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Critique de OSOLEMIO
Le parquet flottant de Samuel Corto est un roman au ras du sol tant sur la forme que sur le fond !
Ex avocat il a intégré la magistrature par la voie extérieure, il est devenu substitut du procureur dans un tribunal d'une ville de province ! Après avoir pris les précautions d'usage et un pseudo : il se lance dans l'étude intérieure de la machine judiciaire ! Son "héros" : Etienne Lanos, substitut nous livre des tranches de vie, des portraits, des anecdotes, des récits humoristiques, des détails savoureux et le déroulement des affaires pénales au quotidien . Il "déglingue" ses collègues benêts bourgeois, leurs travers physiques, psychologiques, s'attaque à la féminisation de la magistrature mais cela lui permet de donner libre cour à sa libido, de profiter des " femmes comestibles ", de se masturber avec des photos d'ados dans les toilettes, de consommer la drogue des scellés ! Personnage insolent, cynique, détestable qui méprise ses collègues, mais qui porte une charge contre les disfonctionnements de la justice " la justice ne juge plus, elle condamne " !
Suite au grand déballage d'Outreau, plus les émissions TV qui font des records d'audience : force est de constater que la Justice est un " naufrage" accentué par le manque de moyens matériels, de crédits, de personnels ( comme l'Hôpital, l'éducation nationale...), mais pour s'attaquer à un problème civilisationnel de cet ordre, Samuel Corto n'a pas le talent, ni le style d'un Houellebecq !
L.C thématique de février 2022 : les petits livres .
Ex avocat il a intégré la magistrature par la voie extérieure, il est devenu substitut du procureur dans un tribunal d'une ville de province ! Après avoir pris les précautions d'usage et un pseudo : il se lance dans l'étude intérieure de la machine judiciaire ! Son "héros" : Etienne Lanos, substitut nous livre des tranches de vie, des portraits, des anecdotes, des récits humoristiques, des détails savoureux et le déroulement des affaires pénales au quotidien . Il "déglingue" ses collègues benêts bourgeois, leurs travers physiques, psychologiques, s'attaque à la féminisation de la magistrature mais cela lui permet de donner libre cour à sa libido, de profiter des " femmes comestibles ", de se masturber avec des photos d'ados dans les toilettes, de consommer la drogue des scellés ! Personnage insolent, cynique, détestable qui méprise ses collègues, mais qui porte une charge contre les disfonctionnements de la justice " la justice ne juge plus, elle condamne " !
Suite au grand déballage d'Outreau, plus les émissions TV qui font des records d'audience : force est de constater que la Justice est un " naufrage" accentué par le manque de moyens matériels, de crédits, de personnels ( comme l'Hôpital, l'éducation nationale...), mais pour s'attaquer à un problème civilisationnel de cet ordre, Samuel Corto n'a pas le talent, ni le style d'un Houellebecq !
L.C thématique de février 2022 : les petits livres .
