR, qu'il croit que s'ourdit un complot au sein même du FBI, et que le tueur en série veut l'impressionner... au mari. Au cas où on n'aurait pas compris, on prend soin de bien nous le répéter (c'est à croire que l'auteur devait faire tant de pages et qu'elle a donc brodé, toujours sur le même thème, pour faire des lignes).
Pour ajouter à ce fatras une touche "littéraire" (ex : "Il est beau et élégant dans un genre anguleux qui paraît une métaphore de la précision de ses perceptions. Quant à son attitude distante, elle se résume à une sorte de sas de sécurité destiné à le protéger des êtres qui transitent par ses
espaces intimes") ou "scientifique" (ex : "Des cathéters à angiographie standards 5-F et un trocard à solution d'embaumement, en plus des habituels trente millilitres d'Optiray 320"), le style se fait soit très alambiqué, soit incompréhensible ! de là à se dire que Cornwell a bâclé son roman...
L'action ne démarre que dans les dernières pages du livre où "tante Kay" sent la fureur et le dégoût lui monter au nez contre le patron de son mari. Et sans surprises, ils prouvent que le fameux patron est impliqué ( on a déjà trouvé depuis un moment qui était le tueur ; donc ça devient accessoire...) dans une mascarade de réunion avec témoins, qui est parfaitement grotesque.
En outre, la narratrice, Kay Scarpetta, nous détaille bien ce qu'elle ressent, elle et tout son entourage, au cas où on manquerait un détail important !
Bref, un roman (pas assez) vite lu, vite oublié, dont j'ai sauté pas mal de passages, d'ailleurs, vers la fin.
Si vous avez d'autres romans plus intéressants dans votre bibliothèque, surtout n'hésitez pas : oubliez celui-là !
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Je rejoins les autres critiques sur ce roman : une grosse déception. Trop de blabla et une intrigue pas très prenante. J'attendais mieux de Patricia Cornwell ! Pour tout dire, j'ai abandonné le livre à la moitié.
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Je ne pensais vraiment pas aller au bout.
Roman complexe et confus avec beaucoup trop de détails techniques qui alourdissent. Les 4 premiers chapitres ainsi que l'avant dernier, sont imbuvables. Certains passages donnent l'impression que l'auteur a voulu faire du remplissage afin d'atteindre un nombre de pages requis, avec des bulletins météos et autres.
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Nouvelle enquête du médecin légiste Kay Scarpetta. le récit débute à 4h02 et se termine en fin de journée. En conséquence, il ne faut pas s'attendre à des rebondissements.
En tout franchise, j'aurais pu abandonner ma lecture mais têtue comme je suis, je l'ai terminée. J'ai refermé ce roman en me disant : "tout ça, pour ça" !
Ce roman n'est pas accès prioritairement sur l'enquête. En effet, il faut lire environ 100 pages pour que Kay Scarpetta arrive sur la scène de crime presque autant pour qu'elle débute l'autopsie. Au final, le lecteur suit les pensées de Kay, ses états d'âmes, ses réflexions sur le devenir professionnel de son mari, la fin de sa collaboration avec Marino, redevenu simple flic. Quant au final, il est totalement bâclé.
Je suis donc de plus en plus déçue par les derniers romans de cette auteure et j'en ai encore 2 dans ma PAL. Je ne retrouve plus l'écriture de ces premiers romans.
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Fan de Cornwell depuis longtemps, je commence cependant à être déçue de ses livres....L'histoire commence en plein milieu, on a dû mal à s'y retrouver et l'intrigue s'étire interminablement sur des pages et des pages.....Heureusement que les personnages sont attachants!!!
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Je suis en cours de lecture, et je trouve très très long, presque ennuyeux. Beaucoup de blabla, ça manque de niaque.
Je me pose la question : dois je arrêter ma lecture ou la continuer ?
Au vu des critiques et des notes attribuées, je pense que je vais stopper pour me concentrer sur un autre livre. Vraiment déçue. Je m'attendais à un début beaucoup plus prometteur, plus accrocheur.
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Très décevant , beaucoup de longueurs, de répétitions, on finit par s'ennuyer.
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Ce livre m'a semblé très décevant, n'y retrouvant absolument pas le rythme ni la philosophie des livres qui m'ont fait adorer patricia cornwell.
Les personnages habituels, que j'appréciais beaucoup, ont changé radicalement de tonalité. Marino est diminué au stade méprisant du "grand flic" costaud, revanchard et capable de tout.
Toute l'enquête est torchée dans les dernières pages, le livre est une diatribe de termes medico-technique et technologique.
On peut se demander qui l'a écrit, tant on est loin de la qualité de l'oeuvre de l'auteur.
J'ai eu un mal fou à finir l'ouvrage !
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