Voilà un paradoxe, pensera-t-on, l’idée de déracinement douloureux pour un peuple nomade. Cependant ces visages de la route, reliés à leur tradition ancestrale, trouvent leurs racines dans un déplacement libre et incessant ; toujours sur le départ et éminemment présents. Or, tout concourt ici à les faire rompre avec eux-mêmes et la perte semble irrémédiable.
S’il faut un point de rupture, d’accord, tu prends les devants. Mais tu cherches l’alternativ... >Voir plus