Atalante essaie de se faire accepter du peuple amazone malgré la présence déstabilisante d'Héraclès. Mais là aussi la paix tant attendue se fait attendre.
Un tome divertissant mais sans plus. C'est assez léger, et plaisant mais ça manque de passion, de suspense, d'aventure. J'ai plutôt l'impression que ce tome sert de transition, il clôture ce qui avait été lancé au tout début : le désir d'Atalante de devenir une amazone. Et permet un nouveau départ, libéré des autres personnages en dehors de Pyros et Niké.
Les dessins ont une colorisation assez artificielle bien que lumineuse. Mais ils manquent quand même de précision et de beauté.
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Tome assez léger, au sein de la cité des amazones, où Atalante a pour projets de vivre. L'attaque de Sargon n'est qu'un épisode sans grande importance finalement. le tout se réume à cité peuplée d'hommes ou de femmes : pas grande différence, avec un discours égalitaire un peu anachronique mais pourquoi pas. Et surtout, comme dans la chanson de Cabrel, après avoir cherché partout un monde meilleure, notre héroïne s'aperçoit que sa cour avec son vieil arbre au milieu est sans doute le bit de ses recherches. Retour donc vers sa forêt du Plélion !
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Ce dixième tome d'Atalante, sans être le meilleur de la série, reste tout de même un très bon divertissement. On attend le prochain épisode pour découvrir quel destin attend la belle Atalante.
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Il faut cesser de fuir en avant! Tu ne distanceras jamais assez les douleurs de ton passé. Tu dois vivre avec elles, les apprivoiser. Ce sont ces blessures qui font que tu es toi.