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Critique de fnitter


Huitième, neuvième, onzième tome, on ne sait pas, on ne sait plus. Disons que je me suis basé sur une chronologie (quant à savoir laquelle) pour poursuivre mon aventures dans l'hérésie d'Horus.

Les Word Bearers sont désormais du côté du Chaos. Ils se sont fait livrer un énorme vaisseau, le furious Abyss, avec pour but ultime la destruction d'Ultramar, le monde de la légion de Rouboute Gulliman. Mais c'est sans compter sur un capitaine ultramarine qui réunit une troupe hétéroclite de space marine (Ultramarine, World eaters, Space wolf, Thousand son) à bord d'une flotte saturnienne pour prendre en chasse le vaisseau.
Entre les combats spatiaux, les corps à corps, l'affrontement avec les forces du chaos, tout le monde aura de quoi s'occuper jusqu'à l'affrontement final en orbite de Maccragge.

Les scènes de combat dans l'espace ou au sol sont bien décrites, bien sanglantes, particulièrement violentes et occupent la majeure partie du roman. Au final c'est aussi un peu ce qu'on vient chercher dans la black library et pour cela le contrat est rempli.
Ensuite, il faut avouer que les personnages, terriblement caricaturaux, ne rendent pas grâce à l'histoire. Qu'ils vivent, qu'ils meurent, peu nous importe. Trop peu développés et quand ils le sont, ils frôlent le ridicule pour certains. Il s'en suit donc une succession de batailles impersonnelles dont l'issue finale est connue (la survie des Ultramarines).

Histoire de faire le plein de bruit, de fureur, de sang et d'entrailles entre deux romans de hard sf.
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