C’est à Camus que Gil Courtemanche emprunte cette idée du « juste » pour décrire la position qu’il veut être la sienne quand il aborde l’actualité politique. Le « juste », c’est celui qui fait passer l’humanité avant les idées, les personnes avant les dogmes, politiques ou autres.
C’est la position la plus pénible, la plus complexe, la plus vulnérable. Car le « juste » se retrouve avec de curieux compagnons qu’il n’aime pas nécessairement. Puis il es... >Voir plus