Comme c'est dur pour moi de critiquer une BD. Je n'y connais rien du tout. Et en plus, je ne sais pas comment apprécier le 9ème art.
Cette
Emmanuelle-ci m'est apparue différente de celle de mes souvenirs adolescents, lorsque je regardais en douce le film de minuit. (Eh oui, à l'heure des premiers émois sexuels,
Emmanuelle était la grande soeur, l'amie, l'amante, l'amoureuse de nombreux jeunes inquiets, aux hormones en éveil).
Cette
Emmanuelle-ci, dessinée par Bruno Crepax, est directe, brute, insatiable et peu romantique.
Le dessin est vif, précis, émouvant, excitant mais trop brouillon parfois. le mélange de rêve et de monde réel m'a perturbée. le sens de l'histoire est difficile à suivre.
Troublée, je l'ai été à la lecture ce cette BD mais subjuguée et transportée, non. Dommage.
Cela reste une belle découverte sans être un coup de coeur.